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Ah !!!! Les jolis fossiles restés colorés...
Voici la très rare
guêpe Chrysididae
qui amène quelques couleurs
au dossier des fossiles de l'ambre.
Dans le registe des beaux fossiles ambrés,
les guêpes de feu sont très peu fréquentes !
Et, cette pièce présentée en 1998 aux autorités
scientifiques est surtout à l'origine de la polémique sur
la conservation (impossible) des pigments
de l'ambre.
Le
dossier de la couleur des inclusions de l'ambre (et plus généralement
des fossiles) mérite à lui seul la rédaction d'un
ouvrage de 5.000 pages. Nous sommes en 1998-2002, et, tenue du bout des
doigts, voici une belle guêpe Chrysididae amenée aux
spécialistes de l'ambre. Ce fossile est une pièce qui interpelle
les savants (du premier
congrès mondial de l'ambre), et, il y a effectivement de quoi
être arrêté surtout avec la suite... "Avez
vous vu comme cette guêpe fossile miroite et donne ses couleurs
! J'ai découverts des fossiles d'ambre qui sont encore colorés
!" Réponse lapidaire des détracteurs :
"oui, mais non. Les nuances observées,
d'ailleurs variables, si vous regardez bien, selon le plan d'orientation,
ne sont que des irisations, des miroitements optiques à la lumière.
Les "couleurs" que vous percevez, nées aux structures
superficielles ne sont que des effets optiques. La cuticule scoriacée
n'a pas de couleur (elle serait plutôt achromique) mais la charpente
mécanique chitineuse fonctionne encore comme des miroirs, d'où
la couleur que vous observez..." Et moi, écoutant
le monologue satisfait du savant qui ajoute que l'ambre ne conserve pas
la couleur originelles (polychrome, pigmentaire) des espèces, de
jouer le candide (je connais
trop bien le phénomène des irisations), je lui présente
le lot déconcertant
en répondant : "La science affirmerait-elle
alors des choses que la nature infirme ?"
|
![]() Il est assez déroutant d'observer les couleurs si vives d'un fossiles... Malgré les périodes géologiques la cuticule de l'insecte fossile a conservé ses "caractéristiques" optiques... |
Les couleurs vives irisées d'une guêpe (100 M.A.) conservées
sous l'épaisseur de la résine...
Comme toujours pour les travaux de l'ambre, les guêpes (SCOLEBYTHIDAE
et CHRYSIDIDAE) sont étudiées pour
leurs morphologies... MAIS,... LES SCIENTIFIQUES ("aveugles" ?) passent
complètement à côté de la
notion des couleurs... Le sujet n'existe même pas... C'est assez déconcertant...
Les couleurs structurelles des insectes fossiles
de l'ambre, voici un bel exemple avec un
coléoptère crétacé daté à 100 M.A.
Explorateur
passionné de l'ambre (plus que collectionneur invétéré),
je sais les groupes exceptionnels de l'ambre... Et, les guêpes de feux
(qui vivent dans les arbres morts et le bois plutôt sec) sont rares, TRES
rares... Si un seul spécimen seulement est signalé dans un ambre
dominicain; je fais présentation de deux spécimens dans mon ouvrage
publié en 2002. D'ailleurs les deux spécimens ont été
piégés vivants. Ci-dessus, ce spécimen superbe, énorme,
mesurant 11 mm, est une guêpe Proctotrupoidea ou Chalcidoidea.
La coloration de certains insectes provient
des multiples reflets de la lumière, elle est donc variable avec l'orientation
de celle-ci, ainsi qu'avec la nature de la texture de la cuticule. Les couleurs
de ces guêpes, bien visible sous quelques millimètres d'ambre,
passent du vert, au bleu, au jaune ! Le spécimen malgache énorme
très coloré mesure plus de 11 mm. Examiner un fossile coloré
n'est ce pas une merveille ?
Selon Jean-Paul Haenni, conservateur-adjoint
(entomologie) du Muséum d'Histoire Naturelle de Neuchâtel, (Suisse):
"Cet insecte est sûrement un Microparasitica, et Monsieur Hannes
Baur du Musée d'Histoire Naturelle de Berne, spécialiste des Hyménoptères,
pense, lui, que c'est un Chrysididae (Proctotrupoidea ou Chalcidoidea)".
Selon André Nel, paléo-entomologiste
au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris : "Cette
guêpe Chrysididae malgache est vraiment intéressante car très
peu fréquente dans le registre fossile. Le spécimen, serait
probablement à décrire ! A première vue,
cette Chrysididae est vraiment intéressante !"
La coloration des guêpes
Chrysidae provient des reflets de la lumière sur
la cuticule de l'insecte, c'est donc une couleur structurelle...
La guêpe de feu, ou, guêpe coucou (ci-dessous, conservée
dans sa position de défense, = TRES RARE)
a été présenté en exclusivité au premier
congrès mondial des inclusions de l'ambre.
Les guêpes de feu, fossiles de la
famille des Chrysidae ne sont pas "rares",
non, elles sont uniques ! Un spécimen est signalé
dans un ambre dominicain en 1999, (The Amber Forest a reconstruction of a
vanished World, George Poinar, Roberta Poinar 1999). L'auteur a présenté
au premier congrès mondial de l'ambre en Espagne 1998, deux spécimens
extraits de sa collection dont on note la position recroquevillée de
défense des insectes alors piégés vivants (voir la séquence
photographique ci-dessous).
3.000 espèces de ces guêpes
existent actuellement, et se reconnaissent au lustre brillant et métallique
de leur corps. On connaît des espèces vertes, bleues, d'autres
rouges... Ces guêpes visitent des nids et pondent chez des espèces
hôtes, (abeilles, araignées, guêpes, voir ci-dessous), et
se prémunissent des attaques en prenant une attitude de défense
se traduisant par un enroulement caractéristique perceptible sur le spécimen
fossile présenté ci-dessous.
La
coloration des guêpes de la famille des Chrysidae provient des
multiples reflets de la lumière du soleil, la couleur est donc variable
avec l'orientation de la lumière ainsi qu'avec la nature de la texture
de la cuticule... Les couleurs ne sont pas pigmentaires.
La cloration des guêpes Chrysidae (conservées dans l'ambre
ou contemporaines) varie en fonction de l'orientation de la lumière.
Les couleurs, du spécimen fossile,
bien visible sous quelques millimètres d'ambre, passent du vert, au bleu,
au jaune !
Les
Chrysididés (ou Guêpes-coucous, ou Guêpes de feu)
ont des couleurs métalliques magnifiques. Les femelles sont des cleptoparasites :
elles pondent dans les nids d'autres guêpes ou d'abeilles solitaires (voir
ci-dessous) et opèrent
surtout aux températures les plus élevées. Leurs larves
(ectoparasites) vivent aux dépens de leur hôte et n'hésitent
pas à profiter des réserves présentes dans le nid (insectes
ou araignées). Environ 3.000 espèces de Chrysidae existent
actuellement. Les guêpes de feu, se reconnaissant au lustre brillant et
métallique de leur corps, elles peuvent être vertes, bleues ou
rouges et avoir un lustre sans doute "régional" comme signalé
à Madagascar. Ces guêpes n'ont pas de cellules fermées sur
l'aile postérieure. L'attitude de défense se traduisant par un
enroulement caractéristique, perceptible sur le spécimen fossile
prouve que l'insecte a été englué vivant par le milieu
piège.
Voici, une guêpe Chrysidae, étudions la position de défense.
![]() |
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Maintenue
quelques instants par les ailes, la minuscule guêpe Chrysis montre
son comportement de défense, un enroulement progressif caractéristique
de l'abdomen. Après quelques hésitations, l'enroulement
devient complet et le comportement de défense est parfois statufié
dans l'ambre. Les fossiles de ces guêpes n'ont pas trouvé
cette position enroulée sous le fluage de a résine, la position
(éthologique) est un vrai comportement de défense.
|
C'est en bloquant quelques instants du bout
des doigts une guêpe Chrysis (par les ailes) que l'on peut noter le comportement
de défense caractéristique d'enroulement (voir, ci-dessus, un
fossile d'ambre qui montre l'enroulement figé)... Les guêpes Chrysis
(ou guêpes coucou) se roulent en boule pour s'assurer une meilleure
protection grâce à la forme de leur abdomen plat et concave à
sa partie inférieure.
Les guêpes coucou portent ce nom car (à l'identique de l'oiseau)
elles pondent dans le nid de guêpes ou d'abeilles solitaires. Les larves
Chrysides se nourrissent alors des larves d'autres espèces de guêpes
ou d'abeilles...
Les femelles Chrysididés
sont des cleptoparasites : elles
pondent dans les nids d'autres guêpes...
Ces comportements spécifiques
aux espèces permettent réellement de comprendre les phases du
scénario
qui raconte la capture des sujets figés au piège de l'ambre. L'éthologie
des espèces actuelles
permet de comprendre (dans les limites de l'actualisme) les situations
figées dans les pierres d'ambre.
Bonjour, cher Monsieur Geirnaert,
Je vous écris pour savoir si vous pouvez envoyer des images suffisamment
détaillées des Chrysidés que vous avez trouvé dans
l'ambre.
Pourriez également préciser l'origine de la magnifique découverte ?
Quel est l'âge, même approximatif, de l'insecte fossile ?
Toutes mes félicitations pour cette superbe découverte !
Gian Luca Agnoli
Voici le texte posté sur
notre site.
Eric Geirnaert (http://ambre.jaune.free.fr), author
of the book "L'AMBRE, MIEL DE FORTUNE ET MEMOIRE DE VIE" (2002), gives
the announcement of the discovery of a new Chrysidid included in amber. The
discovery of such insects is extremely rare and only few species are known.
The attached photo is unclear, but shows some significant morphological characters,
such as a large metanotal projection and a strong swelling of the apical abdominal
segments. A new Genus? I'll try to write to the author for more photos...
Eric Geirnaert (http://ambre.jaune.free.fr), autore del libro "L'AMBRE, MIEL DE FORTUNE ET MEMOIRE DE VIE" (2004), dà notizia del ritrovamento di un nuovo Criside incluso in ambra. Il ritrovamento di questo tipo di insetti è estremamente raro e sono note solamente poche specie. La foto che ho postato è poco chiara, ma comunque lascia intravedere alcuni caratteri morfologici notevoli, come la grande spina metetoracia e il rigonfiamento apicale dei segmenti addominali. Un Genere nuovo? Proverò a scrivere all'autore per avere fotografie più dettagliate...
Chrysidid in amber | Criside in ambra
Le fossile représenté ci-dessus en vignette sur le bas gauche
de l'image est une guêpe fossile
figée dans sa position caractéristique d'enroulement ! CETTE
MENTION rare, EST UNIQUE !
Ci-dessus, photographies, découvertes, collection : Eric GEIRNAERT.
Les
guêpes de feu (RARES) existent dans plusieurs dépôts
fossilifères. Elles sont
étudiées ici et également
dans la publication : Entomological Society of Washington, Washington : Three cuckoo wasps from Siberian and Baltic amber (Hymenoptera: Chrysididae: Amiseginae and Elampinae). 1986, vol. 88, no4, pp. 740-747. |
Merveilleuses
précisions au sein d'une famille pleine d'incertitude.
En paléontologie, lorsque l'on se réfère au temps géologique, une idée vient immédiatement à l'esprit. Il faut beaucoup de temps pour construire le fossile... Or, concernant l'ambre, pour celui qui observe les insectes piégés, un fait frappe l'observateur curieux... Dans le lot de brut observé, les échantillons fossilifères sont tous TOUJOURS la somme de "petits moments", figés, entre lesquels le naturaliste peut replacer ses hypothèses ethologiques pour raconter la théorie des possibles scénaris à l'origine du piégeage... Quel exercice passionnant. Concernant les guêpes Chrysididae, les histoires doivent être bien étranges pour dérouler des annales dont la rareté surpasse de beaucoup celle déjà TRES restreinte des références de vertébrés ! Les guêpes Chrysididae sont dix fois plus rares que les vertébrés de l'ambre. Malgré l'explosion des outils Internet permettant à chacun désormais de présenter ses inclusions sur la toile, les guêpes Chrysididae de l'ambre restent des exceptions. Les références de ces guêpes fossiles sont peu courantes. La bibliographie mondiale de l'ambre le prouve. Présenter des guêpes Chrysididae fossiles constitue un vecteur unique : on se sent un peu responsable de construire un processus de connaissance en marche qui, grâce au Web trouve déjà un rayonnement international. Quelle logique conduit cette rareté ? Pourquoi ces fossiles sont-ils si rares ? Rareté de l'espèce dans le temps et/ou rareté par le comportement spécifique de l'insecte et/ou le caractère original des sites fossilifères ?... Pourquoi si peu de guêpes Chrysididae dans les archives de l'ambre ? Ce dit, certaines apparaissent enroulées montrant ce comportement original de défense où les parties vulnérables sont repliées pour permettre à l'insecte d'utiliser sa cuirasse (cuticule épaisse) comme une armure salvatrice (malheureusement inutile au mécanisme d'étouffement par le piège de la résine). Les guêpes Chrysididae sont uniques mais les références de l'ambre permettent de lire le comportement intime des individus issus d'un groupe dont la genèse est peu documentée. Les guêpes Chrysididae actuelles (ou guêpes de feu ou guêpes-coucou) sont surtout des parasites d'autres espèces (généralement guêpes et abeilles solitaires). La tête des Chrysididae est hypognathe, ce qui signifie que l'appareil buccal est vraiment orienté vers le bas. Les yeux composés sont grands vastes et la vision est complétée par trois ocelles simples présents au sommet de la tête. La classification taxonomique des Chrysididae se base sur les caractéristiques particulières des structures entre la base des yeux et l'articulation des pièces buccales. Les antennes des Chrysididae (11 articles + flagelle + scape) sont petites, robustes, insérées au-dessus des pièces buccales dans la partie supérieure du clypeus (souvent court et large) et peuvent venir se ranger dans une dépression spécifique (bassin scapal) en position pliée. Le front est surtout marqué par une carène croisée. Le thorax des Chrysididae est formé de cinq segments articulés offrant une mobilité remarquable pour ces insectes que l'on souhaiterait comparer à des chevaliers maladroits (gauches, lourdauds) en armures. Les Chrysididae sont cuirassées mais très disponibles dans leurs mouvements. Le dimorphisme sexuel est visible chez les Chrysididae au niveau de l'abdomen dont les structures (fusionnées ou pas, avec des dents ou sans, avec ou sans carène) sont variables selon les groupes entre la femelle et le mâle. Les structures de l'abdomen sont toujours très cuirassées et bien concaves permettant une protection optimale. A quelques exceptions près, les Chrysididae sont généralement colorées, caractérisées par des tons métalliques. Les lueurs structurelles, le vert, le bleu, le cuivre, l'or, résultent exclusivement de la réflexion de la lumière et ne sont absolument pas des couleurs pigmentaires. Il semble que ce soit finalement la spécialisation des guêpes Chrysididae qui puisse être la cause (éventuelle) de l'extrême rareté des fossiles. Les Chrysididae (variétés parasites, les larves sont pondues avec ou dans un hôte) sont inféodées à des espèces cibles dont l'étude devrait permettre de mieux comprendre la localisation des nids et des lieux de pontes dans la forêt d'ambre... |
La couleur des inclusions de l'ambre
avec un lot déconcertant...
Les
scientifiques de l'ambre, peut-être, par habitude(?) ou trop orientés
dans la course aux publications descriptives des nouvelles espèces
fossiles, ont toujours privilégié la biométrie des
appendices (= la mesure des structures anatomiques) quitte à
passer à côté du merveilleux et finalement de l'essentiel...
Par consensus d'une répétition peu critique, tous ont convenu
que les insectes géologiquement anciens (puisque fossilisés)
était dématérialisés et donc conservés
: "écrasés 2D" et achromatiques. Et, ces scientifiques
alors de proposer leurs descriptions plutôt tristes en noir et blanc.
A cette époque (septembre 1998
voir la date du PDF; nous sommes alors à trente jours du Premier
Congrès Mondial des Inclusions de l'Ambre), la Science consensuelle
où les autorités affirment leurs dogmes, déclare
que les fossiles (au moins de l'ambre) ne peuvent pas être colorés
car les pigments n'existent pas et que ceux qui disent voir
des "choses" n'ont que l'intention du médiatique et photographient
des artéfacts qui prouvent que l'ésotérisme pathologique
encombre la science... Pour bien comprendre la sociologie (conflictuelle)
du dossier, les autorités sont expressément remerciées
comme il convient dans le PDF, et, pour dire les choses clairement, ce
sont ces mêmes donneurs de leçons qui refusent l'invention
des pigments dans l'ambre (octobre 1998). N'y tenant pas, et convaincu
d'avoir la preuve photographique de fossiles authentiques colorés,
je publie mon ouvrage (juin 2002) avec un coléoptère polychrome
en couverture, et, je distille quelques
chevaux de Troie (échange de bon procédés) dans
quelques paragraphes pour confondre les
éventuels aspirateurs (voleurs d'invention) qui auront la surprise
amicale du revers de la médaille. Le temps passe, doux et heureux...
Puis : merveilleux, magnifique, splendide! La science découvre
les fossiles colorés et les irisations métalliques de la
cuticule (conservée des insectes). Bon, selon les livres publiés,
selon que vous êtes d'ici ou là, le même fossile -la
même image du même fossile- a (aura) plusieurs
noms différents... La cuticule est conservée en couleur
dans le caillou !!! Ce que la roche montre (aujourd'hui), existe
au centuple dans l'ambre !!!
La guêpe Chrysididae présentée ci-dessus a sa cuticule originelle PARFAITEMENT CONSERVEE. Bien évidemment la science ne veut pas encore parler de pigments (image ci-dessous)... Mais l'ambre offre des couleurs symétriques aux ailes des insectes (preuve que cela ne peut pas être des artefacts. Et, indépendamment de l'âge géologique, les fossiles d'ambre de différentes espèces (de plusieurs origines géographiques) peuvent restituer leur couleurs polychromes originelles. Au final, je m'amuse (mais sans surprise) de voir les autorités de la grande institution critiquer encore le coléoptère clavicorne polychrome en couverture de mon livre... |
Les
jolies couleurs structurales (ici visibles ci-dessus sur la
cuticule de ce coléoptère partiellement dégagé
de l'ambre) sont générées par la dispersion de la
lumière blanche incidente sur les plans miroitants (et inclinés)
situés dans la nanostructure tissulaire... Les couleurs structurales
(miroitantes, irisées, réfléchies) sont fréquentes
chez les insectes, même les fossiles anciens
datés du crétacé, car la cuticule (la
chitine TRES solide) est particulièrement stable malgré
le temps géologique passé et fonctionne encore comme un
miroir (= nanostructures photonique).
|
On
peut retrouver les
couleurs structurelles originelles de certains insectes
|
![]() |
Outre les couleurs structurelles (de la cuticule), l'ambre offre
une variation très intéressante de morphes polychromes...
Un jour la science découvrira "déconcertée" que
les insectes de l'ambre sont très colorés
peut-être même "pigmentés" !
La couleur conservée des
insectes fossiles des
ambres baltes !
La science (en 1998, 2000, 2002) ne veut pas admettre -par dogme tenace-
que
les insectes fossiles de l'ambre peuvent rester colorés... Les fossiles
observés
de quelques spécimens bigarés ne seraient que des artéfacts
ou alors des
souillures, bref, les couleurs ne seraient que des saletés... Les fossiles
ci-dessous (d'insectes fossilisés dans l'ambre balte) démontrent
la
réalité de la conservation des morphes originels des espèces...
Ci-dessous, voici un fossile de l'ambre balte (fossile poychrome)
resté coloré et rapproché d'un insecte contemporain...
Les insectes restés
colorés, bigarrés et zébrés existent
dans l'ambre balte : depuis que l'ambre existe !!!!
C'est à dire... C'est à dire, ... depuis toujours !
Voici une inclusion de l'ambre
balte dessinée en 1854...
Les thysanoures (dans l'ambre balte) peuvent
montrer des traces polychromes
correspondant sans doute au morphe (au phénotype) des espèces
antiques !
Les insectes restés colorés existent
dans
le registre des résines fossiles et évidement
de le l'ambre balte, la preuve, ci-dessous...
Depuis
plus de 300 ans que l'ambre balte est étudié
pour ses inclusions fossiles, personne n'a jamais publié
sur le morphe maintenu dans la gemmes par les couleurs et les motifs préservés
des espèces... D'où ma publication exclusive avec mes découvertes
en juin 2002, confer mon livre : Ambre
Miel de Fortune et Mémoire de Vie. Les scientifiques polonais,
par exemple, versent dans les détails pour étudier un moustique,
mais, en tenant les fossiles (les plus intéressants) à vendre
sur Internet, chacun peut se rendre compte que le phénotype des
espèces est conservé. Lorsque les couleurs sont PARFAITEMENT
CONCORDANTES AUX DEUX AILES de l'insecte, la désignation de "couleurs
poubelles" amenées par des polluants (explications données
par les scientifiques) n'est pas très réaliste... La science
serait-elle malade (ou aveugle) de trop se spécialiser ? Depuis
si longtemps que les travaux de l'ambre balte existent sans JAMAIS avoir
évoqué la conservation originelle des couleurs, (pigmentaires
et structurelles) la science ne passe-t-elle pas à côté
de l'essentiel ? Tout se passe comme si les scientifiques exploraient
le succin balte en monochrome pour faire la course aux publications sans
trop se poser de question...
|
La science de l'ambre (succin balte) n'a pas encore
donné la description des morphes colorés des
espèces tombées au piège de la résine car
LES SCIENTIFIQUES RACONTENT QUE
LES COULEURS REPEREES SUR
LES INCLUSIONS : NE SONT
QUE DES ARTEFACTS, DES
SOUILLURES, des saletés
des couleurs "poubelles"
qui ne correspondent
pas au phénotype
des espèces...
Les morphes polychromes sont visibles sur les espèces
fossiles de l'ambre balte...
LES INSECTES RESTES COLORES
EXISTENT DANS L'AMBRE BALTE...
Oui et ils sont si "nombreux", magnifiques et variés qu'ils
peuvent être collectionnés...
C'est
l'une des spécialités du Musée Jaune Virtuel.
Les
fossiles de l'ambre balte restés colorés : sur
l'image ci-dessous nous pouvons voir la tête d'un grillon de l'ambre
de la Baltique, le fossile remarquable a conservé les marques originelles
de sont morphe. Le fossile est étudié dans ce document (PDF
34 Mo) et le piégeage de l'insecte est également étudié
dans cet autre dossier (PDF
24 Mo).
|
La science ne
veut pas voir que les pigments existent dans
les ambres même très anciens...
Voici un lot de pièces (toutes issues d'un travail personnel de prospection
de brut, travail long et
manuel, pièce à pièce) qui tend à montrer que l'ambre
peut réellement restituer des inclusions restées colorées...
La couleur conservée chez les coléoptères
de l'ambre.
Regardons les inclusions de l'ambre pour questionner
les couleurs et la présence (déclarée
"impossible") des pigments...
Les
scientifiques Messieurs xxx et yyy, au
premiers congrès mondial des inclusions de l'ambre (octobre
1998), REFUTENT catégoriquement la couleur pigmentaire (constatée
de visu) dans les fossiles de l'ambre balte... Et, les nuances sont déclarées
sans autre jugement de "couleurs poubelles"...
Aujourd'hui les détracteurs pourraient-ils expliquer pourquoi comment les pigments sont confirmés dans des ambres birmans deux fois plus vieux que les ambres baltes ??? Preuve est faite QUE LES DONNEURS D'ORDRE affirment de haute autorité des inepties pendant 20 ans alors que les fossiles étaient sous leur nez... Faut-il croire la "science" dogmatique aveuglément ou faut-il garder son sens critique et croire d'avantage dans ses observations ?... |
La présence avérée des pigments fossiles
dans l'ambre
n'est-elle pas confirmée ci-dessous par les
mélanophores nombreux conservés
dans l'écrin fossile ?
Les pigments existent
dans l'ambre.
Et, les couleurs sont également
conservées sur les insectes
crétacés de l'ambre...
Dans les ambres crétacés, datés à
100 M.A. les
insectes conservent parfois les traces polychromes...
- Les insectes mimétiques -
Dans les ambres crétacés, datés à
100 M.A. les
insectes mimétiques ont encore leurs morphes polychromes...
S'il fallait encore une mention pour démontrer que la
science raconte
faux depuis longtemps, la meilleure preuve que l'ambre fossile
conserve bien la couleur et le morphe polychrome des
entomofaunes est d'étudier le motif des ocelles
sur les ailes des insectes. Là bien évidemment
l'examen du fossile ruine toutes les théories.
La
science qui n'a jamais porté on attention sur la conservation des
couleurs entomologiques des espèces référencées
dans l'ambre balte, (l'ambre Eocène - 50 M.A. étant
le plus étudié au monde) pourra-t-elle s'intéresser
aux séries mimétiques qui existent dans le matériel
crétacé birman (100 M.A.), ci-dessus, alors deux fois plus
ancien que le plus vieux succin connu ?
Les insectes mimétiques existent variés (nombreux) surtout dans l'ordre des hémiptères au crétacé !!! Les espèces surtout phytophages utilisent déjà les couleurs avec la rupture des motifs pour se fondre dans le décor végétal. Les premiers insectes cryptiques de l'ambre sont ceux médiatisés par Eric Geirnaert en 1998 puis publiés dès 2002 comme cette mante religieuse aux motifs bariolés aux pattes antérieures (référence publiée pleine page 55 : L'ambre Miel de Fortune et Mémoire de Vie - Juin 2002 / Eric G.) La couleur comme outil technique de communication existe depuis TRES LONGTEMPS. Et l'ambre crétacé (surtout birman) permet d'étudier les premières réussites du MIMETISME paléo entomologique... Cet ambre (décidément si surprenant) offre là encore une fenêtre ouverte sur un dossier ignoré de la science, de quoi faire des découvertes exclusives ! |
Les couleurs pigmentaires
existent dans l'ambre !!!!
IL FAUT juste VINGT ANS AUX DETRACTEURS
POUR L'ADMETTRE :
Les couleurs conservées
existent pour de nombreux
groupes fossiles conservés dans l'ambre !
(Ci-dessous deux exemples : champignons, coquillages, etc...)
La
science en marche : ce qui n'existe (n'existait)
pas... pourrait... finalement... être très fréquent ???
Certaines petites mouches (encore et comme toujours) examinées
pour leur morphologies étranges, comme ce rostre démesurément
long, sont commentées par les taxonomistes. Confer cette
mouche Zhangsolvidae étudiée en 2015... Mais,
dans le groupe, il y a plus intéressant car des insectes ont surtout
un morphe réel conservé !!!! DEPUIS
PLUS DE 20 ans que la science refuse d'admettre que les insectes crétacés
ont leurs morphes polychromes parfois conservés, C'EST
UNE REVOLUTION pour le dogme !!!! CAR, ci dessous, aujourd'hui, OUI, les
insectes colorés et même MIMETIQUES existent dans l'ambre
crétacé CAR LES COULEURS VRAIES sont maintenues sur les
structures anatomiques !!!
LES DETRACTEURS d'hier publient (ENFIN) des références... Pour ne citer qu'un exemple : Cratomyia mimetica (Zhangsolvidae) étudié en 2016. Bon, le fossile dans l'ambre n'est pas très visuel, le morphe n'est pas explicite, alors, on propose un dessin... |
Les couleurs existent
partout dans l'ambre, (même ancien)...
Ici, ci-dessous, sur les fossiles rares de vertebrés
conservés dans l'ambre birman (100 M.A.)
Si vous souhaitez des expertises, des commentaires sur des
fossiles rares, vous pouvez participez au
Forum de l'ambre