Deux serpents dans l'ambre birman 100 M.A.
C'est un scoop mondial !!!
Venons-en
au sujet CRUCIAL, TOUJOURS le même pour l'ambre, celui de l'étude
de la gemme qui donne une expertise fiable et imparable des inclusions...
Qu'avons-nous là devant les yeux ? Nous avons un ambre jaune,
plutôt sale, chargé de particules... L'ambre semble ancien
avec d'ailleurs une portion fine très allongée qui traverse
l'échantillon... Quelle est cette chose étrange ???
Quelle est la nature de ce gros filament conservé dans l'ambre ?
Comment savoir si l'ambre est authentique et comment identifier la portion
longue ? Il y a tant de collectionneurs dépassés,
peu critiques qui, ne sachant pas quoi et comment regarder les choses,
restent au niveau des suppositions.... Mon bijou acheté est-il
vrai ??? Les ambres utilisé en marqueterie sont-ils natifs ?
Les panneaux de la chambre des Stars (la célèbre chambre
d'ambre) sont-ils agrémentés de gemmes originelles où
de matières dopées aux plastiques ? Et, pour les
plus septiques de se lancer parfois dans des expertises douteuses puisqu'ils
ne savent pas quoi chercher... TOUTES CES QUESTIONS
trouvent leurs expertises fiables (implacables) lorsque l'on examine
les traces, LESQUELLES EXISTENT TOUJOURS dans l'ambre.
1) UN AMBRE contient toujours des traces. 2) Les traces racontent la nature de l'ambre. 3) Les traces précisent rigoureusement la nature des inclusions ! Ce sont les traces qui vont dire si l'ambre est vrai. Et ce sont les traces qui vont révéler la nature générique de l'inclusion. L'inclusion est-elle organique ou minérale ? La portion (éventuellement organique) aura-t-elle été pigée vivante ?... 99% des expertises concernant l'ambre peut se faire par l'examen des traces... Posé sur la table, un ambre qui contient une sorte de filament long ne raconte (à première vue) pas grand chose... Un naturaliste (qui ne connaît pas l'ambre) dira à la limite que le "filament" pourrait-être une sorte de portion végétale, une possible racine... Mais comment aller plus loin dans les explications... VOYONS le sujet des traces avec un cas concret... |
Approchons nous... Et... Déjà, ci-dessous, une information
cruciale apparaît !
Ci-dessus,
plusieurs lignes entourent l'objet... Et ces lignes apportent des informations
cruciales.
Evitons les digressions, allons à l'essentiel. La ligne C représente
le fluage... C'est le mouvement de la résine qui coule et se
déplace sous le jeu de la force de la pesanteur... La ligne B,
symétrique le long de l'inclusion, est la marque fantôme
du déplacement de l'objet qui en bougeant marque la résine
et modifie la ligne C. La ligne B démontre que le mouvement est
alors synchrone mais perpendiculaire au fluage... La ligne A, plus,
fine qui suit parfaitement la ligne B est une diffusion d'un fluide
qui provient de l'inclusion et qui imprègne la résine...
La logique des lignes A, B et C démontre la présence d'un
corps capable de mobilité qui marque le fluage en libérant
des fluides. L'objet est donc résolument du type animal... Car
dans le même ambre séparé d'à peine deux
millimètres, une portion végétale voir ci-dessous
ne laisse AUCUNE trace de déplacement... DONC
l'exploitation des lignes A, B et C démontre que l'objet "animal"
était vivant quelques instants dans la résine,
car ses mouvements sont enregistrés...
|
Ci-dessous une portion
végétale complètement amorphe...
Un végétal ne bouge pas par agonie dans la résine, c'est
assez logique...
Sous le végétal, on peut voir les traces de quelques
compactions, ce sont les marques rondes qui
en lumière polarisée révèleraient les zones des
tensions internes conservées dans l'ambre...
Les fins tissus végétaux désagrégés (en
mouvement), renseignent sur la force et
la direction du fluage, en l'occurrence vers le haut de l'image...
Ci-dessous, dans
sa partie plus centrale, on peut voir que l'animal a marqué
la résine en bougeant. Mais, cette fois, aucun liquide n'a diffusé
dans la
gemme. Il n'y a donc qu'une ligne de mouvement autour de l'animal....
Les éclairages puissants en lumières bleues restituent,
ci-dessous, des effets variés
surtout nombreux qui ne correspondent pas aux traces laissées par les
athropodes...
Bien
que la gemme semble homogène en lumière blanche, on peut
révéler (ci-dessus) la présence hétérogène
de corps gras dans la matrice profonde. Ces corps diffusés à
partir de l'inclusion sont toujours situés dans la limite des
coulées du fluage. Ces corps gras ont plusieurs textures différentes,
certains montrent des reliquats "fibreux" d'autres sont vitreux...
Ces intrants organiques non miscibles à la résine restituent
des couleurs vives lorsqu'ils sont éclairés sous les lumières
puissantes colorées bleus... Les lumières bleues qui rentrent
dans la gemme ont l'effet d'estomper l'ambre pour le rendre de plus
en plus diaphane révélant les "polluants gras".
Parfois du collagène apparaît dans l'ambre associé
à des tissus mous désagrégés par le chimisme
des acides de la résine... Ces effets parfaitement révélés
dans cet ambre sont surtout associés aux vertébrés
plus qu'aux arthropodes... L'animal qui ressemble à un myriapode
qui serait dépourvu de pattes est en fait ici un serpent aquatique
juvénile...
|
La
présence de matières sans doute collagènes associées
à des corps gras apparait, (ci-dessus, vignette de gauche) exclusivement
par contraste des couleurs en éclairages spécialement
forts orientés dans le sens du fluage. On voit PARFAITEMENT les
amas diffus figés dans la résine !!!! Et ces amas
devenus colorés par contraste des lumières proviennent
rigoureusement des portions animales... Ces traces SI IMPORTANTES sont
les preuves incontestables que l'inclusion est ici évidemment
de type vertébré. Aucune inclusion minérale ou
végétale (bien plus amorphe) ne laisse d'empreintes aussi
nettes et variées dans le milieu piège de la résine...
Sur la partie droite de l'image toutes la zone nimbée jaune en
large "nuage" est une trace de dégazage née
aux activités bactériennes associées aux fluides
viscéraux de l'animal!!!! Là encore cette TRACE ENORME
révélée par des éclairages précis
DEMONTRE sans aucune hésitation possible que l'inclusion est
animale. Aucune portion végétale ne dégaze autant
et surtout de cette façon dans une résine... Imperceptibles
en lumière blanche, PREUVE EST DONNEE ici que les traces EXISTENT
BIEN dans la résine ! Les traces existent toujours dans
l'ambre (qu'il y ait ou pas des inclusions) !!!
|
Lorsqu'une
portion animale tombe dans la résine, INEVITABLEMENT des réactions
chimiques interviennent sur le corps polluant. La portion (devenue inclusion)
est un volume étranger qui va laisser d'autant plus de traces
mémoires dans la gemme que le corps entré dans la résine
est important avec son cortège de produits réactifs. Ici
la trace la plus évidente (voir ci-dessus) est ce panache de
bulles, (bulles diffusées en volute dans la résine), par
l'activité bactérienne qui agit sur la dépouille
animale. La volute des bulles (toutes lâchées à
une extrémité de l'animal) DEMONTRE un arrachement des
tissus précisément à cet endroit. Les bulles de
fermentation sortent de l'animal comme un liquide coule d'une canalisation
cassée... Les bulles sont ensuite étirées par le
fluage qui développe alors l'effet de la volute dans la résine !!!!
LA ENCORE, UNE TRACE DONC TRES EXPRESSIVE démontre le traumatisme
localisé à cet endroit précis de la dépouille
animale !!!! Par dessus l'impact, une forme triangulaire fuselée
montrant une marque ronde (qui rappelle vaguement un "il")
restitue des fluides déplacés dans la logique d'un impact
profond... Il semblerait qua la section fuselée puisse alors
avoir été sectionnée, séparée du
reste du corps d'où émerge la volute des bulles de fermentation...
Quoi qu'il en soit, LES TRACES DEMONTRENT UN IMPACT
FORT (une blessure sans doute fatale) sur l'animal. Les traces qui existent
(TOUJOURS et qui ne sont pas une vue de l'esprit) permettent de faire
une autopsie de l'animal.
|
Nous
venons de voir avec la lecture déductive des traces sur l'image
précédente que l'animal est blessé au niveau de
la volute des bulles. Le corps est effectivement sectionné par
un écrasement en rotation. Le corps pendant le bref instant de
l'impact a bougé (glissé légèrement) dans
la résine étalant d'autant les diffusions fluides mais
pas les bulles (évidemment diffusées plus tard dans la
résine)... LA ENCORE LES TRACES permettent de tenir une séquence
temporelle TRES PRECISE... Certaines traces marquent la résine
les unes avant les autres, ET PAS L'INVERSE !!!! D'abord les diffusions
fluides, puis, les bulles... A ce stade, nous avons donc la corrélation
parfaite entre le mouvement, la diffusion des traces et la blessure !!!!
LES NOTIONS (les trois notions réellement photographiées)
sont toutes reliées les unes aux autres ! ET,
ci-dessus, UN DETAIL FORMIDABLE vient finaliser l'expertise:
lors de l'arrachement des tissus animaux, trois
écailles ont basculées latéralement dans
le sens des forces exprimées. Les trois écailles sont
plutôt longues et démontrent qu'elles se chevauchent pour
moitié sur le corps de l'animal. Là encore cet indice
prouve la présence d'écailles qui se recouvrent pour moitié
sur toute la surface du corps. L'animal n'est
donc pas d'un type entomologique où les plaques (métamères)
sont toujours jointes... L'animal est un serpent, mortellement
blessé qui a agonisé dans la résine en laissant
une trace très brève d'un mouvement situé dans
seulement dans la portion médiane. Les TRACES qui permettent
de conduire la séquence LOGIQUE des évènements
survenus permettent aussi de tenir ici une autopsie de la dépouille !
Au niveau de a blessure, les écailles basculées de côté
démontrent qu'elles sont normalement insérées et
articulées sur l'animal. La blessure qui révèle
les particularités anatomiques prouve que l'animal est un serpent.
Pour cette inclusion, les traces conservées dans l'ambre, sont
d'une précision redoutable !!!
|
Observation
incroyable et déconcertante !!!! Ci-dessus, ce
n'est pas un serpent piégé dans l'ambre MAIS BIEN DEUX
qui sont conservés dans ce fossile décidément exceptionnel
et assez hors norme ! Le second serpent, trois fois plus large
que le premier, est difficile à repérer car nimbé
dans un manchon de résine sombre rendue opaque par une décomposition
des tissus mou. Le second serpent est incomplet. La partie arrière
(puisque les écailles donnent l'avant et l'arrière) est
operculée. Le corps de l'animal sort de l'ambre. Le premier serpent
blessé, (juvénile), est conservé complet. Le second
n'est qu'une portion d'un corps plus grand. La structure par écaille
n'est visible qu'à un endroit.
|
Ci-dessus, une observation rapprochée permet de voir
que les écailles qui se chevauchent
pour moitié sont surtout insérées dans le
corps sur un angle à 90° ce qui
constitue sans doute un mécanisme local de
charnière pour
assurer une mobilité technique fonctionnelle...
.
Ci-dessous, en saturant les éclairages pour estomper l'ambre jusqu'à
le faire
"disparaître" on peut voir la position des deux serpents dans
le fossile
comme le montre aussi l'image prise aux rayons X...
Autant le serpent N°2 est difficile à commenter
car observé en état de
"décomposition", autant le serpent N°1, plus petit, est
riche en
traces associées qui permettent de raconter la
taphonomie surtout précise du piégeage.
Si
l'on néglige les traces conservées dans l'ambre, si l'on
regarde vite l'anatomie des structures animales, on pourrait penser
à des portions de queues de quelques lézards... Les écailles
sont insérées par recouvrement sur le corps... Mais les
queues des lézards n'ont jamais la même section sur toute
leur longueur... Seuls les serpents sont aussi réguliers...
Découvrir deux proto-serpents (dont l'un, juvénile, complet) piégés synchrones à une crevette d'eau douce est un cas UNIQUE !!!! TOUTES LES INCLUSIONS de cet ambre exceptionnel mériteraient des descriptions scientifiques !!! Les confusions possibles, les mauvaises interprétations (aussi) sont tellement nombreuses... Pas facile d'identifier les espèces hôtes (chez ces rares vertébrés fossiles du crétacé) lorsque l'on retrouve les restes incomplets dans l'ambre de quelques portions étranges, allongées couvertes d'écailles... Dans l'ambre, on a identifié la queue de Jucaraseps, un petit lézard du crétacé et Calanguban un autre représentant des lézards anciens... Les queues des lézards sont toujours progressives, elles se terminent en pointe... Ici, à l'inverse, les deux portions sont régulières. Que faut-il penser de ces deux serpents piégés dans le même ambre ? Aucune patte, le corps est parfaitement régulier, les écailles où certaines lattérales portent des pointes (pour améliorer la reptation amphibie ??? alors en dehors de l'eau ???) se chevauchent partiellement. Le corps est surtout régulier et d'un diamètre constant. Les deux portions de vertébrés donnent une réponse positive aux rayons x... Les proto-serpents sont plutôt rares dans l'ambre et ils sont piégés ici synchrones avec un Gammare !!! UNE CREVETTE AQUATIQUE !!! qui, constat pris, EST AUSSI RARE que les "proto-serpents" !!! Qui de l'un ou l'autre est plus rare lorsque les références sont uniques ?... DIFFICILE DE REPONDRE !!!! |
DECOUVERTE RARE et UNIQUE :
DEUX SERPENTS sont ici
conservés dans un ambre
avec une crevette
(GAMMARE)...
Les autres inclusions dans la pièce d'ambre.
En forçant les éclairages jusqu'à traverser
l'ambre, on identifie ici une portion de feuille (limbe)
reconnaissable à ses cellules végétales organisées
avec les vaisseaux conducteurs de sève...
Ci dessus, dans le même ambre, voici une petite larve
aquatique d'insecte. On notera
que l'abdomen se termine en spatule, (organe peut-être respiratoire
utilisé comme une rame pour se déplacer dans l'eau).
Document non finalisé, rédaction
en cours...
Baby Snake That Lived Among
Dinosaurs Found Preserved
in Amber Museum
Collection !!!!
Petit rappel : qui a trouvé quoi le premier...
Lu dans la presse :
Un embryon de serpent déclaré
UNIQUE au monde (RIRE)
donc TRES remarquable (rires, bis) aurait
été découvert dans un écrin jaune daté
de 99 millions d'années !!! FORMIDABLE
la science est en marche, la science
avance (avec un jeu de mot
car la revue s'appelle : "Science Advances")
sur l'inventaire des inclusions de l'ambre !!! |
Juin 2018, les serpents de l'ambre crétacé
birman sont encore "inconnus" de la science...
D'où des courriers électroniques pour communiquer sur les découvertes
des pièces forcément exclusives.
Ci-dessous, copie partielle des courriers échangés
avec les scientifiques xxx pour alerter sur la
découverte IMPORTANTE d'un serpent de l'ambre (alors inconnu de la
science).
"... Monsieur, j'ai quelques infos (pas vraiment scientifiques)
sous le coude avec des xxx de l'ambre (100 M.A.). J'ai également un
serpent aquatique à l'expertise (chez Eric) piégé synchrone
avec une crevette d'eau douce... La crevette est plus désagrégée
que de normal. Et, je me pose la question complètement folle de savoir
si le serpent fossile n'aurait pas été attablé sur la
dépouille de la crevette ? D'où la lecture TRES utile d'Eric
qui s'est spécialisé sur la narration argumentée des
piégeages, taphonomie... Tout cela pour vous dire Monsieur, que votre
message concernant le dépôt des pièces uniques dans les
musées... bla bla bla.../..."
Juin 2018, Le Musée Jaune Virtuel tient plusieurs conférences
et
mentionne ses découvertes d'espèces inconnues de la
science.
Le 05/07/18 l'information
est publiée dans la presse
et on expique la découverte, par exemple, des
insectes Gladiateurs dans l'ambre Birman.
AUTRES PIECES UNIQUES, pieces rares et pièces
exclusives, ...
NOUVELLES ESPECES : demandez le programme ICI.
Ancient snake
embryo found encased in 105-million year-old amber. First fossilized embryo
rewrites what paleontologists know about ancient snakes. By
Katie Willis on July 18, 2018
SCIENCE ADVANCES 2018; July 2018. A mid-Cretaceous
embryonic-to-neonate snake in amber from Myanmar. Lida
Xing.
YES : Myanmar Amber Reveals Secrets Of Prehistoric Snake !!!
YES : Like Magic, Delicate Fossil Of Oldest Baby Snake Found in "Musée
Virtuel Jaune" Amber...
YES : Fossilised Snake Embryo Found in "Musée
Virtuel Jaune" 100 million-year-old
Amber!!!
Xiaophis myanmarensis!!!
Puisque
l'ambre fluoresce ici naturellement au soleil, (effet
bleuissant constaté pour certains échantillons) en
prenant les éclairages correctes (j'utilise la lumière
naturelle du soleil, rien d'autre, aucun filtre de couleur, évidemment)
on peut alors dissocier les liquide (amorphes ou pas) conservés
dans l'ambre. Et on voit au final ici toute la dynamique d'effusion
des fluides de l'animal !!! Le serpent a été sectionné
net, violemment et le mouvement est enregistré dans l'ambre.
Le fluide corporel se déverse dans l'ambre. On aperçoit
même une écaille soulevée !!!! Et, comme c'est intéressant
! Lorsque l'on sait que les tiques sont hématophages, en repérer
une ici à coté du serpent en dit long sur le piégeage
initialement réalisé en dehors de l'eau...
Comme on peut le constater sur la photo du serpent, les fluides qu'il a dégagés apparaissent d'une couleur différente à celle des imageries ordinaires... Ici le rendu est plutôt jaune clair vers la coupure nette du serpent puis devient orange clair autour de la tête détachée du corps. Cette fluorescence naturelle à la lumière du soleil permet de montrer ce que toute autre lumière électrique (donc artificielle) ne restitue pas. UTILISER la fluorescence naturelle des pièces d'ambre pour sonder la taphonomie des inclusions fossiles EST DONC UNE EXCLUSIVITE du musée virtuel... En 2018, personne n'a jamais utilisé ce procédé (en détaillant les intensions et en expliquant les résultats). Personne n'a publié sur le sujet... |
Et, pour finir, ci-dessous
Xiaophis myanmarensis
le poster du serpent !!!!
Exceptional
and incredible,...
another snake in amber!
The scales overlap!!!
Incroyable !!!
La petite portion d'exuvie, ci-dessus, est une peau de "proto-serpent".
Car dans d'autres pièces d'ambre on peut repérer des
telles portions centimétriques si longues et filiformes (sans
rétrécissement) qu'elles ne correspondent pas au type
d'une queue de lézard !!! Les queues des lézards
montrent toujours une constriction progressive qui n'apparait pas
ici sur ce genre de mue. C'est une nouvelle peau
(exuvie) de proto-serpent et le plus intéressant
est que l'on peut restituer
les couleurs irisées de l'animal qui vivait exposé
au soleil au temps des dinosaures !!! |
Retour au Musée Jaune
Virtuel.