Les inclusions rares du Miel de Fortune
 

Ressemblant à un bulbe végétal, une petite inclusion étrange
dans un ambre balte... est... en fait,... ... OUI !!!! un animal marin !  
 



La fin du paradigme balte.

En limitant constamment le piège de l'ambre au seul modèle des résineux qui exsudent leurs suints déclarés hydrophobes aux seules portions aériennes des branches et du tronc avec ces stalactites collantes qui enrobent les inclusions par des recouvrements successifs et diurnes, les raconteurs de "vérités" se sont enfermés dans le model "tue mouche" d'Hugo Conwentz (qui n'est surtout pas l'explication générale de toutes les observations). Loin s'en faut. Le piège végétal à l'origine de l'ambre est-il seulement continental et aérien comme le dit le dogme de la forêt antique des "Pinus succinifera" rapporté par d'Hugo Conwentz puis reconduit par les racontars pour expliquer le succin balte ? Sous prétexte que l'arbre est continental, la science a porté le model au rang de paradigme (dogmatique)... Cette représentation de la forêt d'ambre, cette manière unique de voir les choses qui repose sur un fondement défini, est loin d'être suffisante.

L'observation, mère de toutes les sciences, dépose sur la table des oléorésines fossilisées (ambres et copals) aux propriétés très éloignées du model. Le mucilage par les racines, les résines gommes hydrophiles, les processus hydrothermaux de silicifications, etc. de très nombreuses notions très éloignées du paradigme rapportent des bestiaires fossiles certifiés impossibles par les compteurs de vérités. La science qui a réfuté bec et ongle (avec moquerie) le piégeage marin des cnidaires doit aujourd'hui expliquer que l'impossible canular présenté hier est attesté aujourd'hui par les observations factuelles enfin prises en compte...

Des ambres partiellement hydrophiles peuvent être silicifiés, des gemmes peuvent intercepter des espèces marines benthiques et même des stromatolites, etc... Les cnidaires des ambres baltes réfutés comme canulars par les scientifiques français sont des réalités qui existent dans plusieurs dépôts.











      L'ambre piège aussi les habitats benthiques intertidaux. Aussi étrange que cela puisse être, les oléorésines forestières peuvent opérer des interceptions strictes d'espèces vivantes dans des habitats du domaine estuarien et plus précisément à la zone de balancement des marées sans végétation. L'ambre qui opère à l'estran est assez piégeur et opère des captures dans l'espace côtier compris entre les limites extrêmes atteintes par la marée. L'examen des espèces (mobiles ou non et parfois dénuées de force pour se libérer du gluau) peut décrire des assemblages d'espèces appartenant au macrozoobenthos avec les traces des sédiments associés. La fraction incomplète macrozoobenthos de l'ambre peut montrer des invertébrés vagiles (qui peuvent se mouvoir, se déplacer, sur le substrat) et sédentaires, de taille assez variables, supérieure à 1 mm vivant en relation avec le substrat marin. Une portion unique (de 7 cm !) de ce qui pourrait être une antenne de crevette existe dans un ambre balte. (Découverte Eric G. Publication Juin 2002, page 157 dans l'ouvrage Ambre, Miel de Fortune et Mémoire de Vie.)





      Cette inclusion
minuscule, ci-dessus à droite et ci-dessous, (4 mm) qui ressemble à un petit "ballon monté sur pied", est le tout premier organisme marin au monde trouvé dans un ambre. Publication Juin 2002 - Eric Geirnaert. Voici ce qui semble être un Cnidaire vieux de 50 M.A. d'années dans une gemme polonaise... Une inclusion absolument unique au monde... Les lignes radiales concentriques semblent se réunir vers une sorte d'orifice central, l'objet piégé dans l'ambre polonais ressemble à une sorte de calice... L'inclusion s'apparente visuellement aux Polypiérites circulaires. Est-ce un madrépore (scléractiniaire) colonial ? C'est assez incroyable, oui, voici ce qui semble être un cnidaire, un petit corail solitaire, sorte d'Heterocyathus aequicostatus (appelé "dent de cochon circulaire").
 

      Il existe deux types de Cnidaires, ceux qui vivent fixés sur un support, et dont l'orifice buccal est orienté vers le haut, ce sont les polypes ; enfin, ceux, libres, dont l'orifice buccal est orienté vers le bas, ce sont les méduses. De part le mode de vie, la grande majorité des découvertes de Cnidaires fossiles est constituée de polypes.

 

 

 




 

Le premier organisme marin trouvé dans un ambre

 



Cnidaire, ambre de Pologne, 50 M.A.


      Certains de ces animaux savent ramper et possèdent une couronne de tentacules urticants autour de leur bouche, d'où le nom du groupe, dérivé du grec Knidê qui signifie ortie en relation avec cette caractéristique urticante. De tailles variées et de modes de vie très diversifiés, ces organismes ont longtemps été baptisés " fleurs des océans " par les scientifiques. Il est peu probable de trouver un animal marin vivant habituellement fixé sur le fond de la mer, pris au piège d'une coulée aérienne d'un pin tropical.
Comment expliquer la présence d'un cnidaire dans un ambre ? Une marée particulièrement haute qui remonte en forêt ? Un arbre creux transporté au large ? Un arbre tombant d'une falaise dans une sorte de petit lagon, et qui, sous le choc, laisse échapper un peu de résine qui piégera l'animal ?…


A ce stade, toutes les hypothèses sont permises.
 



La détermination du Cnidaire est due à
l'interprétation de la réunion des lignes radiales
qui se rejoignent au sommet du petit ballon.

 
L'inclusion est accompagnée de débris d'algues.



L'inclusion ressemble assez aux capsules ovales des mousses
(Hypnodontopsis confertus) de l'ambre, qui, en forme d'urne,
et, construites autour de seize nervures, sont dressées
et contiennent les spores. Des espèces
analogues à cette mousse apparaissent
aujourd'hui au Mexique et en Ougenda.


Le cnidaire ressemble un peu aux capsules des
mousses (Hypnodontopsis confertus), mais
ici les lignes se rejoignent et l'inclusion
est bien celle d'un animal.

 





 




      Une ressemblance avec une mousse et des similitudes avec des foraminifères...

      Après la comparaison aux mousses, regardons l'hypothèse du foraminifère géant... Si l'on oublie la taille évidemment minuscule de ces organismes unicellulaires (des organismes qui se mesurent en micro mètres), quelques Foraminifères qui forment le plancton (de par la simple variation infinie des formes) ont parfois une ressemblance plus ou moins concordante avec l'inclusion balte. Certains unicellulaires marins sont pédonculés, striés, certains ont la forme d'une petite bouteille... Bref, pour correspondre à l'inclusion balte, il faudrait un Foraminifères GEANT... Lagena striata (espèce marine benthique) pourrait-il être un modèle ???









 



Pour les allemands, les inclusions marines présentes dans l'ambre peuvent à la limite s'expliquer par la théorie (idiote) du coup de vent qui arrache à l'occasion et transporte les organismes légers au milieu de la forêt...
Et pour les français,
LA SITUATION EST ENCORE PLUS CLAIRE, les inclusions marines n'existent PAS ! Car elles ne peuvent PAS EXISTER ! D'où le titre consacré, en conclusion de mon livre : LES INCLUSIONS IMPOSSIBLES !


Si l'on suit la chronologie historique des travaux scientifiques consacrés aux inclusions de l'ambre, (travaux français les plus éducateurs pour suivre la pensée des chercheurs), on remarquera qu'ils disent CLAIREMENT en 2008 qu'ils supposaient (sans doute par la seule force du dogme et des idées préconçues) que les organismes marins ne pouvaient PAS être conservés dans l'ambre !!! J'ai en souvenir la réponse truculente de monsieur xxx qui, examinant mes cnidaires baltes, réfutait mes découvertes en 2000 et 2002.
"Oui, mais non... Arrêtez de fumer la moquette. Excusez-moi d'être aussi direct. Mais une fois encore vous voyez des organismes marins dans vos pièces de collection par le seul désir des exclusivités ! Comment voulez-vous qu'une résine résolument hydrophobe, de plus, sécrétée en forêt puisse attraper des animaux marins benthiques ? Soyons sérieux... Et pourquoi vous et vous seul depuis tout ce temps seriez vous toujours le seul à dénicher que qui échappe à la communauté si large de spécialistes compétents? Monsieur, je ne vois RIEN de marin dans vos pièces décidemment toujours aussi bizarre et étranges... Mais Monsieur n'hésitez pas à nous présenter encore vos pièces... Nous sommes là pour vous conseiller, c'est une part de notre métier".

ET LA PREUVE par les travaux publiés, dans quelques documents (2008) on peut lire :
"Amber usually contains inclusions of terrestrial and rarely limnetic organisms that were embedded in the places were they lived in the amber forests. Therefore, it has been supposed that amber could not have preserved marine organisms."
Et les scientifiques français de reprendre encore la théorie allemande farfelue des coups de vents responsables du transport générique des organismes marins dans la forêt d'ambre !!!
Dans les mêmes travaux:
"The amber forests of southwestern France grew directly along the coast of the Atlantic Ocean and were influenced by the nearby sea: shells and remnants of marine organisms were probably introduced by wind, spray, or high tide from the beach or the sea onto the resin flows."


 

Sous le nez des détracteurs français et allemands qui réfutent l'invention (c'est à dire la première découverte), LE CNIDAIRE de l'ambre balte n'est PAS UN CANULAR. Le fossile réel existe et il est médiatisé et alors présenté à la presse.


L'un des articles de presse qui relate la découverte du Cnidaire.


L'article de presse qui présente le Cnidaire : Le Journal Nord Eclair du 29/04/2000.





Le corail (Cnidaire) de l'ambre (ci-dessus, premier organisme marin de l'ambre balte publié en juin 2002 - Eric Geirnaert) a été considéré comme "canular" MONUMENTAL par les scientifiques de l'institution xxx dont mieux vaut taire le nom pour éviter les attaques...
Mais, si c'est un canular, COMMENT SE FAIT-IL QUE (SURPRISE !) LE même évènement se reproduise ENCORE avec les ambres, cette fois, birmans âgés de 100 M.A. ???? Les détracteurs peuvent-ils réfuter des fossiles qui apparaissent plusieurs fois ?

Voici, SANS aucun trucage, ci-dessous, un cnidaire piégé dans l'ambre birman (100 M.A). L'organisme qui sort de la résine est parfaitement identifiable... Et les scientifiques xxx, yyy et zzz de nous dire que le piégeage d'un organisme marin par la résine d'un arbre est impossible ?


















OUI !
Les animaux marins existent dans l'ambre !

La science officielle n'en parle pas (encore) car les pièces rares et uniques sont évidemment dans des collections privées... Mais les scientifiques (de la grande institution parisienne) qui réfutent les découvertes depuis 1998, vont devoir admettre que les références synchrones se multiplient.... LES INCLUSIONS (déclarées) IMPOSSIBLES depuis SI LONGTEMPS sont-elles finalement envisageables ? (Rires)... En science, le temps fait son œuvre et plus le temps passe, plus je me dis que les donneurs de leçons (surtout pour l'ambre) ont raconté beaucoup de choses fausses utilisant les dogmes et leurs théories (constamment réajustées jusqu'à devenir farfelues) là où l'exploitation des observations de terrain manquaient...








 







La TRES DIFFICILE EXPLICATION des animaux marins conservés dans l'ambre.

L'ambre est sans doute la matière la plus intraitable pour l'esprit scientifique....On dit fréquemment au public (jusqu'au discours scolaire donné aux enfants) que la "science" progresse, pas à pas sur ses dossiers, en tenant des hypothèses régulièrement testées puis réactualisées aux vérifications de terrain. On donne ce message rassurant que la connaissance du monde est en marche, alors de la meilleure des façons. Mais sorti de l'école, on se confronte à la vraie vie (différente). Et les penseurs (et donneurs d'ordres) travaillent d'une autre manière dans les grandes institutions... Concernant l'ambre, dans les laboratoires, sur les paillasses parmi les loupes binoculaires, les hommes en blouse blanche inventent des lois immuables. Sans autre moteur que l'inspiration, le laborantin thésard imagine un concept, il modélise une image "ressentie", déjà construite en "vérité"... Conçue de cette façon abstraite, séparée de toute réalité, l'idée ainsi amenée dans les publications s'appelle un dogme. Pourquoi travailler ainsi? La réponse est simple : les feux de la rampe s'allument d'avantage sur celui qui "trouve" une théorie neuve que sur celui qui la vérifie... Et, l'inventeur se battra bec et ongle toute sa vie pour ne pas être discrédité, refusant de mettre au panier la gloire médiatique relayée par les journalistes (de connivence) qui font la science-spectacle...


La théorie allemande imbécile du coup de vent !
Au seul critère que le piège végétal collant des résines d'arbres est une interception stricte résolument aérienne (en forêt), les théoriciens réfutent catégoriquement la présence d'organismes marins dans l'ambre ! Et les scientifiques allemands d'inventer leurs pirouettes intellectuelles les plus saugrenues pour garder le contrôle des explications, comme les rafales de vent pour transporter les espèces marines. Mais le saugrenu tourne vite au ridicule avec les espèces marines benthiques (qui vivent au fond des océans). Discuter des fossiles avec des dogmatiques est une épreuve dont la difficulté n'est pas concevable à l'école !!!! Oser dire que l'on a de VRAIS fossiles marins conservés dans l'ambre vaut l'excommunication (littéralement la mise hors de la communauté pour de nombreuses années)... Il semble que les premières présentations d'espèces marines conservées en inclusions dans l'ambre aient été médiatisées à Fossilium (le célèbre salon d'exposition vente Paléontologie - Minéralogie à Villeneuve d'Ascq). Sous l'œil révulsé des donneurs d'ordres, pendant plusieurs années, le sujet des animaux marins nichés dans l'ambre a été posé sur la table et commenté en conférences publiques, jusqu'à être médiatisé dans les journaux, jusqu'au prix qui récompensera le fossile le plus rare exposé en 2000, le premier animal marin identifié dans l'ambre balte : un Cnidaire!!!!

Une crevette de rivage peut à la limite voyager dans les airs par un coup de vent... A la limite... Le dogme vit encore... Mais la découverte des polypes marins fixés aux roches n'est plus tenable !!!! Et, le dogme d'être maltraité plusieurs fois car les cnidaires apparaissent vingt ans plus tard dans l'ambre cette fois birman (100 M.A.). Depuis toutes ces années les cnidaires de l'ambre sont réfutés par les dogmes et, ignorés de surcroit des études scientifique qui imposent aux découvreurs de faire don de leur pièce gracieusement pour les déposer dans des institutions. Déconcertée, la communauté scientifique publie en 2017 la découverte bien "problématique" d'une coquille de bivalve marin nichée dans un pendentif vendu par un bijoutier qui ignore tout de la théorie des coups de vents... Pour donner l'ultime référence au dossier, ne faudrait-il pas une "étoile" tombée du ciel ? (Humour)...

Juillet 2018, ce qui ressemble à des étoiles de mer (organismes marin en symétrie 5) n'apparait-il pas ici figé dans l'ambre ? Les étoiles (de mer ou d'ailleurs) sont-elles transportées par le vent ???






Le sol fossilifère crétacé, birman est jonché, truffé de ces étoiles qui apparaissent par millions dans les strates géologiques marines !!!! Les prospecteurs connaissent PARFAITEMENT CES ETOILES que l'on retrouve par dizaines dans les roches fossilisées en pierres !!! DES ETOILES pleins les roches !!!! OUI !!!
MAIS le détail truculent est ici que ces étoiles '"fréquentes" dans le biotope originel PEUVENT AUSSI se retrouver piégées dans l'ambre...
L'impossible déclaré canular par les scientifiques (pendant de si longues années) est là une nouvelle fois sous nos yeux ! Les animaux marins benthiques sont conservés dans l'ambre crétacé (100 M.A.) ce qui ne colle pas vraiment avec la théorie défendue bec et ongle de la forêt qui opère ses seuls piégeages sur les hauteurs continentales.





Les auteurs surtout allemands ont conceptualisé depuis longyemps l'image virtuelle de la forêt d'ambre comme un monde exclusivement terrestre où les inclusions génériques aquatiques sont "hors modèle", QUANT aux marines (rires!!!) elles n'existent pas CAR tout simplement impossibles !!! Et les scientifiques français (pas tellement plus clairvoyants) de reprendre ce modèle FAUX pour bloquer pendant plus de 20 ans sur la réalité des choses, malgré les preuves présentées plusieurs fois sous leur nez !
Le temps faisant son œuvre, (les jeunes poussant les barbons à la retraite), les nouvelles théories gagnent en force et parfois achèvent les dogmes agonisants.
Et des fossiles formidables extraits de la collection du Musée Jaune Virtuel démontrent une autre réalité pour la forêt d'ambre.
Au crétacé par exemple, il existait des falaises abruptes où par l'érosion, les arbres déjà enrésinés tombaient directement dans la mer et des lagons... Les espèces marines ont alors été piégées par contacts et interception strictes !!! Le piège a fonctionné dans l'eau et sous l'eau (malgré le caractère dogmatique hydrophobe du gluau) et donc autrement que par les hypothèses saugrenues des coups de vents...
NOTE : Ici, dans cette page, dès que possible, NOUS ALLONS PRESENTER des choses rares et exclusives... Dès qu'elles auront été présentées aux journaux : exclusivité oblige !!!




Les petites étoiles calcaires, dans
l'ambre... Heu... c'est QUOI ????


Les petites étoiles piégées dans la partie sombre de l'ambre sont les pièces columnaires d'un pédoncule fossilisé de Crinoïde... Pour donner une image simple, on pourrait dire que ce sont les vertèbres d'une "colonne vertébrale" désorganisée d'un lys de mer (pentacrine), si l'animal était évidemment un vertébré... Les "Lys de mer" (Crinoïdes) sont des animaux marins appartenant à la classe des Echinodermes (Oursins, étoiles de mer...), à symétrie 5. Ces animaux, anciens d'un point de vue paléontologique, qui trouvent leur apogée au Paléozoïque (de -540 à - 250 Ma) ont divergé selon de nombreux types et plus de 6.000 espèces fossiles sont alors identifiées. Les plaques, ici séparées les unes des autres, (qui montrent ainsi la symétrie 5), sont les éléments séquences du pédoncule de l'animal. Le corps de l'animal se compose de trois parties. Le pédoncule, cette tige segmentée (par ces étoiles) qui soutient un calice en forme de coupe d'où rayonne une couronne formée de bras empennés. Un lys de mer vit sur son pédoncule toute sa vie. Et selon les espèces l'animal se fixe au substrat marin (sablonneux ou dur) à l'aide de petits filaments. Lorsque les conditions de stabilité le permettaient, les crinoïdes formaient d'immenses prairies sous-marines, d'où l'existence d'un nombre considérable de restes fossiles concentrés en un même endroit. Etant formé à 80% d'un squelette formé d'éléments en carbonate de calcium, (comme ces petites étoiles) le répondant plutôt "minéral" de l'animal qui convient bien aux processus de fossilisation pour laisser de belles traces mémoires a peut être aussi dissuader les prédateurs de les mettre à leur menu. Manger, et croquer des minéraux n'est pas spécialement très comestibles et/ou digeste...
















Ci dessus à gauche, une portion longue dans l'ambre, TRES ETRANGE qui ressemble à
un "arthropode" sans patte, ne pourrait-elle pas être un bas ou un crampon du Lys de Mer ?






















Au Musée Jaune Virtuel on vous montre les
inclusions "IMPOSSIBLES" de l'ambre !!!


Les pentacrines sont des animaux marins qui vivent fixés au sol
à différentes profondeurs... L'observation démontre qu'il a des
ambres en collection qui sont constellés d'ossicules de
pentacrines. Les ossicules sont les plaques calcaires
du squelette de ces animaux marins. Retrouver les
restes de ces animaux marins dans l'ambre
(la résine originaire des forêts continentales)
ne constitue la capture conventionnelle
imaginée dans le schéma très
aérien de la forêt antique...






























A suivre : taphonomie, description de la pièce d'ambre
contenant le Lys de mer... Rédaction en cours...



-Rédaction en cours-












Et les découvertes étonnantes se suivent...


La mise en lumière de l'ambre africain, sédimenté à l'estran, âgé de 72 M.A., (découverte
qui est publiée en mars 2019 dans la revue : Dinosaures Préhistoire et Fossiles - Eric
Geirnaert) permet de faire écho au bestiaire marin de l'ambre balte et birman.
Cette fois, (ci-dessous), c'est une découverte sensationnelle !!!


Voici un Stromatolite fossile arrivé dans l'ambre. Le fossile arraché
des fonds marins par la chute d'un arbre enrésiné est
enrobé de résine. Le stromatolite est devenu
une inclusion de l'ambre...






 

 


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