Les
inclusions rares du Miel de Fortune
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Ressemblant à un bulbe végétal, une petite inclusion étrange dans un ambre balte... est... en fait,... ... OUI !!!! un animal marin ! |
La fin du paradigme
balte. |
L'ambre
piège aussi les habitats benthiques intertidaux. Aussi étrange
que cela puisse être, les oléorésines forestières
peuvent opérer des interceptions strictes d'espèces vivantes
dans des habitats du domaine estuarien et plus précisément
à la zone de balancement des marées sans végétation.
L'ambre qui opère à l'estran est assez piégeur
et opère des captures dans l'espace côtier compris entre
les limites extrêmes atteintes par la marée. L'examen des
espèces (mobiles ou non et parfois dénuées de force
pour se libérer du gluau) peut décrire des assemblages
d'espèces appartenant au macrozoobenthos avec les traces des
sédiments associés. La fraction incomplète macrozoobenthos
de l'ambre peut montrer des invertébrés vagiles (qui peuvent
se mouvoir, se déplacer, sur le substrat) et sédentaires,
de taille assez variables, supérieure à 1 mm vivant en
relation avec le substrat marin. Une portion unique (de 7 cm !)
de ce qui pourrait être une
antenne de crevette existe dans un ambre balte. (Découverte
Eric G. Publication Juin 2002, page 157 dans l'ouvrage Ambre, Miel
de Fortune et Mémoire de Vie.)
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Il
existe deux types de Cnidaires, ceux qui vivent fixés
sur un support, et dont l'orifice buccal est orienté vers le
haut, ce sont les polypes ; enfin, ceux, libres, dont l'orifice
buccal est orienté vers le bas, ce sont les méduses.
De part le mode de vie, la grande majorité des découvertes
de Cnidaires fossiles est constituée de polypes.
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A ce stade, toutes les hypothèses sont permises. |
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Une
ressemblance avec une mousse et des similitudes avec des foraminifères...
Après la comparaison aux mousses, regardons l'hypothèse du foraminifère géant... Si l'on oublie la taille évidemment minuscule de ces organismes unicellulaires (des organismes qui se mesurent en micro mètres), quelques Foraminifères qui forment le plancton (de par la simple variation infinie des formes) ont parfois une ressemblance plus ou moins concordante avec l'inclusion balte. Certains unicellulaires marins sont pédonculés, striés, certains ont la forme d'une petite bouteille... Bref, pour correspondre à l'inclusion balte, il faudrait un Foraminifères GEANT... Lagena striata (espèce marine benthique) pourrait-il être un modèle ??? |
Pour
les allemands, les inclusions marines présentes dans
l'ambre peuvent à la limite s'expliquer par la
théorie (idiote) du coup de vent qui arrache à l'occasion
et transporte les organismes légers au milieu de la forêt...
Sous le nez des détracteurs français et allemands qui réfutent l'invention (c'est à dire la première découverte), LE CNIDAIRE de l'ambre balte n'est PAS UN CANULAR. Le fossile réel existe et il est médiatisé et alors présenté à la presse.
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OUI
!
Les animaux marins existent dans l'ambre !
La
science officielle n'en parle pas (encore) car les pièces
rares et uniques sont évidemment dans des collections privées...
Mais les scientifiques (de la grande institution parisienne) qui réfutent
les découvertes depuis 1998, vont devoir admettre que les références
synchrones se multiplient.... LES INCLUSIONS (déclarées)
IMPOSSIBLES depuis SI LONGTEMPS sont-elles finalement envisageables ?
(Rires)... En science, le temps fait son uvre et plus le temps
passe, plus je me dis que les donneurs de
leçons (surtout pour l'ambre) ont raconté
beaucoup de choses fausses utilisant les dogmes
et leurs théories (constamment
réajustées jusqu'à devenir farfelues)
là où l'exploitation des observations de terrain manquaient...
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La
TRES DIFFICILE EXPLICATION des animaux marins conservés dans
l'ambre.
L'ambre est sans doute la matière la plus intraitable pour l'esprit scientifique....On dit fréquemment au public (jusqu'au discours scolaire donné aux enfants) que la "science" progresse, pas à pas sur ses dossiers, en tenant des hypothèses régulièrement testées puis réactualisées aux vérifications de terrain. On donne ce message rassurant que la connaissance du monde est en marche, alors de la meilleure des façons. Mais sorti de l'école, on se confronte à la vraie vie (différente). Et les penseurs (et donneurs d'ordres) travaillent d'une autre manière dans les grandes institutions... Concernant l'ambre, dans les laboratoires, sur les paillasses parmi les loupes binoculaires, les hommes en blouse blanche inventent des lois immuables. Sans autre moteur que l'inspiration, le laborantin thésard imagine un concept, il modélise une image "ressentie", déjà construite en "vérité"... Conçue de cette façon abstraite, séparée de toute réalité, l'idée ainsi amenée dans les publications s'appelle un dogme. Pourquoi travailler ainsi? La réponse est simple : les feux de la rampe s'allument d'avantage sur celui qui "trouve" une théorie neuve que sur celui qui la vérifie... Et, l'inventeur se battra bec et ongle toute sa vie pour ne pas être discrédité, refusant de mettre au panier la gloire médiatique relayée par les journalistes (de connivence) qui font la science-spectacle... La théorie allemande imbécile du coup de vent ! Au seul critère que le piège végétal collant des résines d'arbres est une interception stricte résolument aérienne (en forêt), les théoriciens réfutent catégoriquement la présence d'organismes marins dans l'ambre ! Et les scientifiques allemands d'inventer leurs pirouettes intellectuelles les plus saugrenues pour garder le contrôle des explications, comme les rafales de vent pour transporter les espèces marines. Mais le saugrenu tourne vite au ridicule avec les espèces marines benthiques (qui vivent au fond des océans). Discuter des fossiles avec des dogmatiques est une épreuve dont la difficulté n'est pas concevable à l'école !!!! Oser dire que l'on a de VRAIS fossiles marins conservés dans l'ambre vaut l'excommunication (littéralement la mise hors de la communauté pour de nombreuses années)... Il semble que les premières présentations d'espèces marines conservées en inclusions dans l'ambre aient été médiatisées à Fossilium (le célèbre salon d'exposition vente Paléontologie - Minéralogie à Villeneuve d'Ascq). Sous l'il révulsé des donneurs d'ordres, pendant plusieurs années, le sujet des animaux marins nichés dans l'ambre a été posé sur la table et commenté en conférences publiques, jusqu'à être médiatisé dans les journaux, jusqu'au prix qui récompensera le fossile le plus rare exposé en 2000, le premier animal marin identifié dans l'ambre balte : un Cnidaire!!!! Une crevette de rivage peut à la limite voyager dans les airs par un coup de vent... A la limite... Le dogme vit encore... Mais la découverte des polypes marins fixés aux roches n'est plus tenable !!!! Et, le dogme d'être maltraité plusieurs fois car les cnidaires apparaissent vingt ans plus tard dans l'ambre cette fois birman (100 M.A.). Depuis toutes ces années les cnidaires de l'ambre sont réfutés par les dogmes et, ignorés de surcroit des études scientifique qui imposent aux découvreurs de faire don de leur pièce gracieusement pour les déposer dans des institutions. Déconcertée, la communauté scientifique publie en 2017 la découverte bien "problématique" d'une coquille de bivalve marin nichée dans un pendentif vendu par un bijoutier qui ignore tout de la théorie des coups de vents... Pour donner l'ultime référence au dossier, ne faudrait-il pas une "étoile" tombée du ciel ? (Humour)... Juillet 2018, ce qui ressemble à des étoiles de mer (organismes marin en symétrie 5) n'apparait-il pas ici figé dans l'ambre ? Les étoiles (de mer ou d'ailleurs) sont-elles transportées par le vent ??? |
Le
sol fossilifère crétacé, birman est jonché,
truffé de ces étoiles qui apparaissent
par millions dans les strates géologiques marines !!!!
Les prospecteurs connaissent PARFAITEMENT CES ETOILES que l'on retrouve
par dizaines dans les roches fossilisées en pierres !!!
DES ETOILES pleins les roches !!!! OUI !!!
MAIS le détail truculent est ici que ces étoiles '"fréquentes" dans le biotope originel PEUVENT AUSSI se retrouver piégées dans l'ambre... L'impossible déclaré canular par les scientifiques (pendant de si longues années) est là une nouvelle fois sous nos yeux ! Les animaux marins benthiques sont conservés dans l'ambre crétacé (100 M.A.) ce qui ne colle pas vraiment avec la théorie défendue bec et ongle de la forêt qui opère ses seuls piégeages sur les hauteurs continentales. |
Les auteurs surtout allemands ont conceptualisé depuis longyemps
l'image virtuelle de la forêt d'ambre comme un monde exclusivement
terrestre où les inclusions génériques aquatiques
sont "hors modèle", QUANT aux marines (rires!!!)
elles n'existent pas CAR tout simplement impossibles !!! Et
les scientifiques français (pas tellement plus clairvoyants)
de reprendre ce modèle FAUX pour bloquer pendant plus de
20 ans sur la réalité des choses, malgré les
preuves présentées plusieurs fois sous leur nez !
Le temps faisant son uvre, (les jeunes poussant les barbons à la retraite), les nouvelles théories gagnent en force et parfois achèvent les dogmes agonisants. Et des fossiles formidables extraits de la collection du Musée Jaune Virtuel démontrent une autre réalité pour la forêt d'ambre. Au crétacé par exemple, il existait des falaises abruptes où par l'érosion, les arbres déjà enrésinés tombaient directement dans la mer et des lagons... Les espèces marines ont alors été piégées par contacts et interception strictes !!! Le piège a fonctionné dans l'eau et sous l'eau (malgré le caractère dogmatique hydrophobe du gluau) et donc autrement que par les hypothèses saugrenues des coups de vents... NOTE : Ici, dans cette page, dès que possible, NOUS ALLONS PRESENTER des choses rares et exclusives... Dès qu'elles auront été présentées aux journaux : exclusivité oblige !!! |
Les petites étoiles piégées dans la partie
sombre de l'ambre sont les pièces columnaires d'un pédoncule
fossilisé de Crinoïde... Pour donner une image simple,
on pourrait dire que ce sont les vertèbres d'une "colonne
vertébrale" désorganisée d'un lys
de mer (pentacrine), si l'animal était évidemment
un vertébré... Les "Lys de mer" (Crinoïdes)
sont des animaux marins appartenant à la classe des Echinodermes
(Oursins, étoiles de mer...), à symétrie 5.
Ces animaux, anciens d'un point de vue paléontologique, qui
trouvent leur apogée au Paléozoïque (de -540
à - 250 Ma) ont divergé selon de nombreux types et
plus de 6.000 espèces fossiles sont alors identifiées.
Les plaques, ici séparées les unes des autres, (qui
montrent ainsi la symétrie 5), sont les éléments
séquences du pédoncule de l'animal. Le corps de l'animal
se compose de trois parties. Le pédoncule, cette tige segmentée
(par ces étoiles) qui soutient un calice en forme de coupe
d'où rayonne une couronne formée de bras empennés.
Un lys de mer vit sur son pédoncule toute sa vie. Et selon
les espèces l'animal se fixe au substrat marin (sablonneux
ou dur) à l'aide de petits filaments. Lorsque les conditions
de stabilité le permettaient, les crinoïdes formaient
d'immenses prairies sous-marines, d'où l'existence d'un nombre
considérable de restes fossiles concentrés en un même
endroit. Etant formé à 80% d'un squelette formé
d'éléments en carbonate de calcium, (comme ces petites
étoiles) le répondant plutôt "minéral"
de l'animal qui convient bien aux processus de fossilisation pour
laisser de belles traces mémoires a peut être aussi
dissuader les prédateurs de les mettre à leur menu.
Manger, et croquer des minéraux n'est pas spécialement
très comestibles et/ou digeste...
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