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Eric
GEIRNAERT /
Ambre.Jaune.Free.fr
Le site Internet Ambre.Jaune est un espace d'information, d'expression
et de publication française consacré aux études
des résines botaniques et fossiles. Les travaux publiés et ceux
présentés au public, (la
presse en parle), sont
tous distribués gratuitement et ne bénéficient d'aucune
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Droit
de reproduction et information aux internautes.
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NOUVEAU et EXCLUSIF !!!
Découverte exclusive d'un nouveau gisement d'ambre crétacé
inconnu de la science en Afrique
de l'Ouest.La publication est réalisée dans le magazine "Dinosaures,
Préhistoire & Fossiles".
La science racontait le contraire,
mais les
résines hydrophiles peuvent capturer
des inclusions et
même fossiliser.
Découverte
d'un dépôt paralique à ambres insectifères, étonnamment
silicifiés
et écrasés (dépôts de pentes en colluvions), originaires
du
maastrichtien en
Afrique de l'Ouest, avec des restes de bois fossiles de palmiers.
Découverte
d'un gîte d'ambre maastrichtien en
Afrique de l'Ouest, surprenant pour le caractère écrasé
(et même silicifié, voir
ci-dessous) de ses échantillons parfois retrouvés en lentilles
planes ovoïdes. Si l'on tient les travaux précurseurs comme
source de lecture pour avoir une première idée des choses,
l'ambre Crétacé se trouve principalement en Amérique
du Nord et en Eurasie... Mais les choses évoluent vite si l'on
prospecte avec méthode... Il y a peu, on disait que l'ambre (le
succin jaune) n'existait qu'en Europe, dans les pays baltes et que l'on
ne trouvait que des résines récentes de type copal en Afrique.
D' aucun de dire que ce sont seulement des résines sub-fossiles
âgées que quelques milliers d'années tout au plus...
Mais, l'ambre ancien existe évidemment en Afrique. Ici Madame
Marie José Crespin nous rapporte un ambre Crétacé
inconnu des inventaires (surprenant pour le caractère
écrasé des échantillons et la
silicification surtout hydrothermale des gemmes riches en inclusions,
sédimentées sur les côtes de l'Afrique de l'Ouest.
L'ambre étonnamment solide, contient des
inclusions végétales, des
fourmis et surtout une faune marine très étonnante (plancton,
rotifères,
écailles
de poissons,
gastéropodes, stromatolites
fossiles et tant
d'autres choses étranges) !
|
Etudes,
découvertes, idées originales, expertises et publications exlusives
sur l'ambre et les résines fossiles : Eric Geirnaert.
Pour
son 20 ième anniversaire le site
Internet Ambre.jaune ouvre les portes du Musée Virtuel Jaune. Et prépare un travail exclusif richement illustré. |
-Travail en cours-
Ambre-jaune.free.fr
votre partenaire pour l'image
d'art, les expositions de science et les publications !
Pour éviter toute prise d'intérêt et responsabilité
douloureuses dans la vente d'ambre qui
s'avèreraient faux, le site Ambre.Jaune (outre
sa section des échanges ici) refuse
le plus souvent de guider des internautes vers des enseignes...
L'AMBRE,
la Résine de Jurassic Park
LE
PLAN DU SITE |
Sur
le site Ambre.Jaune TOUT et gratuit... MAIS
mieux vaut réfléchir avant
de demander une collaboration.
Le collectionneur propriétire de la pièce d'ambre n'est pas l'ayant droit du travail donné par l'expertise... Le collectionneur privé qui demande une expertise gratuite de ses pièces et sollicite des images également gratuites des ses inclusions n'est pas le propriétaire du long et difficile travail déployé gratuitement (parfois à grands frais comme le coût d'achat de lampes halogènes pour les éclairages spécifiques à fibres optiques). Le propriétaire (qui a envoyé ses échantillons pour avoir le bénéfice des expertises gratuites sur les inclusions de sa collection avec les photographies macros faites elles-aussi gratuitement) accepte de façon tacite et irrévocable, (et c'est bien là la contrepartie logique et non négociable du travail fait gratuitement) de céder les droits d'éditions et de diffusions des images avec l'exégèse commentée par le texte. Le propriétaire d'une marchandise ainsi expertisée n'est pas l'ayant droit du texte et des images produites. Celui qui demande une expertise gratuite, d'un fossile et/ou d'un lot, ne devient pas le propriétaire, de facto, des explications données puisque justement le travail aura été fait par d'autres personnes. La demande d'expertise auprès des contributeurs et animateurs présents sur le site Internet Ambre.Jaune, a évidemment une contrepartie : celle de permettre l'édition des découvertes. L'inverse serait assez étrange... Tous les travaux participatifs sont libres, gratuits et volontaires. Demander une expertise gratuite ne fait pas de vous le propriétaire exclusif des explications données (qui n'engagent d'ailleurs que leurs auteurs)... Et le propriétaire de la pièce s'engage, surtout, de son côté, à ne pas commercialiser les images qui auraient été faites par d'autres personnes... Les photographes sollicités et les auteurs qui travaillent gracieusement sur le site Ambre.jaune sont propriétaires des leurs images et de leurs rédactions respectives même si les ambres (en collections privées) sont la propriété d'autres personnes... Le site Internet Ambre.Jaune est une plateforme participative 100% gratuite et volontaire... Mais des règles existent néanmoins... Ceci dit pour faire valoir ce que de droit... |
Nouvelle réédition
du Cd-rom AMBRE :
Une
présentation de quelques
images extraites du Cd-rom.
Sur le site Ambre.Jaune vous trouverez :
-
La première monographie française jamais parue sur l'ambre
-
Des pièces uniques et des inclusions fossiles très
rares
- Plusieurs photothèques
d'art disponibles en cd-rom
-
De nombreuses publications
entomologiques
- L'incontournable jeu concours AMBRE
- Le roman AMBRE (de Shaun Oliver)
- Le laboratoire test des "expertises"
- Les galeries commentées
-
Le Magazine-AMP
consacré à l'ambre
- le Forum, la foire
aux questions.
La
chambre d'ambre refaite à l'identique ?
La célèbre chambre d'ambre, reconstruite sur les références de fragments retrouvés opaques (car le succin est pulvérulent) bien que très médiatisée ne serait pas une "uvre" magistrale. Certains doutent des matières utilsées. Selon des spécialistes (lanceurs d'alertes) des matières NON GEOLOGIQUES seraient intégrées dans panneaux et les marqueteries. Les polonais qui eux aussi visent l'excellence font remarquer dans leurs publications que les russes utilisent l'ambre compacté, fondu et teinté. Le succin reconstruit serait même mélangé à des plastiques pour rendre les substituts plus solides, dans les nuances adéquates... Les matières construites à l'autoclave, (disponibles en tubes et en plaques), conservent leur éclat à l'inverse de l'ambre géologique qui, pulvérulent, s'opacifie et fonce avec le temps... |
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L'ambre (géologique) brut se ramolli à 150°C et se mélange idéalement à des intrants (des produits "nécessaires") pour obtenir des gemmes aux propriétés autrement introuvables. A l'occasion les ambres reconstruits sont insectifères. Bref, le secteur commercial de l'ambre est complètement débridé ! Les procédés pour améliorer et doper les pierres sont constamment améliorés. Les ambres fondus teintés et mélangés sont PARTOUT ! Le site Ambre.jaune, vous propose des expertises gratuites pour questionner les pierres plus ou moins "originelles". De là, quelques dossiers importants comme celui (ci-dessous) des investissements d'ambre sur la monnaie GEMCOIN... |
Outre
la fraude en
Belgique, faut-il investir chinois dans
l'ambre dominicain ? Questions,
conseils,
dossier 1/2
et 2/2.
Et, d'ailleurs puisque l'on parle des
"farces", comment reconnaître
les inclusions fausses ? Le test d'authentification des
VRAIS ambres par la vérification de la
fluorescence naturelle est implacable ! Pour repérer
les faux parmis de
vrais ambres natifs, rien de plus facile :
placez les échantillons sous une lumière U.V. L'ambre
authentique (dit natif avec
son fluage )
vous sautera aux yeux !
|
INCROYABLE !!!
La science n'en parle pas encore au public. MAIS DES UFS de dinosaures (10 cm !!!) existent fossilisés dans l'ambre crétacé !!! C'est juste déconcertant !!! Selon le dogme publié par les scientifiques, la taille théorique limite du piégeage par l'ambre se situe autour du centimètre (10 mm)... Ici nos prospections démontrent que la théorie est sans doute fausse... Des ufs de 10 cm, des ufs de dinosaures conservés dans l'ambre crétacé !!! LA REALITE DEPASSE la fiction du film Jurassic Park ! |
En
exploitant la liste des gisements
d'ambre fossiles en France et en prospectant alors les grès
géologiques des sites adéquats il est assez facile de
trouver quelques "richesses". Voilà que des matières
érodées riches en macrorestes végétaux se
ramassent ici sans la moindre difficulté sur le site xxx au lieu-dit
xxx. Là où l'on comptait des ambres opaques (petits à
millimétriques), cette fois, les amas importants faits d'une
résine sombre (parfois limpide) sont disponibles "à
profusion"... Etudions cette matière fossile sans donner
de publicité au lieu qui, sinon, avec l'exemple des sites
de l'Oise tournerait au pillage règlementaire...
|
Les
deux images présentées ici sont des références
rares mais surtout très intéressantes car elles permettent
de discuter le processus générique de la fossilisation,
(ses limites, rarement explorées et/ou commentées par
les chercheurs) en poussant les frontières du "parfaitement
connu". Ci dessus un ambre birman
(100 M.A.) est recouvert de calcite. Et, ci-dessous
un ambre balte (40 M.A.) montre plusieurs phénomènes
limites. Une sécrétion botanique, (une sorte de sève
sombre), diffuse dans la gemme et ailleurs ce sont des cristaux qui
pointent entre les épaisseurs de la résine. Cette localisation
des cristaux dans la structure lamellaire démontre l'origine
antique de l'imprégnation polluante. La présence de matières
exogènes mêlées aux sécrétions végétales
fraîches (en amont de la fossilisation) permet d'envisager d'autres
phénomènes que ceux communs maintes fois répétés
dans les présentations redondantes. C'est en poussant les frontières
limites des théories que l'on peut discerner d'autres phénomènes
(si longtemps ignorés) comme
la couleur conservée des espèces animales et végétales...
Les minéraux qui cristallisent dans l'ambre (qui modifient de
concert les processus chimiques de conservations) sont des sujets pas
ou peu étudiés des chercheurs... Et, c'est pourtant là
que réside une par importante de la compréhension des
processus géologiques qui transforment les oléorésines
en ambre....
|
|
Au
Carbonifère : résines et traces d'insectes dans les schistes...
La présence de traces d'insectes intimement mélangés aux restes végétaux de fougère Myeloxylon (contenant des traces de résines) suggère une fossilisation dans un milieu soumis sans doute à des influences marines et continentales. Dans certains cas, lorsque les matières ont été sédimentées dans les bras d'un delta fossile, on découvre parfois des petites moules d'eau douce. L'apport abondant et permanent de débris végétaux a pu permettre un enfouissement rapide et donc la préservation de ces débris (absence d'oxydation), puis leur perminéralisation. Un modèle deltaïque pourrait éventuellement expliquer la diversité des mélanges et des textures notamment des "coal balls" (littéralement : des "boulets de charbon", ce sont des masses sphériques nées d'une perminéralisation d'organismes vivants. Au Carbonifère, il y a plus de 300 millions d'années, puis, au Permien, les fougères à graines du genre Myeloxylon exsudaient. Qualifiés de "bâtonnets de résine", les vestiges végétaux démontrent que les tissus internes contenaient des exsudats qui ont une composition chimique surtout particulière, (et dont on ignore tout sur l'évolution probable dans les roches encaissantes au cours des transformations géologiques). Les résines fossiles des fougères Myeloxylon apparaissent sous formes de traces infimes associées aux schistes insectifères... Parfois les résines carbonifères sont assez grandes. Comme en Angleterre. Les résines ont sans doute été déposées dans des bourbiers de tourbe. A lire : Identification of Carboniferous (320 Million Years Old) Class Ic Amber. P. Sargent Bray, Ken B. Anderson. Science 2009: Vol. 326, Issue 5949, pp. 132-134. Plus tard, la résine au Trias (retrouvée dans les alpes, Eric G. 2002, voir ci-dessous) sédimentée dans des eaux calmes qui prend alors la forme de billes originales avec un filet d'étirement secondaire, devient insectifère et restitue les premiers pollens conservés (Eric G. 2002). |
Les
inclusions parmi plus anciennes d'arthropodes et d'insectes alors
conservés dans l'ambre fossile ancien (sur l'époque crétacé
inférieur) sont les références originaires d'Angleterre,
du Japon, du Liban et de la Jordanie... Mais cela soulève alors
une question étrange : pourquoi rien n'apparaît dans
un ambre de l'époque Jurassique ? En prospectant de façon
exhaustive dans les résines fossiles du Trias, pourquoi ne trouve-t-on
qu'un grain de pollen (Samaropollenites speciosus, Eric G. 2002)
et les restes désagrégés d'une mouche unique (ci-dessus)
et deux acariens en 2012 ? Pourquoi si peu de choses ? Pourtant
les résines exsudent des arbres depuis le carbonifère
(350 M.A.). Les sécrétions végétales anciennes,
(antérieures à 150 M.A.), étaient-elles éventuellement
"toxiques", réellement abiotiques ou situées
dans un biotope de mer, comme c'est le
cas de l'ambre silicifié de l'Afrique de l'ouest ? Pourquoi
les archives anciennes relatives à l'ambre (concernant le trias
et le jurassique) sont-elles si pauvres ?
Grosso modo sur une durée de 350 M.A. il n'y a rien pendant 200 M.A. puis des choses assez bien étagées et normales sur 150 M.A. Les premières archives de l'ambre ne restituent pas d'insecte... Pourquoi ?Découvrir trois arthropodes dans l'ambre triasique italien est une sorte d'anomalie difficile à expliquer... Les ambres insectifères trisasiques italiens proviennent de la partie centrale de la formation géologique de la rivière Heiligkreuz, (230 Ma). Les datations ont été réalisées à partir des fossiles d'ammonites et du pollen contenu dans les roches encaissantes. Les affleurements ambrifères sont situés près du village de Cortina dans les Alpes, (Dolomites, nord-est de l'Italie). Les gouttes d'ambre (petites billes sombres) qui représentent 2 à 5 % du volume du paléosol sont nées dans un biotope d'une eau stagnante peu profonde. Les ambres atteignent rarement 30 mm et sont les suints fossilisés des arbres de la famille des conifères éteints (Cheirolepidiaceae). Prospecter les ambres triasiques dans les alpes est assez "facile". Il suffit pour cela de tamiser les sables dans les rivières et également les petits débris d'affleurement sur les berges des lacs en montagne. La prospection de ces ambres surtout anciens (et donc les plus précieux au monde) ne demande aucune connaissance particulière, ni de matériel lourd. |
Au
fil du temps, la technique photographique macro (préconisée
et expliquée sur le site) s'améliore et il est désormais
possible de photographier les inclusions sans se préoccuper des
surfaces (éventuellement abimées). Cette technique permet
d'aller chercher -sans perdre de temps- les particularités intéressantes
qu'un travail autrement systématique de nettoyage de chaque échantillon
(évidemment long) ne permettrait pas. Alors, ce motif en points
doubles, simple artéfact sur les deux yeux composés à
facettes de ce coléoptère ou, trace fossile de pigments
et donc particularité paléontologique plutôt intéressante ?
|
Poursuivre
les investigations des lots de brut procure un émerveillement
constant, incommensurable et renouvelable à l'infini...
Voici (enfin !) une seconde référence de ces
magnifiques coléoptères polychromes. Ce nouveau spécimen
Clavicorne vient s'ajouter à la
référence de celui publié (2002) en couverture
du livre L'Ambre
Miel de Fortune et Mémoire de Vie. Le nouveau coléoptère
porte une robe d'avantage bariolée, (les
couleurs du sujet sont plus marquées). Cette fois, l'insecte
n'a pas été piégé au vol (stricto sensu).
Les ailes membraneuses sont ici sous les élytres et l'analyse
taphonomique en lumière UV -pour révéler les lignes
de courant de la résine et donc la force mécanique du
fluage des coulées- ne renseigne pas vraiment sur le scénario
du piégeage... Toute la difficulté aura été
de réussir la photographie (expliquée
ici).
|
Le
Mag-AMP, (Magazine Ambre Miel
Paléontologique) proposé ci-dessous, est un
recueil de documents scientifiques, pédagogiques (complémentaire
aux ressources
du site) servant de base de travail à la description constamment
révisée des oléorésines fossiles, des gîtes
fossilifères ainsi qu'à l'étude des inclusions
organiques (faune et flore). Cette publication gratuite (ouverte
à tous) exclusivement distribuée sur le site Internet
: Ambre.jaune.free.fr a pour seule vocation de servir
de passerelle entre la recherche académique et l'intérêt
naturaliste/amateur des gens qui voyagent sur Internet. Note : Le
Mag-Amp, est utilisé en bibliographie dans plusieurs travaux
dont le roman de Science Fiction : L'interstice - Métamorphose,
2008, de Mossane Diomé, Ed. Le Manuscrit.
Le Mag-AMP est donc ouvert à tous, amateurs ou professionnels. Les participants garantissent qu'ils sont propriétaires des droits d'exploitation des travaux exposés. La représentation des dits travaux dans le Mag-AMP, magazine gratuit, ne donne droit à aucune rétribution (droit d'auteur). La présentation des articles au Mag-AMP vaut pour l'acceptation complète de ces règles. P.B., A.H., E.G., F.B., LD.M. pour l'équipe éditoriale du site Ambre.Jaune.free.fr |
Toutes les publications présentées en articles ont été élaborées à partir de découvertes personnelles sur l'examen de matériel brut... Seule l'observation patiente, de tous les échantillons pris au hasard, peut permettre de découvrir autant de jolies dépouilles de vertébrés... Alors, devant toutes ces dépouilles fossiles, l'histoire du scénario de Jurassic Park est-elle possible ? Pensez-donc. Plutôt qu'exploiter le sang conservé dans l'estomac d'un moustique, ne pourrait-on pas tout simplement exploiter une petite dépouille en chair et en os ? Qu'en pensez-vous ? Les photothèques en cd-rom (E.G.) proposées regroupent des raretés, comme cette portion du tronc de l'arbre antique à l'origine des ambres du bassin de Paris... Le site Ambre.Jaune propose 185 dossiers, 24 PDF et plus de 650 photographies macro d'inclusions rares... |
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Le
Mag-AMP premier
Le Mag-AMP
(Magazine
Ambre
Miel
Paléontologique) est
un recueil de documents servant de base de travail à la description
constamment révisée des oléorésines fossiles
ainsi qu'à l'étude de leurs inclusions organiques. Le
Mag N°1 est déjà disponible
! |
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Décembre 2016, voici une portion emplumée de queue d'un dinosaure théropode (Coelurosaure) dans un ambre crétacé birman de 100 M.A. Jurassic Park serait-il finalement possible ??? Le nouveau Mag N°2 (actualisé le 24 février 2017) avec des nouveautés est disponible ! Voir le visuel. Télécharger le second dossier. |
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Les Mags N°5 et suivants sont ditribués avec le cd-rom Ambre Le Mag N°4 a été complété et actualisé le 17/04/2014 Télécharger le quatrième dossier. |
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Pour
suivre l'actualité
passionnante de l'ambre (et pour révéler les découvertes HALLUCINANTES faites ces jours ci !), nous remettons à une date ultérieure les sujets initialement programmés dans le Mag-AMP. Le dernier Mag-AMP présente le plus vieux gisement d'ambre au monde ! Un gîte fossilifère en haute montagne où les strates (non remaniées par l'érosion !) sont antérieures de 100 M.A. aux gisements libanais (130 M.A.) lesquels sont les ambres les plus anciens contenant des insectes... Le petit mot des auteurs : "Dear Eric G., Thank you for your kind reply ! And thank you for your availability to present our recent research in Mag-AMP ! Your summary in French would be wonderful !!!" GUIDO ROGHI, EUGENIO RAGAZZI, PIERO GIANOLLA. |
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Les sujets exclusifs proposés dans le Mag-AMP sont souvent élaborés avec les Internautes qui participent au FORUM Ambre sur le site Ambre.jaune.free.fr ! Le Mag-AMP N° 5 est disponible sur le Cd-rom Ambre |
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Une
exclusivité du Eté
2006, un prétendu "scoop". |
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Le
nouveau Mag-AMP : Le piège de résine dans la forêt
d'ambre.
-Si l'ambre a pour rôle de défendre l'arbre des agressions des insectes, pourquoi trouve t-on autant d'inclusions piégées ? La défense était-elle inefficace ? -Pourquoi plusieurs ambres ne contiennent aucune inclusion ? -Comment se fait-il finalement que la répartition des entomofaunes piégées par gisement peut fluctuer d'un facteur de 10 (lots) suivant les dépôts ? -Pourquoi les insectes les plus grands et les plus rapides à la course que sont les blattes, apparaissent toujours figés dans les résines fossiles tandis que des insectes plus petits attestent de mouvements d'agonie ? -Pourquoi trouve t-on des millions de tonnes d'ambre, alors que la matière constitue une sécrétion de défense... Etudier les résineux actuels malades dans un biotope pollué constitue le moyen efficace de questionner le mécanisme de la forêt originelle d'ambre... Certaines découvertes sont surprenantes ! |
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Le
nouveau Mag-AMP : Les araignées fossiles de l'ambre support
d'études transversales des forêts...
-A coté des biométries des inclusions montées en lame mince, on peut tenir des études transversales. De quoi parlons nous ? Certains groupes animaux sont surtout intéressants pour étudier l'ensembles des sujets de la forêt d'ambre. Les araignées, (les salticidae par exemple Eric G 1998, congrès mondial de l'ambre) sont les arthropodes les plus bavards pour une étude transversale! Elles jouent et s'expriment sur tous les points... Les inclusions animales constituent des biosphères suffisamment originales -par époque et par région- pour permettre des comparaisons par époque et par gisement. Avec les araignées on peut raconter un peu plus que les morphologies. Museum quality Spiders in Amber Etudier les résineux actuels du Morvan donne des indications importantes pour comprendre le piège antique de l'ambre ! A lire, ce dossier. |
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-_-_-_-_-_-_
The
new Mag Amp are available...
L'ambre
jaune, rendu célèbre par Jurassic park qui rend vie
aux dinosaures en exploitant l'ADN d'un moustique hématophage,
est un conservateur géologique formidable. Dès 1990, on
identifie des séquences génétiques fossiles de
quelques inclusions organiques et débute alors une course à
l'ADN fossile le plus ancien. La lecture des séquences (altérées)
n'offre pas les prospectives fabuleuses du cinéma, mais, (après
l'époque des détracteurs) les travaux d'accès aux
ADN fossiles de l'ambre reprennent ! Pourquoi ?
Tandis qu'un livre dans sa version papier est surtout une version "figée" de la connaissance à la date de publication, un magazine dans sa version électronique (ici, le Mag-AMP) est évolutif et peu suivre l'actualité... Et, ce dossier est alors passionnant ! Quelles sont les dernières avancées de la science ? Y a t-il une génétique de l'ambre ? Découvertes surprenantes : 2013 pourrait bien être l'année de l'ADNa... Et, 2016, on découvre la portion d'une queue d'un dinosaure (Coelurosaure) conservée dans l'ambre !
|
L'AMBRE
(ou succin) correspond rigoureusement aux résines fossiles qui
contiennent l'acide succinique (où l'infrarouge montre le pic
-épaulement
balte- entre 1250 et 1375 cm-1). La matière dite AMBRE fluoresce
toujours en lumière UV. Maintenant, les autres résines
Hyménaea (légumineuses, plantes à fleurs),
sub-fossiles qui fluorescent moins ou différemment (qui ne contiennent
pas d'acide succinique) sont du COPAL.
Et, les résines contemporaines (qui ne fluorescent absolument
pas) ne sont que des RESINES CONTEMPORAINES...
A l'époque de l'argent roi, pour gagner en prestige (et bénéficier
d'un prix plus élevé à la vente) une multitude
de matières ethniques, régionales, usurpent l'identité
de l'ambre. L'ambre du Yémen, le gros truc plasticomorphe de
Hong-Kong et
tout le reste n'est pas vraiment de l'ambre fossile qui fluoresce.
Il y a autant de mensonge à vendre un verre taillé comme diamant qu'il y a de duperie à certifier ambre le machin jaune non fossilisé (qui ne fluoresce pas) originaire du Yémen, du Maroc, du Tibet ou de Hong-Kong... Tout ce qui est jaune n'est pas de l'ambre. |
©
2002 - Eric GEIRNAERT
/ Ambre.Jaune.Free.fr -
Le Site Internet Ambre.Jaune, leader en France dans l'étude des oléorésines
fossiles
et de ses inclusions, réalise
des animations gratuites à la demande. La presse en parle...
Initiée
à fossilium, l'une
des plus belles collections d'ambre en France
souvent présentée au public...
Les quelques inclusions dévoilées ici sur ce site Internet Ambre.jaune et celles des galeries ne sauraient restituer la richesse des 8.500 images de la photothèque (CD-ROM AMBRE) et des 310 photographies couleur du livre L'AMBRE, MIEL DE FORTUNE ET MEMOIRE DE VIE. Véritables chefs d'uvres, encore inédits pour une grande part, quelques photographies de la photothèque CD-ROM AMBRE (actualisée régulièrement) réservent au lecteur quelques surprises... |
Journal LE SOIR : " Eric GEIRNAERT, un homme emprisonné dans l'ambre ! Sans doute l'une des plus belles collection d'ambre du monde. " Mensuel LE PHOTOGRAPHE : " Eric GEIRNAERT, un spécialiste mondial de la chambre jaune." Journal LA VOIX DU NORD : " Le hasard - mais existe-t-il ? - a mis de nombreuses découvertes rares dans les mains de ce jeune passioné." Journal LA VOIX DU NORD : " De la bactérie à l'animal en chair et en os, les ambres d'Eric GEIRNAERT ont quelque chose de magique. " Journal NORD ECLAIR : " Des fossiles saisis dans l'ambre dorment par milliers dans des boites à chaussures ; Eric GEIRNAERT leur donne une seconde vie en les photografiant grâce à un appareillage de son invention. Des clichés qui font l'admiration." Journal NORD ECLAIR : " Eric GEIRNAERT, Villeneuvois, manifestement très doué dans son domaine, a découvert un serpent qui sort de l'ambre, une trouvaille d'intérêt mondial ! " Le JOURNAL DE MILLAU : " Eric GEIRNAERT, l'un des plus grands spécialiste de l'ambre. " Journal SUD PRESSE : " 'Les richesses autour des inclusions dans l'ambre' par Eric GEIRNAERT, orateur, véritable passioné, est assurément une des plus belles conférences jamais présentée au Cercle Géologique de Hainaut. " Journal MIDI LIBRE (Millau - Sud Aveyron) : " Le résultat des jeux d'ambre et de lumières d'Eric est simplement prodigieux. " Journal Le Grand STANDARD - LILLE : " Le rapport passionnel qu'entretient Eric GEIRNAERT avec ses recherches lui confère un caractère particulièrement troublant. Il peut parler des heures dans ses sommets de réflexion, cet homme là sait des choses que tout le monde ignore, il paraît presque ému lorsqu'il trouve une oreille attentive à ses histoires. " |
Les Animations / Expositions AMBRE sont réalisées
GRATUITEMENT.
Idéal pour préparer une exposition, idéal pour publier
un article : les Posters - Infographies...
If you need picture
amber. Free Appraisal Amber Services
Available and Great
Presentation Design Fossils!
INFOGRAPHIE exemple : L'histoire de Jurassic
Park avec le sang d'un moustique est-elle possible ?
En exploitant directement les dépouilles sanguinolentes en chair et
en os, (découvertes, ici, par E.G.), le scientifique
John Hammond (Richard Attenborough) n'aurait-il pas facilement cloné
les dinosaures en évitant les séquences
génétiques des grenouilles avec tous les ratés de l'on
connaît et qui sont à l'origine du film à grand spectacle ?
L'histoire
de Jurassic Park avec le sang d'un animal fossile
est-elle possible ?
Voici la première trace connue et publiée (2002) de sang fossile
piégé dans l'ambre.
Le sang fossile est celui d'un vrai vertébré. Le sang, rouge
parfaitement visible dans
la matrice de résine, s'écoule des chairs sanguinolentes d'une
queue de lézard.
Cette découverte en 2002 est assez exceptionnelle et UNIQUE !!!...
La première trace connue (publiée 2002) de sang fossile d'un
vertébré, un épanchement -avec la connexion à
la dépouille- !!!
Voir
le premier sang fossile connu de l'ambre (2002)
Et maintenant
encore plus exceptionnel :
Dinosaur
Blood In Amber
Brings Jurassic Park Closer. A feathered dinosaur trapped in amber for 100 million years has been found by Eric Geirnaert (Naturalist and author specialized in the photography of rare inclusions) for the first time, traces of true blood (true red blood and not the lymph of the insects or another arthropods) have been found in an cretaceous amber fossil!!! |
Mieux qu'au musée où il faut
payer l'entrée et où l'on ne voit pas forcément bien
les explications rédigées en
petits caractères, voici la
rubrique des belles mentions rares.Toutes
ces références sont des découvertes
réalisées à partir d'un nettoyage manuel. Collection,
photographies, découvertes commentaires : Eric G.
UNIQUE,
découverte
EXCEPTIONNELLE !
Cette écaille piégée dans l'ambre jaune montre l'épiderme d'un lézard qui est marqué par les mélanophores que sont des cellules spéciales qui concentrent les pigments de l'animal. L'écaille de caméléon avec les mélanophores. La "vérité" est ailleurs. Plusieurs références et découvert en juin 1998, le gladiateur transporte toujours son acarien. Un ambre cisaillé. Une aile d'insecte. Le piège du pin. Une pêche miraculeuse. Des minéraux dans un ambre insectifère. Le culicidae. Des fossiles colorés. Records et fourmis. L'abeille dans les strates. Les abeilles baltes. Un "chien". Un ambre in situ. Un essaim de papillons. Des ambres colonisés. Une fleur. La technique photo. Un alevin médiatisé. Les araignées. Les plus vieux ambres. Des graines dévorées. |
Voici,
ci-dessous, en liste déroulante, une trentaine de mentions RARES,
ce sont des inclusions remarquables
et parfois uniques. De tels instantanés sont exceptionnels en paléontologie,
et, ces images
publiées en 2002 dans l'ouvrage Ambre Miel de Fortune et Mémoire
de Vie
sont à l'origine de la fascination particulière qu'ont les publics
pour les inclusions de l'ambre...
Ambre
archéologique (conservation / altération).
Bonjour monsieur Geirnaert. Je me permets de vous écrire concernant des petits modules découverts lors de fouilles archéologiques il y a une vingtaine d'année. Il s'agissait de la fouille d'un quartier artisanal spécialisé dans la fabrication d'objets de parure, en verre, os, et pierres semi précieuses. Au moment de la découverte, le fouilleur a identifié de petites perles d'ambre. Cependant, aujourd'hui à la réouverture des boîtes, je n'ai trouvé que de la poudre brune, ou bien des nodules ressemblant à du bois vermoulu (image ci-dessus). Est-il possible que ce soit de l'ambre altéré ? Comment savoir si c'est de l'ambre ? En vous remerciant par avance. Patricia Rifa. |
Bonjour
Madame, l'identification du nodule désagrégé en
poudre (ambre pulvérulent ou bois vermoulu) est assez simple
sous binoculaire. Si l'on suppose que c'est de l'ambre, le grain cassant,
grossier à fin doit avoir un volume et un "éclat
cristallisé", le grain fragile lorsqu'il est brisé
doit donner des facettes lisses, courbes ou planes et brillantes avec
une petite réverbération à la lumière, (les
petits éclats sont luisants). Regardez l'ambre archéologique
romain en vignette en haut à droite sur l'image. Si le grain
est tel qu'indiqué, la matière peut éventuellement
correspondre à une résine (pulvérulente) qui s'altère
à l'air. La résine (fossilisée ou non) est pulvérulente,
elle se consume à l'air et à la lumière. Si la
poudre est mat, si le grain est terne, plus rond, avec des stries, cela
peut correspondre à du bois désagrégé, compacté,
imprégné d'une substance originelle qui se désagrège
avec le temps (du sel par exemple ou de la pyrite). D'ailleurs, parlant
de pyrite, percevez-vous une odeur ? Celle d'un gaz qui pique légèrement
le nez et qui proviendrait d'une réaction à l'air ?
Les objets archéologiques ont-ils été trouvés
dans un substrat (originel) humide ? Le sel environnant situé
dans un sable humide peut avoir cimenté, aggloméré
la matière qui aujourd'hui s'altère... C'est assez fréquent.
Selon moi, vous avez conservé vos échantillons archéologiques
dans un endroit (malheureusement) sec... TROP sec...
Maintenant pour tester l'ancienneté de la résine (éventuelle) et savoir si elle est fossilisée, il faut passer la poudre sous une lampe UV. Si la matière répond par une fluorescence (même faible), c'est bien une résine fossile. Et, si la réponse UV est négative, c'est alors une résine ancienne (certes) = archéologique, mais non fossilisée. Dans ce cas vous pouvez tester un grain entre vos dents. C'est un procédé connu pour expertiser les résines anciennes qui permet de lire (si oui ou non) elles ont encore un goût. Les résines contemporaines, subfossiles ont une saveur. Une analyse IR, une pyrolyse donnera l'identification de la résine (l'affinité botanique). Vos découvertes sont sans doute celles que l'on trouve au Maghreb (dans le sable ?) où l'hygrométrie originelle est maintenue stable. L'aspect extérieur des pièces semble m'indiquer (sauf erreur) qu'il pourrait s'agir de parures (des plastrons), les pièces (si c'est de l'ambre) sont parfois montées en bijoux, elles sont serties ou percées même dans cet état et conservées à 50 - 70 cm dans des sables compactés. Est-ce le cas ici ? Pour répondre en détail, il faut décrypter le détail du grain de la poudre à la loupe binoculaire. Attention, du sable peut être mélangé à la poudre archéologique... Donc il faut savoir lire et identifier le grain de la poudre (grain à grain)... Sinon, je repense au "sel"... Vos échantillons ressemblent beaucoup à de l'ambre archéologique dégradé en poudre recouvert éventuellement de carnalite. La Carnélite est un sel naturel de potassium et de magnésium qui existe par exemple en Egypte... Pour information, la carnallite était mélangée au natron (carbonate de sodium) pour construire les pierres moulées (géo-polymères)... Pour résumer : 1) Le grain d'une poudre d'ambre (ou d'une résine indurée non ou mal fossilisée) est celui d'une matière tendre qui montre un éclat. Seul l'ambre fluoresce, la résine indurée ne fluoresce pas. Entre les dents la poudre organique est évidemment tendre. 2) Le grain d'un sable a ses facettes plus ou moins altérées par l'érosion. Le grain d'un sable est très solide entre les dents. Il n'y a aucune confusion possible entre un sable minéral dur et une poudre organique tendre (d'ambre ou de résine indurée). 3) La poudre de bois est différente (avec des traces, des lignes) et la matière est très tendre entre les dents. Seul l'ambre fossile fluoresce. Une résine indurée (archéologique = pas fossilisée, = "contemporaine") désagrégée ne fluoresce pas. Maintenant, dans certains dépôts organiques (ouverts depuis peu), il est possible de découvrir des matières recouvertes d'un bio-film fluorescent. Il faut alors caractériser le grain en profondeur, sa dureté, son état fossilisé (éventuel) sous UV... Sinon, voici une infographie pour présenter votre sujet... Madame, ai-je répondu à vos questions ? Cordialement, Eric G. |
Je
vous remercie infiniment de votre réponse détaillée,
simple et claire !!! Le contexte de découverte, est
effectivement à Alexandrie, Egypte, en bord de mer, c'est très
très humide mais énorme salinité ambiante.......
Je m'atèle à ces tests et je vous tiens au courant. Voilà,
on n'a pas eu besoin d'aller bien loin, un simple coup d'il à
la binoculaire a clairement mis en évidence l'ambre cristallisé
sous la gangue altérée. Nous avons entamé un traitement
de consolidation au paraloïde, afin de pouvoir faire des photos
et un test UV. Le paraloïde est une résine acrylique thermoplastique
utilisée dans la conservation d'uvres d'art depuis les
années cinquante, comme adhésif pour la consolidation
et comme vernis stable. Donc ici ce sont de jolies petites perles egyptiennes !
Je ne pense pas que nous finirons aujourd'hui, et demain c'est weekend
ici, mais je vous tiens au courant !
Encore merci. Patricia Rifa. |
Une première Mondiale ! Une exclusivité du Magazine AMP ! ARCHEOLOGIE : Le rituel funéraire ambré romain. Associé déjà au Sandarac et à l'Oliban (dans des mélanges de revêtements - recouvrements) l'ambre jaune de la Baltique (variété Gédanite reconnue par IR) semble avoir été utilisé dans les gestes du rituel funéraire romain entre le Ier et le IIIe siècle de notre ère. Trois mille défunts, dont certains recouverts de textiles avec des fils d'or, (embaumement, plâtre, ambre et résines), témoignent d'une crise de mortalité majeure (éventuellement épidémique, peste, variole, typhus, dysenterie). Pour la première fois, une découverte archéologique exceptionnelle atteste de l'utilisation de l'ambre balte dans les pratiques funéraires romaines ! L'article, à la base d'une collaboration pour un Master, rappelle les notions historiques de l'utilisation de cet écrin de miel à cette époque mémorable... |
Une première Mondiale ! Une exclusivité du Magazine AMP ! World's oldest spider's web !!! Quelle est la plus ancienne toile orbiculaire d'araignée ? Quelle est la plus vieille soie fossile préservée dans l'ambre ? Quels sont les acteurs paléontologiques de ces pièges ? Les araignées archaïques nous obligent à réviser nos certitudes, l'article, présente l'araignée, inséparable de sa soie, sous une lumière nouvelle, résolument ambrée ! Et, pour ceux qui souhaiteraient un complément d'information sur les araignées de l'ambre... |
Un document UNIQUE ! Une exclusivité du Magazine AMP !!! La plus grande concentration mondiale... ...de spécialistes de l'ambre !!! Et, l'affiche du premier congrès mondial des inclusions de l'ambre |
Un document UNIQUE ! Une exclusivité du Magazine AMP !!! Il n'y a qu'en prospectant sur le terrain que l'on peut espérer découvrir un gisement, et, pour vous aider, voici la liste des principaux sites fossilifères d'ambre en métropole. La liste des gisements d'ambre en France. |
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