Still a huge new discovery unknown to science (*).
It's Two snakes!!!! Two kind of water snakes
trapped in the same amber with
a freshwater shrimp.

The scales overlap, and it is
two water snakes!!!

Two snakes in Burmese 100 M.A. amber!!!
It's a HUGE world scoop!!!







Encore une découverte énorme inconnue de la science (*).
Deux serpents ! Deux types de serpents d'eau piégés
dans le même ambre avec une crevette d'eau douce.

Les écailles se chevauchent et ce
sont deux serpents d'eau !!!


Deux serpents dans l'ambre birman 100 M.A.
C'est un scoop mondial !!!





Venons-en au sujet CRUCIAL, TOUJOURS le même pour l'ambre, celui de l'étude de la gemme qui donne une expertise fiable et imparable des inclusions... Qu'avons-nous là devant les yeux ? Nous avons un ambre jaune, plutôt sale, chargé de particules... L'ambre semble ancien avec d'ailleurs une portion fine très allongée qui traverse l'échantillon... Quelle est cette chose étrange ??? Quelle est la nature de ce gros filament conservé dans l'ambre ? Comment savoir si l'ambre est authentique et comment identifier la portion longue ? Il y a tant de collectionneurs dépassés, peu critiques qui, ne sachant pas quoi et comment regarder les choses, restent au niveau des suppositions.... Mon bijou acheté est-il vrai ??? Les ambres utilisé en marqueterie sont-ils natifs ? Les panneaux de la chambre des Stars (la célèbre chambre d'ambre) sont-ils agrémentés de gemmes originelles où de matières dopées aux plastiques ? Et, pour les plus septiques de se lancer parfois dans des expertises douteuses puisqu'ils ne savent pas quoi chercher... TOUTES CES QUESTIONS trouvent leurs expertises fiables (implacables) lorsque l'on examine les traces, LESQUELLES EXISTENT TOUJOURS dans l'ambre.

1) UN AMBRE contient toujours des traces.
2) Les traces racontent la nature de l'ambre.
3) Les traces précisent rigoureusement la nature des inclusions !

Ce sont les traces qui vont dire si l'ambre est vrai. Et ce sont les traces qui vont révéler la nature générique de l'inclusion. L'inclusion est-elle organique ou minérale ? La portion (éventuellement organique) aura-t-elle été pigée vivante ?...
99% des expertises concernant l'ambre peut se faire par l'examen des traces...
Posé sur la table, un ambre qui contient une sorte de filament long ne raconte (à première vue) pas grand chose... Un naturaliste (qui ne connaît pas l'ambre) dira à la limite que le "filament" pourrait-être une sorte de portion végétale, une possible racine... Mais comment aller plus loin dans les explications... VOYONS le sujet des traces avec un cas concret...














Approchons nous... Et... Déjà, ci-dessous, une information cruciale apparaît !






Ci-dessus, plusieurs lignes entourent l'objet... Et ces lignes apportent des informations cruciales. Evitons les digressions, allons à l'essentiel. La ligne C représente le fluage... C'est le mouvement de la résine qui coule et se déplace sous le jeu de la force de la pesanteur... La ligne B, symétrique le long de l'inclusion, est la marque fantôme du déplacement de l'objet qui en bougeant marque la résine et modifie la ligne C. La ligne B démontre que le mouvement est alors synchrone mais perpendiculaire au fluage... La ligne A, plus, fine qui suit parfaitement la ligne B est une diffusion d'un fluide qui provient de l'inclusion et qui imprègne la résine... La logique des lignes A, B et C démontre la présence d'un corps capable de mobilité qui marque le fluage en libérant des fluides. L'objet est donc résolument du type animal... Car dans le même ambre séparé d'à peine deux millimètres, une portion végétale voir ci-dessous ne laisse AUCUNE trace de déplacement... DONC l'exploitation des lignes A, B et C démontre que l'objet "animal" était vivant quelques instants dans la résine, car ses mouvements sont enregistrés...







Ci-dessous une portion végétale complètement amorphe...
Un végétal ne bouge pas par agonie dans la résine, c'est assez logique...





 
Sous le végétal, on peut voir les traces de quelques compactions, ce sont les marques rondes qui
en lumière polarisée révèleraient les zones des tensions internes conservées dans l'ambre...
Les fins tissus végétaux désagrégés (en mouvement), renseignent sur la force et
la direction du fluage, en l'occurrence vers le haut de l'image...





Ci-dessous, dans sa partie plus centrale, on peut voir que l'animal a marqué
la résine en bougeant. Mais, cette fois, aucun liquide n'a diffusé dans la
gemme. Il n'y a donc qu'une ligne de mouvement autour de l'animal....











Les éclairages puissants en lumières bleues restituent, ci-dessous, des effets variés
surtout nombreux qui ne correspondent pas aux traces laissées par les athropodes...






Bien que la gemme semble homogène en lumière blanche, on peut révéler (ci-dessus) la présence hétérogène de corps gras dans la matrice profonde. Ces corps diffusés à partir de l'inclusion sont toujours situés dans la limite des coulées du fluage. Ces corps gras ont plusieurs textures différentes, certains montrent des reliquats "fibreux" d'autres sont vitreux... Ces intrants organiques non miscibles à la résine restituent des couleurs vives lorsqu'ils sont éclairés sous les lumières puissantes colorées bleus... Les lumières bleues qui rentrent dans la gemme ont l'effet d'estomper l'ambre pour le rendre de plus en plus diaphane révélant les "polluants gras". Parfois du collagène apparaît dans l'ambre associé à des tissus mous désagrégés par le chimisme des acides de la résine... Ces effets parfaitement révélés dans cet ambre sont surtout associés aux vertébrés plus qu'aux arthropodes... L'animal qui ressemble à un myriapode qui serait dépourvu de pattes est en fait ici un serpent aquatique juvénile...











La présence de matières sans doute collagènes associées à des corps gras apparait, (ci-dessus, vignette de gauche) exclusivement par contraste des couleurs en éclairages spécialement forts orientés dans le sens du fluage. On voit PARFAITEMENT les amas diffus figés dans la résine !!!! Et ces amas devenus colorés par contraste des lumières proviennent rigoureusement des portions animales... Ces traces SI IMPORTANTES sont les preuves incontestables que l'inclusion est ici évidemment de type vertébré. Aucune inclusion minérale ou végétale (bien plus amorphe) ne laisse d'empreintes aussi nettes et variées dans le milieu piège de la résine... Sur la partie droite de l'image toutes la zone nimbée jaune en large "nuage" est une trace de dégazage née aux activités bactériennes associées aux fluides viscéraux de l'animal!!!! Là encore cette TRACE ENORME révélée par des éclairages précis DEMONTRE sans aucune hésitation possible que l'inclusion est animale. Aucune portion végétale ne dégaze autant et surtout de cette façon dans une résine... Imperceptibles en lumière blanche, PREUVE EST DONNEE ici que les traces EXISTENT BIEN dans la résine ! Les traces existent toujours dans l'ambre (qu'il y ait ou pas des inclusions) !!!










Lorsqu'une portion animale tombe dans la résine, INEVITABLEMENT des réactions chimiques interviennent sur le corps polluant. La portion (devenue inclusion) est un volume étranger qui va laisser d'autant plus de traces mémoires dans la gemme que le corps entré dans la résine est important avec son cortège de produits réactifs. Ici la trace la plus évidente (voir ci-dessus) est ce panache de bulles, (bulles diffusées en volute dans la résine), par l'activité bactérienne qui agit sur la dépouille animale. La volute des bulles (toutes lâchées à une extrémité de l'animal) DEMONTRE un arrachement des tissus précisément à cet endroit. Les bulles de fermentation sortent de l'animal comme un liquide coule d'une canalisation cassée... Les bulles sont ensuite étirées par le fluage qui développe alors l'effet de la volute dans la résine !!!! LA ENCORE, UNE TRACE DONC TRES EXPRESSIVE démontre le traumatisme localisé à cet endroit précis de la dépouille animale !!!! Par dessus l'impact, une forme triangulaire fuselée montrant une marque ronde (qui rappelle vaguement un "œil") restitue des fluides déplacés dans la logique d'un impact profond... Il semblerait qua la section fuselée puisse alors avoir été sectionnée, séparée du reste du corps d'où émerge la volute des bulles de fermentation... Quoi qu'il en soit, LES TRACES DEMONTRENT UN IMPACT FORT (une blessure sans doute fatale) sur l'animal. Les traces qui existent (TOUJOURS et qui ne sont pas une vue de l'esprit) permettent de faire une autopsie de l'animal.











Nous venons de voir avec la lecture déductive des traces sur l'image précédente que l'animal est blessé au niveau de la volute des bulles. Le corps est effectivement sectionné par un écrasement en rotation. Le corps pendant le bref instant de l'impact a bougé (glissé légèrement) dans la résine étalant d'autant les diffusions fluides mais pas les bulles (évidemment diffusées plus tard dans la résine)... LA ENCORE LES TRACES permettent de tenir une séquence temporelle TRES PRECISE... Certaines traces marquent la résine les unes avant les autres, ET PAS L'INVERSE !!!! D'abord les diffusions fluides, puis, les bulles... A ce stade, nous avons donc la corrélation parfaite entre le mouvement, la diffusion des traces et la blessure !!!! LES NOTIONS (les trois notions réellement photographiées) sont toutes reliées les unes aux autres ! ET, ci-dessus, UN DETAIL FORMIDABLE vient finaliser l'expertise: lors de l'arrachement des tissus animaux, trois écailles ont basculées latéralement dans le sens des forces exprimées. Les trois écailles sont plutôt longues et démontrent qu'elles se chevauchent pour moitié sur le corps de l'animal. Là encore cet indice prouve la présence d'écailles qui se recouvrent pour moitié sur toute la surface du corps. L'animal n'est donc pas d'un type entomologique où les plaques (métamères) sont toujours jointes... L'animal est un serpent, mortellement blessé qui a agonisé dans la résine en laissant une trace très brève d'un mouvement situé dans seulement dans la portion médiane. Les TRACES qui permettent de conduire la séquence LOGIQUE des évènements survenus permettent aussi de tenir ici une autopsie de la dépouille ! Au niveau de a blessure, les écailles basculées de côté démontrent qu'elles sont normalement insérées et articulées sur l'animal. La blessure qui révèle les particularités anatomiques prouve que l'animal est un serpent. Pour cette inclusion, les traces conservées dans l'ambre, sont d'une précision redoutable !!!











Observation incroyable et déconcertante !!!! Ci-dessus, ce n'est pas un serpent piégé dans l'ambre MAIS BIEN DEUX qui sont conservés dans ce fossile décidément exceptionnel et assez hors norme ! Le second serpent, trois fois plus large que le premier, est difficile à repérer car nimbé dans un manchon de résine sombre rendue opaque par une décomposition des tissus mou. Le second serpent est incomplet. La partie arrière (puisque les écailles donnent l'avant et l'arrière) est operculée. Le corps de l'animal sort de l'ambre. Le premier serpent blessé, (juvénile), est conservé complet. Le second n'est qu'une portion d'un corps plus grand. La structure par écaille n'est visible qu'à un endroit.











Ci-dessus, une observation rapprochée permet de voir que les écailles qui se chevauchent
pour moitié
sont surtout insérées dans le corps sur un angle à 90° ce qui
constitue sans doute un mécanisme local de charnière pour
assurer une mobilité technique fonctionnelle...



.
Ci-dessous, en saturant les éclairages pour estomper l'ambre jusqu'à le faire
"disparaître" on peut voir la position des deux serpents dans le fossile
comme le montre aussi l'image prise aux rayons X...









Autant le serpent N°2 est difficile à commenter car observé en état de
"décomposition", autant le serpent N°1, plus petit, est riche en
traces associées qui permettent de raconter la
taphonomie surtout précise du piégeage.










Si l'on néglige les traces conservées dans l'ambre, si l'on regarde vite l'anatomie des structures animales, on pourrait penser à des portions de queues de quelques lézards... Les écailles sont insérées par recouvrement sur le corps... Mais les queues des lézards n'ont jamais la même section sur toute leur longueur... Seuls les serpents sont aussi réguliers...

Découvrir deux proto-serpents (dont l'un, juvénile, complet) piégés synchrones à une crevette d'eau douce est un cas UNIQUE !!!! TOUTES LES INCLUSIONS de cet ambre exceptionnel mériteraient des descriptions scientifiques !!!

Les confusions possibles, les mauvaises interprétations (aussi) sont tellement nombreuses... Pas facile d'identifier les espèces hôtes (chez ces rares vertébrés fossiles du crétacé) lorsque l'on retrouve les restes incomplets dans l'ambre de quelques portions étranges, allongées couvertes d'écailles...

Dans l'ambre, on a identifié la queue de Jucaraseps, un petit lézard du crétacé et Calanguban un autre représentant des lézards anciens... Les queues des lézards sont toujours progressives, elles se terminent en pointe... Ici, à l'inverse, les deux portions sont régulières.

Que faut-il penser de ces deux serpents piégés dans le même ambre ? Aucune patte, le corps est parfaitement régulier, les écailles où certaines lattérales portent des pointes (pour améliorer la reptation amphibie ??? alors en dehors de l'eau ???) se chevauchent partiellement. Le corps est surtout régulier et d'un diamètre constant. Les deux portions de vertébrés donnent une réponse positive aux rayons x...

Les proto-serpents sont plutôt rares dans l'ambre et ils sont piégés ici synchrones avec un Gammare !!! UNE CREVETTE AQUATIQUE !!! qui, constat pris, EST AUSSI RARE que les "proto-serpents" !!! Qui de l'un ou l'autre est plus rare lorsque les références sont uniques ?... DIFFICILE DE REPONDRE !!!!















DECOUVERTE RARE et UNIQUE :
DEUX SERPENTS sont ici
conservés dans un ambre
avec une crevette
(GAMMARE)...
























Les autres inclusions dans la pièce d'ambre.









En forçant les éclairages jusqu'à traverser l'ambre, on identifie ici une portion de feuille (limbe)
reconnaissable à ses cellules végétales organisées avec les vaisseaux conducteurs de sève...








Ci dessus, dans le même ambre, voici une petite larve aquatique d'insecte. On notera
que l'abdomen se termine en spatule, (organe peut-être respiratoire
utilisé comme une rame pour se déplacer dans l'eau).












Document non finalisé, rédaction en cours...







Baby Snake That Lived Among
Dinosaurs Found Preserved
in Amber Museum
Collection !!!!



Petit rappel : qui a trouvé quoi le premier...

Lu dans la presse : Un embryon de serpent déclaré UNIQUE au monde (RIRE) donc TRES remarquable (rires, bis) aurait été découvert dans un écrin jaune daté de 99 millions d'années !!! FORMIDABLE la science est en marche, la science avance (avec un jeu de mot car la revue s'appelle : "Science Advances") sur l'inventaire des inclusions de l'ambre !!!
Trouvé au Myanmar, (tient donc !) le fossile minuscule est décrit comme UNIQUE dans une publication scientifique ! Les vestiges, "complets" (Rires, il manque quand même le crâne, car les os sont là aussi digérés par le chimisme de la résine) avec les fragments de peau, fournissent "de nouveaux points importants" pour notre compréhension des modèles et des processus de l'évolution des serpents jusqu'aux proto-serpents. Des paléontologues chinois, canadiens, américains et Australiens ont mené l'enquête !!!!
Les scans CT ont été utilisés pour scruter les détails anatomiques, c'est dire TOUT le sérieux TRES EXCLUSIF des travaux publiés dans la revue : "Science Advances"!!!!
Le serpent déclaré UNIQUE montre des "similitudes importantes" avec d'autres serpents de la période du Crétacé dans le supercontinent paléontologique du Gondwana. Nous voilà donc bien renseignés (rires) ! Les serpents errent sur la terre depuis environ 167 millions ans. Le premier, spécimen UNIQUE dans l'ambre donc, aurait été trouvé dans le matériel birman...
Oui, à l'exception près qu'il en existe sans doute (restons prudent) déjà plusieurs !!!! Espérons que la science dans sa grande clairvoyance (pleine de désintérêt) permettent aux collectionneurs privés de présenter leurs découvertes pour étude (étant dit qu'ils réclament le dont gracieux des pièces) ce qui ressemble peut-être à une petite "appropriation"...

Concernant ce serpent présenté ici dans cette page web, des courriers ont été échangés dès l'été 2018 avec des scientifiques (xxx) pour alerter de l'importance de cette découverte... Sans audience particulière... La science paléontologique des serpents de l'ambre (humour) voudrait-elle nous faire avaler des couleuvres ??? (Rires, humour).



Juin 2018, les serpents de l'ambre crétacé birman sont encore "inconnus" de la science...
D'où des courriers électroniques pour communiquer sur les découvertes des pièces forcément exclusives.
Ci-dessous, copie partielle des courriers échangés avec les scientifiques xxx pour alerter sur la
découverte IMPORTANTE d'un serpent de l'ambre (alors inconnu de la science).


"... Monsieur, j'ai quelques infos (pas vraiment scientifiques) sous le coude avec des xxx de l'ambre (100 M.A.). J'ai également un serpent aquatique à l'expertise (chez Eric) piégé synchrone avec une crevette d'eau douce... La crevette est plus désagrégée que de normal. Et, je me pose la question complètement folle de savoir si le serpent fossile n'aurait pas été attablé sur la dépouille de la crevette ? D'où la lecture TRES utile d'Eric qui s'est spécialisé sur la narration argumentée des piégeages, taphonomie... Tout cela pour vous dire Monsieur, que votre message concernant le dépôt des pièces uniques dans les musées... bla bla bla.../..."



Juin 2018, Le Musée Jaune Virtuel tient plusieurs conférences et
mentionne ses découvertes d'espèces inconnues de la science.

Le 05/07/18 l'information est publiée dans la presse
et on expique la découverte, par exemple, des
insectes Gladiateurs dans l'ambre Birman.



AUTRES PIECES UNIQUES, pieces rares et pièces exclusives, ...
NOUVELLES ESPECES : demandez le programme ICI.




Ancient snake embryo found encased in 105-million year-old amber. First fossilized embryo
rewrites what paleontologists know about ancient snakes. By Katie Willis on July 18, 2018


SCIENCE ADVANCES 2018; July 2018. A mid-Cretaceous
embryonic-to-neonate snake in amber from Myanmar. Lida Xing.










YES : Myanmar Amber Reveals Secrets Of Prehistoric Snake !!!

YES : Like Magic, Delicate Fossil Of Oldest Baby Snake Found in "Musée Virtuel Jaune" Amber...

YES : Fossilised Snake Embryo Found in
"Musée Virtuel Jaune" 100 million-year-old Amber!!!


Xiaophis myanmarensis!!!








      Puisque l'ambre fluoresce ici naturellement au soleil, (effet bleuissant constaté pour certains échantillons) en prenant les éclairages correctes (j'utilise la lumière naturelle du soleil, rien d'autre, aucun filtre de couleur, évidemment) on peut alors dissocier les liquide (amorphes ou pas) conservés dans l'ambre. Et on voit au final ici toute la dynamique d'effusion des fluides de l'animal !!! Le serpent a été sectionné net, violemment et le mouvement est enregistré dans l'ambre. Le fluide corporel se déverse dans l'ambre. On aperçoit même une écaille soulevée !!!! Et, comme c'est intéressant ! Lorsque l'on sait que les tiques sont hématophages, en repérer une ici à coté du serpent en dit long sur le piégeage initialement réalisé en dehors de l'eau...

      Comme on peut le constater sur la photo du serpent, les fluides qu'il a dégagés apparaissent d'une couleur différente à celle des imageries ordinaires... Ici le rendu est plutôt jaune clair vers la coupure nette du serpent puis devient orange clair autour de la tête détachée du corps. Cette fluorescence naturelle à la lumière du soleil permet de montrer ce que toute autre lumière électrique (donc artificielle) ne restitue pas. UTILISER la fluorescence naturelle des pièces d'ambre pour sonder la taphonomie des inclusions fossiles EST DONC UNE EXCLUSIVITE du musée virtuel... En 2018, personne n'a jamais utilisé ce procédé (en détaillant les intensions et en expliquant les résultats). Personne n'a publié sur le sujet...







Et, pour finir, ci-dessous
Xiaophis myanmarensis
le poster du serpent !!!!





Exceptional and incredible,...
another snake in amber!
The scales overlap!!!

 




      Incroyable !!! La petite portion d'exuvie, ci-dessus, est une peau de "proto-serpent". Car dans d'autres pièces d'ambre on peut repérer des telles portions centimétriques si longues et filiformes (sans rétrécissement) qu'elles ne correspondent pas au type d'une queue de lézard !!! Les queues des lézards montrent toujours une constriction progressive qui n'apparait pas ici sur ce genre de mue. C'est une nouvelle peau (exuvie) de proto-serpent et le plus intéressant est que l'on peut restituer les couleurs irisées de l'animal qui vivait exposé au soleil au temps des dinosaures !!!



La phylogénie des serpents.


      Remarque : Peut-on distinguer, AU CRETACE, à cette époque charnière (SI statégique) un proto-serpent, d'un lézard progénote en examinant quelques écailles conservées dans l'ambre ???
Pour certains naturalistes les "lézards" auraient une peau où sont dessinés une multitude de petits carrés qui varie de taille selon la partie du corps observé... Et les "serpents" et assimilés auraient plutôt une peau avec une multitude de petits "losanges", étant dit que les formes varient beaucoup selon les parties de l'animal, les écailles pouvant êtres rectangulaire.... Pour d'autres observateurs, les écailles s'élargissent de plus en plus en allant sur le coté de l'épaisseur du corps chez les "serpents".... Mais toutes les observations tenues dans l'ambre peuvent montrer des contres exemples problématiques. Distinguer un serpent d'un lézard, à partir des inclusions crétacées de l'ambre, est tellement épineux qu'il faut de la chance (humour) pour rester sur les bonnes expertises. Le sujet est identique avec les plumes et proto plumes (si variées) où l'identification de l'espèce hôte est très problématique...











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