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début du site
Les régions baltes ont le célèbre succin, le bassin de
Paris offre cette résine encroutée "grise" (humour)...
Mais en y regardant par deux fois, la matière n'est pas grise et terne...
Bien au contraire, la matière
est une gemme étonnamment jaune, d'une teinte soutenue. La gemme translucide
est diaphane.
Certains s'empresseront alors d'enlever cette croûte terne qui gêne
l'observation
des inclusions, c'est dommage, car l'épiderme de l'ambre, cette peau
si
précieuse est une
mémoire qui peut raconter beaucoup de choses.
Croûte
grise (ci dessus) à jaune (ci-dessous) selon les dépôts,
les lots doivent être examinés in situ avec les indices stratigraphiques
de terrain, qui, lorsqu'ils sont croisés permettent parfois de
faire des découvertes étonnantes (comme celle de plusieurs
bois producteurs). Ces pièces présentées ici (sur
ce site Internet incomplet) sont TOUTES le fruit d'un "picking",
(pike 1993) cette méthode qui consiste à ne ramasser
MANUELLEMENT que les morceaux visibles à l'affleurement.
Les prospections à la grue ne sont évidemment qu'un saccage
orchestré par ceux qui, donneurs d'ordres, racontent (par propagande)
que la méthode a ses avantages. La collecte de nuit (autre méthode)
peut-elle alimenter ce qui ressemble parfois à un trafic ?
Les mafias de l'ambre dans les régions baltes auraient-elles guidé
les méthodes appliquées par certains dans l'hexagone ?
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Loin du tumulte médiatico -scientifique, la prospection
raisonnée
(manuelle, sans outil) offre des découvertes uniques...
Le rêve ultime de tous les prospecteurs : la découverte
rare de l'arbre
producteur d'ambre de l'Oise !!!
L'Empreinte du Vivant : "bois fossile et ambre".
Actualité
Oise : Un musée prévu à Verberie. (Le
Parisien 20.02.2005).
IL EST TOUJOURS impossible pour le moment dans notre département de voir de près le plus petit morceau d'ambre... Le musée de paléontologie prévu au château d'Aramont, sur la commune de Verberie, suite à la découverte du gisement de l'Oise, ne devrait pas ouvrir avant deux ans. Aussi, à moins de vous rendre au Mans, dans la Sarthe, où le musée Vert Véron de Forbonnais (ci-dessus, tél. xxx) présente jusqu'au 27 mars prochain son exposition "l'Empreinte du vivant : bois fossile et ambre", organisée avec le concours de l'université de Rennes et du photographe Eric Geirnaert, il ne vous reste qu'une solution : feuilleter à loisir l'unique ouvrage en français consacré à la fameuse résine. Intitulé " l'Ambre, miel de fortune et mémoire de vie ", ce livre d'Eric Geirnaert -l'ambre de l'Oise y figure d'ailleurs en bonne place- n'est certes pas celui d'un chercheur mais l'on y sent tant de passion, à la fois pour l'entomologie, l'ambre et l'image, qu'il serait bien dommage de passer à côté. En 176 pages et surtout près de trois cents splendides photographies d'inclusions, voilà en effet l'occasion, pas si courante de nos jours, de découvrir un monde vraiment extraordinaire. A lire absolument ne serait-ce que pour mieux comprendre la fascination ancestrale de l'homme pour l'ambre et ses mystères... Amené par de riches illustrations, ce livre peut être commandé en librairie au prix de 27. Il est en vente dans l'Oise (évidemment)... Notes : Devenus salariés par l'association du Centre permanent d'initiatives pour l'environnement (CPIE) des Pays de l'Oise, certains protagonistes très impliqués dans les ambres de l'Oise préparent l'ouverture d'une salle de géologie cet automne au château de Verberie et le résultat des fouilles y sera présenté au public. La mise en valeur de ce morceau du patrimoine français se fait en partenariat avec la société Lafarge. Espérons que cette présentation soit accessible (dans le temps) au plus grand nombre, peut-être avec une présentation Internet... 15 juin 2010. Dans le cadre de la 14ème édition du concours Développement Durable de l'UEPG (Union Européenne des Producteurs de Granulats regroupant 25 pays), Lafarge Granulats Nord et la carrière de Rivecourt (Oise) ont reçu le Prix Spécial dans la catégorie "Partenariat avec la collectivité locale" pour la mise en valeur de recherches paléontologiques menées conjointement avec le CPIE des Pays de l'Oise (Centre Permanent d'Initiatives pour l'Environnement). Lafarge est ainsi le seul industriel français à recevoir cette année la distinction européenne. Espérons que ce prix initie des présentations accessibles au public qui guident les prospecteurs vers la sagesse d'une étude (raisonnable) épargnée des appétits particuliers. |
L'ambre de l'Oise présenté au premier
congrès mondial de l'ambre en octobre 1998 en
Espagne est sans doute l'un des sujets éducateurs les plus intéressants
pour révéler
les rouages cachés des publications et l'aspect
sociologique de la science.
Donc, l'ambre de l'Oise
(ou plutôt le copal de l'Oise)...
Les traces de bois et les écorces des arbres producteurs d'ambre sont
rares et n'ont pour ainsi dire
jamais été dévoilées ! Les ambres associés
aux bois fossiles originels sont extrêmement rares !
Et, les fossiles offrant le détail des structures des
canaux sécréteurs de résine sont uniques !!!
L'ambre de l'Oise... est
un COPAL !
DEFINITIVEMENT
: L'ambre et le copal
n'ont pas la même affinité
botanique...
Et, autre point , les oléorésines originelles du pôle
copal durcissent plus vite à l'air
atmosphérique que celles issus du pôle ambre. De fait quelques
matières
"copalées" devenues dures peuvent traverser les époques
géologiques
(en se polymérisant plus ou moins) alors que les ambres sont
quant à eux toujours parfaitement polymérisés.
Les
résines éocènes du bassin de Paris ont un spectre infrarouge
proche
de celui des matériaux du Chiapas (Mexique) dont l'affinité botanique
est rigoureusement établie comme une angiosperme
légumineuse Hyménaea mexicana.
DONC : matériel Oise = matériel Mexique = Copal.
Du
pôle copal, -produites par des plantes à fleurs et non
des résineux- les résines fossilisées de l'Oise
sont partiellement soluble dans l'ester, le xylène et ne résiste
pas à l'acétone et l'essence de térébenthine.
Cette caractéristique chimique démontre
(comme les analyse IR, ci-dessus) que le matériel n'est
donc pas comparable aux ambres baltes ! Cette dissolution (copal)
permet de libérer les inclusions piégées (portion
d'insectes, grain de pollen...) L'ambre de l'Oise n'existe pas PUISQUE
c'est rigoureusement UN COPAL !
D'ailleurs, des analyses par résonance magnétique nucléaire (RMN) ont montré que la composition de l'ambre (en fait le copal) de l'Oise n'est pas celle du succin balte. Un nouveau composé a été isolé : la quesnoine (baptisée ainsi d'après le nom du site: Le Quesnoy). La quesnoine est caractérisée par un assemblage polycyclique rare issu de l'acide isoozique. Cet acide isoozique se trouve majoritaire dans les oléorésines secrétées par des arbres du genre Hymenaea, (les arbres qui donnent le copal). La comparaison des échantillons par RMN permettent d'identifier l'arbre producteur: l'Hymenaea oblongifolia. Un arbre qui n'existe aujourd'hui qu'en Amazonie, démontrant que le biotope parisien n'était pas celui des régions baltes... |
Les bois fossiles associés à la résine restée
attachée aux structures
végétales sont rares. Et, les fossiles offrant le détail
des
structures descanaux sécréteurs de
résine sont uniques !!!
Voici, ci dessous, la première et la seule mention
publiée à ce jour (Eric G. 1998, 2000, 2002).
Une autre
observation, ci-dessous, rare (et
même unique) avec les glandes extra-florales...
Avant de parler d'ambre, de l'Oise...
(re)précisons un point...
L'ambre
de l'Oise n'existe pas !!!! Certains, sans les nommer,
souhaiteraient évidemment nous faire croire le contraire. Mais,
non, désolé, les gemmes indurées du bassin parisien
et de l'Oise (sauf découverte à venir) sont du type COPAL !
Les uns soutiennent le vocable "ambre" pour la gloire, les autres
pour l'argent (pour vendre la gemme au prix fort)... Oui mais non, désolé,
c'est une erreur, une réelle méprise, ou, un
petit mensonge volontaire (à vous de voir).
L'ambre de l'Oise est un COPAL ! Il ne concurrencera jamais les gisements baltes. De l'époque Sparnacien, l'ambre "Le Quesnoy" (étudié récemment sur la commune de Houdancourt) est situé dans une couche à argiles à lignite datée de l'Éocène inférieur. C'est d'ailleurs Combes, en 1907, qui, le premier sous le nom Aulacoxylon sparnacense a donné une description de l'arbre producteur de résine. Cependant le bois observé par Combes n'était peut être pas celui récemment identifié des Caesalpiniaceae (angiospermes, eudicotylédones) de la tribu des Detarieae, notamment du genre actuel Daniellia Benn. Le genre Daniellia pourrait être issu des groupes les plus anciens des Detarieae, différenciés avant même Copaifera, Sindora et Hymenaea. Et, de fait, la sécrétion de l'Oise serait la production d'un arbre type copal. Les signatures spectrales (IR) des résines fossiles du Bassin de Paris (Savkevitch & Popkova 1978) sont presque identiques entre elles et sont toutes proches de celles des résines fossiles du Mexique, datées de 15 à 40 Ma et provenant d'une Caesalpiniaceae (genre Hymenaea; Poinar et al. 1994). L'ambre de l'Oise n'est donc pas une gédanite (avec acide succinique) comme le matériel de la même époque en Baltique, supposée d'âge éocène inférieur à moyen (40 à 50 Ma) provenant de conifères (genre Pinus ; Conwentz 1890 ; Schubert 1961 ; Pielinska 1997 ; Turkin 1997). Cqfd : Résine fossile de l'Oise = Copal. Et, si le fait est avéré depuis les années 1970 - 1980, pourquoi donc faut-il passer sous silence le fait que l'ambre français (tout l'ambre français) serait un copal ? Pour éviter de choquer les oreilles chastes des personnes influentes (qui se reconnaîtront ?) et celles, vertueuses, des petits commerçants mercantiles, je continuerais à parler d'ambre français. On ne peut pas aller en guerre contre toutes les fractions, et, pour connaître les raisons de ce lapsus assez volontaire (proche de celui des faussaires) vous pourrez lire un complément dans ce dossier |
Ce bois fossile est donc celui de l'arbre
producteur des "ambres" de l'Oise...
Les échantillons (jusqu'à 30 cm !) montrent les canaux sécréteurs
de résine !
Cette découverte est unique au monde, (Eric G. 1998, 2000, 2002)...
Pourquoi ici et seulement ici les bois fossiles de
l'Oise ?!
Comment est-il possible de trouver (si souvent) ces bois
fossiles dans les sites de l'Oise ? Les équipes
scientifiques qui voulaient avoir "la main
mise" sur les matières seraient-elles
passées à côté sans
rien voir ? ...
Mentionnés à chaque publication qui présente la
nouvelle description morphologique d'un petit insecte, les bois de l'Eocène
inférieur (Yprésien - Sparnacien, 53 M.A.) à l'origine
des résines fossilisée de l'Oise sont TRES souvent racontés
SANS la moindre I-M-A-G-E-!!! ... Les bibliographies -pour
cette découverte cruciale des bois- sont-elles approximatives,
voir fausses ou arrangées par quelques auteurs qui oublient les inventeurs
et la concurrence gênante ? Le découvreur des bois fossiles
de l'Oise serait-il encore ce prospecteur qui, SEUL et amateur
lui aussi, a découvert ses propres affleurements dès 1997
et à publié en octobre 1998 ses premiers bois présentés
au premier congrès mondial de l'ambre ?
Dès 1998 les bois producteurs de l'Oise sont publiés (Eric
GEIRNAERT) et les
références sont présentées au Premier
congrès mondial des inclusions de l'ambre.
Depuis les références suivent les travaux plus
ou moins aspirés sans partage...
Expliqués abondants
par quelques auteurs français, pourquoi les bois fossiles (si importants)
sont
publiés sans image ? Chacun veut publier les choses importantes
sans tenir les fossiles ?
Oui, la question se pose. Et, d'ailleurs une lecture entre les lignes est assez
instructive.
Pour les polonais qui évidemment défendent
l'ambre de la Baltique, (le seul, le VRAI), il
faut surtout expliquer que la résine fossile de l'Oise est rigoureusement
la sécrétion
d'une angiosperme. Et, pour les français, exit le nom des découvreurs,
on
peut raconter les bois fossiles sans image...
Dans l'Oise, la dominance de l'espèce d'arbre productrice d'ambre, est
Aulacoxylon sparnacense. Certains auteurs (qui oublient la concurrence
et ne veulent surtout ne présenter QUE leurs découvertes p-e-r-s-o-n-n-e-l-l-e-s)
affirment que les portions de bois seraient si courantes qu'il suffirait de
se pencher pour ramasser sans effort les écorces pyritisées, quelques
morceaux du tronc et les restes des branches... Oui, ce qui déclaré
si facile nécessite quand même quelques aptitudes... Découvrir
(si souvent) ces portions de bois n'est pas le fruit
du hasard mais constitue le résultat d'une lecture déductive
des gisements. Que faut-il examiner sur le site d'ambre pour localiser les portions
de bois ? Que faut-il REGARDER avant de fouiller ??? Que faut-il comprendre
du paysage avant de creuser...
La chance (que l'on suppose être distribuée de la même façon
pour tout le monde) est-elle le seul carburant moteur de la prospection "ambrée" ???
Non, par vraiment. Le sujet concerne les grains de
sable...
Et, l'explication est donnée en page 2
de ce document PDF.
Mesurant jusqu'à 30 cm de long, plusieurs portions du même bois
fossile associéà l'ambre sont issues du même arbre tombé
dans les sédiments. Les portions du bois ont été collectées
(alignéss) sur un espace de cinq mètre dans les sédiments.
Cette référence constitue l'une des plus grandes découvertes
au monde de bois associé à l'ambre, une découverte formidable
(extrêmement rare) provenant des gisements de l'Oise. Les pièces
sont datées de 54 - 56 M.A. Un échantillon surtout montre ce qui
doit être les galeries d'un insecte xylophage, peut-être celles
d'un coléoptère Scolytidae qui a trouvé peut-être
un bénéfice à attaquer un arbre affaibli...
L'affinité botanique des ambres est très souvent problématique,
en effet, le bois associé à la résine peut souvent être
étranger. Les découvertes qui attestent de l'origine de l'ambre
sont extrêmement rares. Cette découverte d'une portion de l'arbre
producteur d'ambre (branche et tronc) par l'auteur dans les gisements français
est unique...
L'arbre producteur d'ambre est surtout Aulacoxylon sparnacense (Combretaceae
ou Caesalpiniaceae) qui correspond à la plante contemporaine Termimalia
L. (Combretaceae) ou Leguminosae-Caesalpiniaceae. L'arbre
fossile est assez abondant sur plusieurs sites (dès lors que l'on recherche
les sables compactés, voir explication page
2 dans ce document) et peut être accompagné ailleurs de plusieurs
autres bois fossiles (homoxylés ou hétéroxylés)
certains sont clairs et fibreux et de quelques fragments de stipe de palmiers
(Palmoxylon sp.).
L'ambre
de l'Oise est entreposé dans un dépôt primaire, il n'a pas
été remanié. La couche sédimentaire dans
laquelle se trouve la résine fossile est une couche d'argile à
lignite de 5 à 15 cm de puissance datant de l'Eocène inférieur
(Yprésien - Sparnacien), c'est-à-dire 53 millions d'années.
La strate n'a jamais été modifiée par l'érosion.
D'où l'importance de lire les indices stratigraphiques et l'ineptie
de prospecter à la grue !!! L'ambre a séjourné
dans un milieu corrosif, acide, rendant les morceaux friables. Le bois
est partiellement recouvert de pyrite, ce processus parfois
complet a "stabilisé" la structure pourtant très
fragile des canaux sécréteurs internes (cf. l'image ci-dessous)
qui constitue une sorte de grille très fine.
Cet échantillon d'ambre fossile montre le détail des canaux résiniques
de l'un des arbres à l'origine des résines fossiles des gisements
de l'Oise. Dans le département, la dominance de l'espèce d'arbre
productrice d'ambre est Aulacoxylon sparnacense, (Eric G. premiers bois
fossiles publiés en octobre 1998 au premier congrès Mondial de
l'ambre). La présence de perles formées dans l'eau stagnante (perles
qui ont un filet d'étirement secondaire, voir sur l'image ci-dessous)
et la présence de tortues marines (fossiles d'un mètre de diamètre
vite transportés par quelques fraudeurs pour le marché clandestin)
démontrent l'existence d'une forêt semi déciduée).
Le climat Eocène du sitre était chaud avec une saison humide ce
qui correspond aujourd'hui à un climat de type subtropical..
Dans le même site plusieurs
espèces botaniques ont
donné des résines fossiles assez différentes...
Vous
avez une question, une remarque ?
Les
spécialistes qui étudient les implications de la chute de
la météorite du Yucatan (Golfe du Mexique -65 M.A.) qui
aurait entraîné la disparition des dinosaures, ont cherché
à découvrir, dans des ambres français, la présence
d'indices floraux, permettant de délimiter la zone d'influence,
l'intensité et la durée de l'hiver nucléaire qui
aurait suivit l'impact.
La
régularité des taxons botaniques, les nombreuses inclusions
de fleurs et le pollen dans le gîte d'ambre de l'Oise permet de
relativiser l'effet de la météorite pour expliquer la disparition
des dinosaures.
Les morceaux d'ambre des gisements de l'Oise se classent essentiellement en deux catégories, les coulures minces très filiformes et les rognons plus ou moins gros. On trouve parfois des gouttes et des billes (en haut à droite sur l'image).
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Du
type copal, la résine fossile de l'Oise, comparable à celle
du Mexique, est surtout limpide, très jaune, (la couleur est spécialement
homogène dans l'épaisseur des échantillons) et permet
alors de photographier facilement les inclusions.
Pour ces résines, la plupart du temps translucides, la couche
externe oxydée (blanchâtre) est si fine (voir ci dessous)
qu'il n'est pas nécessaire de l'enlever par un travail de polissage.
La technique de
l'immersion partielle (avec les
éclairages alentours) est suffisante pour traverser les fines
surfaces altérées. En utilisant cette technique de l'immersion
partielle en eau sucrée bleue, (pour rectifier les imperfections
des surfaces) les photographies peuvent être calibrées. Les
vues rapprochées peuvent être prises sous plusieurs angles
ce que ne permet pas un échantillon collé sur une plaque
de verre !!!! Il est DONC possible de
photographier les inclusions en conservant les échantillons natifs
conservés en volume. Et le matériel ici de l'Oise,
surtout limpide, ne nécessite surtout pas de découper les
ambres en lames mince (préparation à l'époxy et baume
de Canada qui est systématiquement fait dans la collection du musée
de Paris au moins par le travail de routine de GdP selon ses propos et
selon les travaux publiés. "Létude
des échantillons dambre nécessite une préparation
préalable" voir les pages 25 et suivantes de
ce document).
|
En octobre 1998, je publie
l'information selon laquelle les traces entomologiques peuvent
être assez énormes pour les résines de l'Oise... Outre les
petits "essaims" de guêpes
Chalcidoidea synchrones aux diptères sciaridae et chironomidae,
(voir ci-dessus)
ce sont surtout des ailes assez énormes d'homoptères (voir ci-dessous)
qu'il
faut examiner en surface des échantillons d'où
l'importance
absolue de ne pas découper les ambres !!!!
L'essentiel
de l'ambre de l'Oise est vraiment composé de sécrétions
nées aux racines des arbres (formées sous la surface du
sol) qui ne contiennent pas d'inclusion. Ces amas informes partiellement
fendus sont globulaires. Ces résines n'ont pas subit de déformations
multiples par la pesanteur et n'ont pas été compactées
(secondairement) dans les roches encaissantes. Les sédiments alentours
sont meubles (et sont assez proches des dépôts d'un marécage
peu profond, Eric G. 1998, et 2002). Pour étudier les insectes
il faut prospecter 15-20 % des échantillons qui, allongés,
sont les coulures aériennes aux branches. Assez singulier,
cette remarque très marquée pour les sites de l'Oise facilite
beaucoup la prospection. Les dépôts primaires des ambres
de l'Oise sont essentiellement distribués sur ces deux types :
les coulures aériennes riches en insectes et les amas racinaires
sans inclusion. Cette caractéristique facilite la recherche des
références pour l'inventaire des entomofaunes piégées.
Les coulures montrent alors des essaims de moucherons synchrones (syninclusions),
voir ci-dessus, et également des ailes (très grandes) d'insectes
homoptères (voir ci-dessous). J'ai présenté ces informations
et ces références au premier congrès des inclusions
de l'ambre en Espagne en 1998.
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Certains lots vendus au marché
noir sont
des résines surtout friables...
Disponible
au marché clandestin (vendu par xxx), les échantillons de
l'Oise peuvent surprendre les collectionneurs
et apporter des surprises désagréables aux acheteurs.
L'ambre de l'Oise, (en fait ce copal cousin de celui mexicain) est jaune
doré, parfois rougeâtre. Le matériel est esthétique,
mais, parfois est surtout friable... Si vous achetez vos matières
chez xxx, soyez vigilants. Baignés dans des milieux acides pyritisés,
certains lots se désagrègent (sans raisons apparentes).
La fragilité mécanique des gemmes alors n'a rien à
voir avec les lignes conchoïdales profondes (ces lignes prétendues
de "fractures" qui naissent aux déplacements - écrasements
de quelques fluides). La fragilité des gemmes limpides résulte
ici de la mauvaise polymérisation de l'édifice... Les échantillons
se brisent (avec ou) sans lignes conchoïdales (comme montré
ci-dessus) infirmant alors les propos de xxx et xxx dans leur Mémoire
de fin d'études pour l'obtention du grade Maître en Sciences
Biologiques. DONC, attention aux collections volées et/ou
fond de tiroir... Les trafiquants de l'ambre
savent pertinemment qu'il vaut mieux vendre le plus vite possible (au
prix fort) des lots qui ne se conservent pas...
|
Sur la pente savonneuse qui mène aux enfers lorsque vous consommez des
produits illicites
(produits qui ruinent la santé), l'addiction vous "oblige"
à gagner de l'argent, d'où
la vente sous le manteau et les conflits en cascade qui en découlent.
Les
prospections de nuit en terrain privé sont illégales. Donc
certains animateurs / découvreurs qui disent aux journalistes :
"Je venais en secret la nuit" montrent bien la démarche
et le caractère des personnes...
Derrière ces petits articles "consensuels" où le journaliste lustre l'enseigne de l'équipe scientifique (investissement rendu nécessaire pour revenir aux nouvelles à la prochaine occasion), force est d'admettre que l'argent roi guide le dossier des ambres de l'Oise... Certains protagonistes très impliqués dans les carrières de granulats Lafarge (à Chevrières et Rivecourt) n'ont-ils pas utilisé des matériels communs à des fins parfois personnelles pour vendre (sous le manteau) des lots aux origines assez problématiques ? Sans faire la chasse aux sorcières, est-il normal de vendre les fonds de tiroirs (quand ce n'est pas autre chose) sans aucun accord ? Que dit la législation sur ce commerce si particulier des fossiles ? Où sont les frontières de la déontologie dans ce dossier des ambres de l'Oise ? Qui fait quoi, à quel prix, pour qui ? En regardant le fil des présentations (et des licenciements) on se demande si l'exploration des ambres de l'Oise n'a pas tourné au partage commercial puis au pugilat honorifique, (comme le spectacle de quelques charognards qui se disputent un trésor aux reflets mordorés)... |
Quand ramasser
l'ambre de L'oise devient : une jungle...
Que dire de la prospection
des sites d'ambre de l'Oise?
Le dossier est disponible en écrivant à : eric.ambre.jaune@hotmail.fr
350 kg d'ambre ont été récupérés
dans 10 tonnes de sédiments
soit 500 tonnes de roches
encaissantes...
Questions : Comment se sont
passées les prospections ? Que sont devenus plusieurs dizaines de
kilos d'ambre pour
les 500 tonnes de roches encaissantes collectées ? Qui a mené
les prospections ? Qui est le découvreur du site ?
Qui est le propriétaire foncier du site ? Qui est le propriétaire
du sous sol ? Qui est le propriétaire du lot
d'ambre ? Peut-on prospecter et vendre ses découvertes ? Que
précise le texte de protection
du gisement au journal officiel du Sénat (J.O. du 28-01-1999, p. 274) ?
L'été
1999, le massacre des site de l'Oise.
Il aurait été intéressant et respectueux de colleter les ambres par "picking", (pike 1993) cette méthode consiste à ne ramasser MANUELLEMENT que les morceaux visibles à l'affleurement en poussant ensuite une collecte (r-a-i-s-o-n-n-é-e) par tamisage (évidemment manuel) désigné de "screening" par le même auteur. Mais certains chercheurs de la capitale (qui refusent de se salir, je m'en souviens j'étais présent) pratiquent autrement. Le fond des strates est exondé par des jets d'eau injectés qui décapent les states après que la grue ait ouvert un nouveau front. "C'est plus rapide, et, on ne mets pas les mains dans la boue." |
Quand publier
l'ambre de l'Oise devient : une jungle...
Privilégiant
le travail laborantin, refusant les prospections sales et difficiles de
terrain ("oui tout le monde ne peut pas être beau et fort comme
vous pour remuer la boue"), quelques scientifiques ont joué
à l'appropriation frauduleuse pour se maintenir dans le peloton
de tête de cette course imbécile aux publications. Dans l'omerta
(la loi du silence), certains pratiquent ce sport qui consiste à
s'approprier les découvertes par tous les moyens possibles. J'ai
longtemps hésité avant de publier mes découvertes.
Offrant mes collaborations gracieuses, ne vendant rien, aucun échantillon,
expliquant mes méthodes en conférences, j'ai refusé
de participer à cette grande farandole qui consiste à vendre
(sous le manteau) des échantillons parfois sortis des collections
par les préparateurs eux-mêmes. J'ai pris mes distances avec
ces grands joueurs pour surtout ne pas dénaturer l'orientation
d'art que je souhaitais donner à mon travail. Vacciné pas
ces attaques virulentes de la première heure, où, crédule,
candide, je venais offrir mes compétences techniques en microphotographie,
j'ai vite installé des chevaux de Troie dans mes publications (web
et papier) pour protéger mon travail de cette fraude qui est l'oxygène
de vie de ces personnes difficiles à confondre.
Des publications scientifiques "prestigieuses" ont été réalisées en aspirant les travaux du site Ambre.jaune. Pas de chance pour les auteurs, car, en fait des chevaux de Troie, installés dans plusieurs sujets, (et ouverts maintenant) permettent de démontrer la fraude ! Des recherches effectuées sur des ambres de l'Oise (recherches destructives pour les échantillons, précisons-le, puisqu'ils sont découpés) ont démontré (et il n'y a aucune surprise) que la France était, par le passé, recouverte par une forêt tropicale dense. Comptant la dérive des continents et le climat évidemment différent, le couvert végétal en France il y a 55 M.A. était comparable à celui de l'Amazonie actuelle. Quel scoop... Monsieur (xxx = je suis un pirate et personne n'en saura rien) et ses collègues (les cautions conniventes) ont analysé des échantillons de résine indurée pour questionner les affinités botaniques des espèces productrices d'ambre. Quelle originalité, quelle exclusivité !... Pourquoi ne pas avoir travaillé directement sur les portions de bois publiées (Eric G.) dès 1998 ??? Celles, NOMBREUSES, par exemple, présentées dans ce document... Sans doute car le partage des connaissances, l'étude en commun (au moins pour les recherches scientifiques de l'ambre) est impossible. Aussi étrange que cela puisse être pour les amateurs, il faut surtout comprendre que les équipes de recherches qui étudient l'ambre se livrent une guerre totale où la paranoïa est le tissus de cohésion des activités. Il est amusant de comparer les échelles des temps géologiques où tout est long (presque lent) avec la frénésie expéditive des étudiants chercheurs qui pratiquent les courses aux publications où les sujets amenés ne sont qu'un tissu de mensonges rédigés sans morale par l'appropriation de théories qui ne peuvent pas être validées faute de tenir les précieux fossiles en main... S'approprier une "vérité" par une méthode frauduleuse, publier un article sans fossiles tangibles, est une "tergiversation" intellectuelle très hasardeuse. Pour être en tête dans la course aux publications, on peut rédiger quelques spéculations... Mais bien évidemment seuls les fossiles constituent de VRAIES preuves et valent alors plus que des théories. Tient, une question: quelle est l'origine botanique des ambres français ? Certains vont utiliser la spectroscopie pour raconter l'origine des oléorésines fossiles. Cette même spectroscopie peut-elle tracer le parcours des travaux piratés ? La grande dame, (l'institution), qui donne sa caution de prestige et signe toujours en donnant le CV de ses membres honoraires, est-elle moralement responsable, (irréprochable) ? Peut-on passer l'article en spectrométrie pour déceler la fraude ? Que vaut un article, (l'exactitude du contenu) lorsque le sujet est planté au cur par un cheval de Troie installé dès 1998? Peut-on et doit-on alors donner un crédit aux conclusions de ces articles qui racontent des théories sans image ? OU SONT LES FOSSILES à partir desquels les travaux ont été publiés ??? La science de l'ambre est une grande fumisterie de piratage, de vol et de concurrence paranoïaque... Plusieurs sujets -réalisés à partir de travaux piratés- sont expédiés pour "gloire et prestige" dans le célèbre Journal de Chimie Organique (xxx) pour expliquer qu'une substance ainsi "étudiée" serait l'un des précurseurs des matières actuelles qui existent au Brésil... Bon, arrêtons-nous dix secondes. Et, si l'article publié n'était qu'une énorme "fumisterie" ? Oui, et si le travail n'était qu'une invention ? Vérifiez le sujet... Il y a quelques petites surprises incroyables... En fait, concernant l'étude de l'ambre, le chemin n'existe pas. Chacun invente son chemin en explorant, pas à pas, vue à vue, en avançant doucement, en publiant VITE (en évitant surtout les coups bas, les méprises, les critiques, les intimidations)... L'utilité d'un cheval de Troie (dont l'idée est d'ouvrir le sujet à retardement pour prouver un mensonge) est intéressant, non seulement pour identifier les pirates mais, aussi et surtout, pour suivre le circuit d'information où certains s'abreuvent de la sainte parole à la source divine. Les chercheurs qui ne précisent pas (correctement) l'origine des documents utilisés (piratés), expliquent que la France ressemblait à une jungle végétale. En ouvrant le cheval de Troie (pour prouver la duperie d'une recherche sans morale) on découvre un climat de jungle pour les publications. La jungle n'est pas en Amazonie ! Les travaux scientifiques français démontrent la jungle des publications. C'est la loi actuelle du plus fort contre MA "vérité" dogmatique ! Attention ! Avis aux AS-"pirateurs", si vous vous appropriez tout ou partie des sujets du site Ambre.jaune, vous risquez d'être surpris... Le plus "embêtant" dans l'affaire, c'est le nom générique "xxx" attribué à un composé organique de l'ambre qui, cheval de Troie passant, (humour) n'est peut-être pas issu des résines indurées de l'Oise ni même françaises ! Et puis non, après tout, il n'y a pas de problèmes, c'est la jungle ! Et, d'ailleurs les malversations pour préparer des publications scientifiques ne s'arrêtent surtout pas aux duperies de xxx avec les ambres de l'Oise, des malversations concernent les ambres également charentais 100 M.A. étudiés à xxx. Ainsi existe la France -qui étudie ses jungles à ambres-, OUI c'est la JUNGLE ! Ceux qui veulent de vraies collaborations peuvent les obtenir gratuitement. Ceux qui piratent les travaux, n'ont que les surprises qu'ils méritent. Le site Internet Ambre-Jaune fonctionne en free lance, sans aucune subvention. 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