Musée Jaune Virtuel / LES NOUVELLES ESPECES





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Stases ambrées - VS - Evolutions biologiques...


      On raconte un peu partout, dans les guides surtout, où tout est simple car simplifié à l'extrême (jusqu'à être faux, parfois) que tout évolue... L'évolution et la transformation des formes. TOUT a été dit sur le sujet. Le perfectionnement graduel et subtil des organes. L'adaptabilité fonctionnelle et structurelle... C'est l'évolution morphologique des espèces. Les séries biologiques se transforment au fil du temps géologique... MAIS pour celui qui observe l'ambre... HEU... Comment dire... Le constat est assez problématique et TRES contradictoire...
L'ambre démontre surtout une stase morphologique sur une période plutôt longue !!! Comptez au moins 100 Millions d'années !!! L'ambre est une capsule temporelle, qui, en piégeant la biodiversité passée, démontre que certaines morphologies sont immuables... Peut-on et doit-on parler d'évolutionS (au pluriel, un "S" majuscule!!!) avec des stases comme autant d'exceptions à la règle ??? Que faut-il comprendre ??? Y a-t-il évolution générale ou stase ? Et, si les morphologies restent inchangées, tandis que le génome se transforme, que faut-il faire et comprendre pour identifier et caractériser une espèce type ???
Lire les inclusions de l'ambre c'est se confronter aux problèmes ignorés des guides.
Décrypter l'ambre c'est vivre la réalité des faits qui n'est pas celle racontées à l'école...




Bon... Et, découvrir une Nouvelle Espèce...


      Découvrir une nouvelle espèce c'est (souvent) le graal du collectionneur d'ambre... Il faut relativiser la chose...
Oh !!! Formidable !!!! Le Musée Jaune Virtuel a devancé la science officielle !!! (Rire, humour) ...
Monsieur LIDA XING, de l'université chinoise des géosciences de BEIJING, publie l'image d'une inclusion étrange et allongée que l'on appelle désormais serpent !!!! OH !!!! La jolie chose ! (Rire).
En tenant les vitrines présentées au public (bien avant cette découverte) NOUS SOMMES HEUREUX de rappeler un ambre très intéressant car contenant DEUX choses identiques piégées ensembles !!!! DONC DEUX SERPENTS ! OUI !!! Au Musée Jaune Virtuel depuis quelques temps nous avons DEUX serpents du même type piégés synchrones avec un gammare et des larves aquatiques !!!! Cet ambre extraordinaire est d'ailleurs l'une des premières références à l'origine du Musée Virtuel. Découvert par nos soins (au Musée virtuel, avant les publications scientifiques) l'animal générique pourrait avoir le nom de "Musealis-Jaunis-Virtualis myanmarensis".
Mais la science qui n'attribue ses noms d'espèces qu'aux seules pièces des institutions (celles à la limite données gratuitement par les découvreurs) parlera maintenant de Xiaophis myanmarensis...

      TOUT CELA POUR DIRE qu'en prospectant attentivement on peut anticiper (et devancer) les découvertes scientifiques... Et, le cas n'est surtout pas isolé. Le dossier des Ptérosaures, des Lys de mer et celui des références si nombreuses ci-dessous (que la science officielle présentera bientôt) auront tous, un jour ou l'autre, un nom... POUR l'instant nous baptisons (avec humour) notre SUPER lys de mer : "Musea-Lys Sea-Myanmarensis"...



A mid-Cretaceous embryonic-to-neonate
snake in amber from Myanmar!!!



















Au Musée Jaune Virtuel
LES NOUVELLES ESPECES
et les choses plutôt exclusives....
















Incroyable !!! Des larves aquatiques dans l'ambre crétacé Birman !!!







Incroyable !!! Des larves aquatiques dans l'ambre crétacé Birman !!!
Les références ne sont pas connues dans les inventaires / 2017 !!!
Sommes-nous en présence (ENCORE) d'une nouvelle espèce ?

















Etudier les nouvelles espèces (eventuellement inconnues) par les
fossiles de l'ambre ? Oui, entendu : demandez le programme !!!




      En tenant les comptes TRES en dessous de la réalité, si l'on souhaite évaluer la richesse spécifique (c'est-à-dire le nombre d'espèces) de la forêt d'ambre au crétacé, on pourrait s'attendre à rencontrer un million d'espèces... Actuellement, on estime qu'il y aurait plus de 8 millions d'espèces vivantes sur terre. Et, grosso modo on découvre 6.000 espèces nouvelles par an. Pour finaliser l'inventaire de biodiversité du vivant, il faudrait 300.000 scientifiques occupés pendant 1.000 ans ! Et cela ne correspond qu'aux seules espèces actuellement présentes sur Terre ! Rapporté à la paléontologie, lorsque l'on sait que 90% des espèces fossiles ont disparu, l'inventaire de biodiversité par la fenêtre de l'écrin jaune est infini. Si l'on se lance dans le biotope antique de la forêt d'ambre au crétacé (MEME en réduisant les chiffres d'une façon drastique aux estimations théoriques les plus basses) les données RESTENT vertigineuses !!! Et le piège des résines végétales n'attrape pas que les moustiques ! En effet, aussi incroyable que cela puisse paraître, l'ambre peut rapporter toutes les espèces, à commencer par celles qui dominent le ciel comme les Ptérodactyles (voir ci-dessous) jusqu'aux espèces marines les plus imperceptibles qui composent le plancton.




Pièces muséales, références INCROYABLES !!! Le Musée Jaune Virtuel, ci dessous anticipe les
découvertes scientifiques en identifiant deux insectes Gladiateurs (Mantophasmatodea)
dans le matériel crétécé !!! C'EST UNE EXCLUSIVITE...










Ci-dessous, les écailles se recouvrent comme les tuiles de la toiture d'une maison...
Voici deux "protos serpents" juvéniles piégés synchrones dans un ambre crétacé...















Les nouvelles espèces d'abeilles au Crétacé !

Sans rivales, concurrentes étudiées par la science, les petites Melittosphex burmensis
sont déclarées êtres les premières abeilles venues au monde. Voici d'autres
abeilles (d'une autre espèce ) imposantes... Les abeilles mesurent 1 cm !






Ces grandes abeilles, au crétacé, (ci-dessus),sont
piégées avec des portions de cire (ci-desssous).







Au crétacé (100 M.A.) il y a donc plusieurs espèces d'abeilles, dont certaines
TRES GRANDES (plus de 10 mm) utilisent la cire et participent à l'évolution des fleurs...






      Quelles sont les plus anciennes fleurs au monde ??? Quelle est la toute première fleur structurée avec son pollinisateur dédié ??? La science (qui sait tout sur tout) dans "Journal of the Botanical Research Institute of Texas" raconte Micropetasos burmensis... Oui, mais non... Les magazines qui donnent écho aux théories des chercheurs datent l'apparition consensuelle des premières fleurs à 100 M.A. environ... MAIS pour celui qui regarde les fossiles d'avantage que les comptes rendus spectacles donnés sur le web, il semble que l'on puisse situer l'apparition des fleurs à 200 M.A. (Nanjinganthus dendrostyla par exemple). A cette époque lointaine les abeilles n'existent pas encore !!! Et les premiers pollinisateurs ne sont alors sans doute pas les abeilles (RIRES, comme raconté avec erreur partout) par des donneurs d'histoires qui n'y connaissent rien... Aussi loin qu'il y a du pollen sur Terre, il peut y avoir un pollinisateur sans que la fleur soit mentionnée... Le pollen est TROIS fois plus ancien que la fleur moderne (100 M.A.). Le concept fleur s'invente au jurassique... Mais au fait, c'est quoi une fleur ??? Si tous les dispositifs techniques constituant existent chez un végétal mais ne sont pas "centralisés" en un même point peut-on parler de fleur ? Le pollen inventé sur terre précède l'apparition des abeilles de 200 M.A. Le premier pollinisateur n'est donc sans doute pas une abeille... Le premier végétal qui utilise le pollen n'est pas vraiment sur le modèle la fleur ! La "VRAIE" fleur, telle que nous la concevons, est inventée 250 M.A. après les premiers pollens... Maintenant, plus étrange encore, la résine + sève + organes spéciaux ont fait office de "fleurs" bien avant la fleur (racontée exister à 100 M.A.)
Ces notions ne sont pas vraiment évoquées sur le web, pourtant c'est bien la réalité des inventions et des s&quences observées dans la nature... Bref, pourquoi vouloir toujours chercher LA
référence limite LA plus ancienne dans une science spectacle en simplifiant tout avec autant d'erreurs ?
Posons la problématique plus générale des fleurs et des pollinisateurs avec les inclusions de l'ambre. Peut-il d'ailleurs avoir concept de "fleur" avant la fleur ? Le potentiel fleur existe en effet et fonctionne déjà chez le végétal bien avant l'invention des tructures diversifiées de la fleur à 100 M.A. QUELLE EST LA PREMIERE "FLEUR" visitée (et fécondée) par un éventuel polinisateur réellement attitré ??? Quelle est la première fleur retrouvée fécondée ? Pourrions-nous avoir ci-dessous l'inflorescence d'une petite fleur préservée dans l'ambre crétacé du Myanmar (Burmite) 100 M.A. avec ses fruits !!! OUI. Ici trois fruits sont effectivement visibles...
Enorme, énorme INTÉRÊT pour ce fossile unique dans ce dossier passionnant !







      Où, comment et sous quelles conditions a eu lieu la toute première association fleur - insecte polinisateur ? Comment la plante a-t-elle invité le premier pollinisateur ??? Est-ce l'abeille ? Les premières fleurs semblent avoir existé il y a 130 millions d'années dans des marécages... Alors, depuis quelle époque se joue cette partition intime entre la fleur terrestre (aérienne) et l'insecte pollinisateur comme nous l'entendons de nos jours ? Qui est l'aïeule des abeilles ? Qui est l'ancêtre des impératrices du pollen ? La science nous raconte (2006) que la petite Melittosphex burmensis serait l'abeille la plus vielle et que Micropetasos burmensis existerait (2018) comme l'une des doyennes des fleurs... Mais nos observations et nos recherches au Musée virtuel montrent des abeilles inconnues de la science (ci-dessus) qui mesurent plus de 10 mm et des fleurs fécondées (également ci-dessus)....











Regarder les inclusions étranges de l'ambre et
inventorier les espèces antiques disparues...









      Voici des observations plutôt surprenantes et donc intéressantes... Sommes-nous en présence d'une nouvelle espèce ? Nous avons dans cet ambre une dépouille qui semble animale, désagrégée en pelote, qui est inspectée par un petit coléoptère venu se poser sur le "cadavre" car il a encore ses ailes ouvertes... Quelles sont les communautés animales qui ont de telles pattes préhensiles avec de longues pinces droites, (ci-dessus), un peu sur le modèle de crevettes ? Ici ce qui semble être la "pince" est surtout couverte de poils (des chètes rigides)... Sommes-nous en présence des restes désagrégés d'un étrange scorpion ? Quel est le dit scorpion qui aurait de telles pattes ambulatoires (locomotrices) avec ces griffes dédoublées (identiques à celles des araignées) ?... Quelles sont les proto-araignées qui pourraient avoir une peau diaphane avec des épithéliums parfois dédoublés et des plaques rigides mais souples, (sclérites) rondes à triangulaires, couvertes de poils sur le rebord comme des peignes ?... HEU... Tout cela est bien étrange... L'animal (si c'est un animal) doit aussi avoir de grandes pattes robustes avec de solides éperons un peu sur le modèle des blattes... Carrefour entre plusieurs types, quelle serait la morphologie générale de cette chimère ? Une lecture transversale nous permettra-t-elle d'en savoir un peu plus sur l'identité de cet "animal" qui reste énigmatique ? Avons-nous là une nouvelle espèce ?




























Et posons-nous la question : l'inclusion étudiée ici, si
étrange, est-elle seulement du type animal ????








      Bon que voyons nous ??? A la limite aurions-nous ici un proto-amblypyge poilus et mimétique ??? (Rires)... Avons-nous un mutant d'araignée ? Est-ce un scorpion croisé avec une crevette végétale ? L'organisme est-il végétal ou animal ? La soupe des ces plaques souples (plaques bordées de franges) ressemble assez au voile d'un fantôme en armure... cette inclusion étrange est aussi problématique à expliquer ("expertiser") que la guêpe à double abdomens...










Etudier l'ambre pour... inventorier les
espèces antiques disparues...




      Etudier l'ambre pour... inventorier les espèces antiques disparues...

      Si l'on porte son attention aux faunes marines et organismes si variés du plancton marin, l'exploration est infinie... Les conodontes, les radiolaires, les foraminiféridés, les coraux et les chitinozoaires, etc... De nombreuses pistes peuvent être explorées pour questionner cette structure ronde grillagée assez étrange dans l'ambre crétacé visible dans l'échantillon ci-dessous... Etudier les inclusions de l'ambre c'est (souvent) rencontrer l'inconnu parfois sans référent de comparaison...














      TRES INTERESSANT ! Toutes les traces géométriques conservées dans l'ambre sont précieuses...
Ci dessus, le dessin reproduit à l'identique, plusieurs fois dans l'ambre, n'est pas celui des yeux à facettes sur la tête de plusieurs insectes. Non. C'est autre chose. Le dessin par mailles hexagonales tourne sur un support sphérique. La coque, ou paroi de support, semble assez rigide pour résister au fluage... Les pores sont d'une maille régulière, encadrées par d'autres mailles tout aussi régulières. Il semble y avoir plusieurs barres (des épines translucides) disséminées dans l'ambre. Dans le phytoplancton (radiolaires) les Acanthosphaera sont des algues vertes de la famille des Chlorellaceae... Ces inclusions de l'ambre démontrent que les résines crétacées sont originaires de l'estran. L'estran est zone de marnage sous l'eau ou pas selon les marées. À marée basse, la zone intertidale est exposée à l'air alors qu'à marée haute, elle est sous l'eau. Ici avec cet ambre on se situe à la limite où les organismes vivent entre les lignes haute et basse de la marée.






Autre sujet bientôt présenté sur le Musée virtuel :
les restes de ptérodactyles existent dans l'ambre...







- NOUVELLES ESPECES -
Les ptérosaures...
  
Inventaires de science
VS propagande et
argent...

Ci-dessous, le certificat (privé, évidemment
payant sous le chapeau de la science qui
contrôle tout) est un investissent du vendeur qui,
pour exister sur le marché (asiatique truffé de
contrefaçons), souhaite revendre le fossile
au meilleur coût. Et, le prix affiché
hors négociation : 500.000$ U.S.
Ci-dessous, voici un certificat payant d'expertise (document réel mais réduit suffisamment pour garder l'anonymat du propriétaire)... Question : pourquoi payer un tel document lorsque qu'une photographie en UV suffit pour expertiser la matière ? Et, plus énorme encore, l'expertise raconte la qualité naturelle de la gemme MAIS ne certifie surtout pas l'inclusion qui peut-être tout et n'importe quoi... Alors que vaut un tel document d'expertise ??? Ce document est-il destiné à un public alors crédule ??? John Hammond (bras ouverts, le responsable de Jurassic Park) serait content de la tournure commerciale que prennent les choses... Ici le vendeur, monsieur xxx, demande un demi-million de dollar pour un ambre "certifié" de quelques grammes... On comprend mieux les raisons de la guerre locale qui fait rage. Comme toujours, tout le malheur du monde vient de l'argent...




      L'étude des inclusions de l'ambre peut être comparée à une activité sportive. Bouger, se remuer les muscles, c'est bon pour la santé. Et, réfléchir aux explorations paléontologiques entretient l'esprit... Paléontologie et Sport peuvent être comparés car les disciplines (POURTANT TRES différentes) suivent le même model jusqu'à la compétition...
Tout le monde connait la communication liée au sport et le poids financier énorme des fédérations. L'entreprise la plus rentable au monde est celle qui organise (et gouverne) le football mondial. Art de guider les masses, la propagande du sport agit donc sur les opinions de la population, dans le sens de l'intérêt de ceux qui la gouvernent.
Et, c'est moins connu du public, mais la paléontologie fonctionne sur le même model. Propagande sportive et propagande scientifique: même combat... La paléontologie est une activité (comme celle du sport) qui joue à surveiller puis "tuer" la concurrence. La paléontologie, outil de communication d'une propagande nationale, ne donne évidemment audience qu'à ses seules découvertes. Et, hors du chemin, point de salut !
Prenons un exemple. Que diriez-vous si demain un inconnu venait aux médias pour annoncer un scoop en tenant un rapport d'expertise! La personne annoncerait avoir battu le record du monde du 100 mètres actuellement détenu par le Jamaïcain Usain Bolt en 9s58, établi le 16 août 2009 en présentant son propre certificat d'authentification... La chose parait incroyable.... Mais transposée à la paléontologie, LA CHOSE EST TRES COURANTE !
En effet... La science n'en parle pas encore au public, mais depuis quelques temps les "ptérosaures" fossiles existent dans l'ambre... On met ici les guillemets CAR on désigne sous le nom PTEROSAURE un "machin" étrange qui souhaite avoir enfin une réalité dans le monde scientifique... MAIS SANS PUBLICATION SCIENTIFIQUE, aucune existence... Les découvreurs souhaitent faire valoir leurs inventions MAIS comment communiquer ALORS QUE LA SCIENCE musèle le secteur. Comment présenter un record du monde en dehors des fédérations ? Voici un rapport privé d'expertise titré : L'inclusion d'une tête de "Ptérosaure". Le propriétaire de la pièce d'ambre contenant une portion de dinosaure inconnue de la science a payé un laboratoire privé pour avoir ce certificat papier... Payer des expertises privées pour chercher à exister démontre pleinement que la science souhaite passer sous silence certaines découvertes pour en présenter d'autres au public. Pourquoi chercher l'expertise privée si la science (loyale et juste) faisait correctement son travail en présentant réellement les découvertes les plus importantes ? Les ptérosaures fossiles existent NOMBREUX dans l'ambre !!! Le propriétaire se tourne vers un laboratoire indépendant pour avoir un certificat d'authenticité. Mais que vaut le dit certificat privé, pour quel utilisation et à destination de quel public ? C'est comme si en sport vous présentiez vos analyses biologiques déclarées conformes à qui veut bien les lires... "Je ne suis pas dopé et j'ai battu un record du monde..."
Sport et paléontologie, même combat.
Et, hors du chemin, point de salut !
La paléontologie est truffée de pièges et de miroirs aux alouettes, installés par la concurrence, la propagande et la science spectacle commerciale... Les pièces les plus extraordinaires ne sont SURTOUT pas celles présentées au public pour des raisons géopolitiques et stratégiques... Les plus belles pièces sont celles qui circulent aux marchés parallèles commerciaux...






DANS LA RUBRIQUE NOUVELLE ESPECE, VOICI...
VOICI UN ŒUF ENORME imprégné d'ambre.



      Petite question : "à quoi ressemble un œuf ?" Ok... Je vois bien la chose... Et un œuf de Dinosaure??? Heu... C'est plutôt grand... Ok... Je vois la chose... DONC un œuf de dinosaure serait une chose ovoïde plutôt grande qui étant creuse pourrait accueillir une multitude de chose si l'embryon fragile disparaît... Un fluide pourrait-il venir dans l'œuf par imprégnation régulière et lente en s'infiltrant par une fissure de la coquille peut-être? Même si l'embryon et les tissus mous sont digérés par le chimisme environnant, reste la coquille qui génère un volume différentiel peut par phénomène de succion, "aspirer" un fluide venu de l'extérieur... Ce phénomène peut exister à l'intérieur d'un tronc d'arbre creux partiellement mêlé à de l'eau. Des piégeages assez originaux et singuliers existent avec l'ambre. Et ceci dit il existe des enrobages complets (finalisé, intégraux) de choses amorphes assez volumineuses. Et le détail devient intéressant si l'on discerne le reliquat de la coquille conservée de l'œuf... DONC présenté de cette façon, que voyons-nous ici???

      Oh, évidemment, les ambres natifs existent ovoïdes, ronds, en volumes identiques à des lentilles... Evidemment l'objet ici insolite peut-être confondu avec un ambre rond, (une "rotule" de résine)... Mais dans ce cas l'ambre natif ovoïde montre toujours un fluage. Ce qui n'est ici pas le cas.

      L'objet ouvert (brisé) en deux, laisse apparaître des fractures conchoïdales profondes assez conformes à celles de l'ambre né par accumulation, agrégation sans fluage. Ici tout indique qu'un récipient creux "originel" aurait accueillit la résine. C'est comme la coque d'un navire percé qui prend l'eau. La résine est rentrée par une fissure ou, sans doute, par l'ouverture d'éclosion. L'échantillon est constitué d'ambre puisqu'il fluoresce (d'ailleurs SANS FLUAGE). Si c'était un ambre de type rognon, (lentille formée au pied de l'arbre et sédimentée horizontalement), l'échantillon aurait une structure lamellaire par recouvrements successifs, ce qui n'est pas le cas ici... La résine n'a pas été roulée écrasée ni même mise en action. La résine a été concentrée, maintenue en une fois dès son émission, dans une coquille ovoïde de 7cm parfaitement visible... Lorsque l'on observe une momie égyptienne, le cerveau du défunt est séché, collé contre la calotte osseuse à l'intérieur du crane... Gardons cette idée à l'esprit pour comprendre les traces de l'ambre.

      Lorsqu'une résine entre en contact avec des fluides, les marques alors développées progressent TOUJOURS en gradients. IL Y A UN GRADIENT de contact, on peut suivre la diffusion du fluide, le sens et même la direction du mouvement avec le point d'entrée. Le point d'entrée est évidement la zone la plus marquée et l'effet s'estompe au fur et à mesure de la profondeur. Ici le critère très singulier dans l'objet ovoïde (œuf), est la trace blanche rigoureusement périphérique, homogène, constante, très régulière et marquée qui progresse en profondeur. DONC les fluides sont regroupés dans l'intérieur de l'œuf, avant l'arrivée de la résine. Les fluides de l'œuf éclot ont été compressés par la résine rentrée par un point large (sans doute d'éclosion que nous n'avons pas). La trace BLANCHE périphérique est surtout forte et ne donne AUCUN POINT d'entrée par l'extérieur !!! AUCUN FLUIDE n'a donc traversé la coquille d'ailleurs parfaitement conservée en plusieurs endroits. Les fluides étaient donc déjà dans le volume de l'œuf avant l'arrivée de la résine!!! La trace blanche initiée seulement dans l'intérieur de l'œuf, donc sous la coquille c'est un peu le cerveau de la momie collée à la calotte osseuse... En regardant le crâne de l'extérieur, on ne voit rein de particulier, car les traces diffusées dans la résine se font seulement par l'intérieur sous la calotte crânienne... En examinant la périphérie de l'objet on discerne une légère rétractation des volumes et la coquille calcaire est alors fissurée par compaction légère. Se pourrait-il qu'une portion d'un embryon puisse encore exister en profondeur dans l'ambre? Une exploration aux rayons-x donnerait une réponse... DONC aussi incroyable que cela puisse être, on peut trouver des œufs éclos (7 à 10 cm) de dinosaures enrobés de résine !!! LA REALITE dépasse LARGEMENT LA FICTION DU FILM JURASSIC PARK...






















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