L'AMBRE, MIEL DE FORTUNE
ET MEMOIRE DE VIE



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Guêpe fouisseuse Sphecoidae de la Baltique 50 M.A.
Quel scoop choisir
pour présenter
le livre ?
Les scoops du livre




 

Quelle découverte retenir pour présenter l'ouvrage
L'Ambre Miel de Fortune et Mémoire de Vie ?




      A une époque où le numérique n'existait pas, les choses étaient assez simples. Une diapositive constituait la preuve d'existence d''une référence examinée (photographiée) et un tirage papier (toujours daté au verso par le laboratoire photographique) permettait de certifier la date d'observation. A cette époque, les moyens pour amener des découvertes étaient commodes et fiables. En tenant des séries de diapositives sur une vitre éclairée par dessous, on pouvait vite dresser un inventaire des observations fiables et intéressantes. Pour finaliser la publication de mon ouvrage L'Ambre Miel de Fortune et Mémoire de Vie, 3 diapositives se tenaient en bonne position pour être la couverture du livre. Tout d'abord, cet alevin balte unique, une mention qui démontre le caractère totalement mystérieux des observations. Ensuite, ces sauterelles mutantes impossibles à classer qui transportent leurs acariens phorétiques. Puis, évidemment l'observation ultime qu'un paléo myrmécologue (du grec myrmex = fourmis) peut tenir dans une pierre d'ambre, le transport en tandem. Mon idée de présenter le premier animal marin conservé dans la résine fossile d'un arbre (expliquez-moi donc comment cela est possible) s'avéra trop abstrait pour interpeller un public. Le cnidaire marin dans l'ambre balte est une première, sans doute, mais l'objet n'est pas assez visuel pour apparaitre en couverture... Mais, finalement la récompense ira au petit coléoptère clavicorne coloré. Une référence elle aussi "unique" et très accessible au public (car plus visuelle). Mais, revenons aux fourmis...








Le petit alevin est présenté pages 153 et 154 du livre.
Les sauterelles mutantes (=gladiateurs) partagent
la pleine page 118 avec le transport des fourmis.
Là au chapitre : "Transport et confraternité" cet
animal fusion entre les mantes religieuses et
les sauterelles qui transporte son acarien
est plus qu'un fossile étrange !



Bon, après ces références, revenons aux fourmis et au livre, à la
page 96 avec les échantillons français trouvés sur le terrain...




L'ambre français est-il un Vrai
Miel de Fortune ?





La fourmi la plus vieille du monde est française !


OUI, et les prédictions (justes) sont possibles !








En 1998, à l'époque du 1er congrès mondial des inclusions de l'ambre, et les années suivantes, l'affirmation
selon laquelle les plus vieilles fourmis sont (et resteront !!!) américaines ne fait aucun doute...
Aller à contre courant et publier le contraire (en faisant des prédictions, en
anticipant les découvertes, Eric G.) est assez "révolutionnaire"...


      Tel que c'est rédigé en titre de paragraphe (Eric G. publication réalisée en 2002), page de gauche, regardez bien : "La plus vieille fourmi, devait forcément être française". Et, deux ans plus tard !!! Effectivement le fossile est identifié !!! Oui, la plus vieille fourmi au monde est bien nichée dans un ambre Français ! Pour étudier la genèse des fourmis et pour trouver le progénote, il faut avoir du flair (=humour).
En fait le "flair" ne fonctionne pas. Le hasard n'y est pour rien, c'est rigoureusement la méthode d'une lecture horizontale des échantillons par lots qui permet de réussir des prévisions. Il
faut un culot "monstre" et une bonne confiance dans ses observations (horizontales) pour REFUTER toutes les publications américaines, en jouant au poker avec les prévisions paléontologiques.

      Oui, reportez vous aux publications américaines qui inondent Internet (et sont même présentées à la télévision) et qui affirment depuis plus de vingt ans que les plus vieilles fourmis au monde sont originaires du continent américain... Oui, mais non, ce sera faux, et, c'est faux... Depuis Sphecomyrma freyi (découvert en 1967) et la révision américaine assez radicale de la phylogénie des fourmis (1997) annoncée sur la découvertes des fossiles de l'ambre du New Jersey (92 M.A.) la recherche du progénote des fourmis a été l'enjeu de travaux très débattus et parsemés de rivalités haineuses situées dans les fossiles très convoités du crétacé inférieur. Jusqu'en 2000, certains articles expriment clairement l'idée que le progénote des fourmis, s'il devait être américain, SERAIT ALORS AMERICAIN !!! Confer T. R. Schultz, "In search of ant ancestors". Proceedings of the national Academy of Sciences of the United States of America, USA. 2000, 97, p.14028-14029. Et, la même année : Proceedings of the National Academy of Science, Philadephia, 97, p. 13678-13683. GRIMALDI, D.A. and AGOSTI, D. 2000. A formicine in New Jersey Cretaceous amber (Hymenoptera : Formicidae) and early evolution of the ants. Les meilleurs myrmécologues, tous diplômés, se font la course à la vieille fourmi (américaine) la plus "étoilée". (= Humour, rires). Et, il faut avoir un culot assez osé pour supposer que la docte communauté du New York Muséum se trompe dans ses interprétations (depuis si longtemps). Certains auteurs inventent même leurs "conclusions" sur le dossier brûlant de l'origine des fourmis (parfois sans même lire les fossiles). C'est la course effrénée aux publications...
Il faut publier, mais les fossiles manquent ou sont dans les collections pivrés...
D'ailleurs les scientifiques ne l'avouent qu'a demi-mots (en dernière page), les belles pièces d'ambre contenant les précieuses fourmis crétacées sont souvent celles situées dans les collections privées (des amateurs éclairés). Et les fossiles d'ambre à 92 M.A. commentés par l'AMNH ne sont que le résultat de M. Steven Swolensky, qui a, lui pârmi d'autre, généreusement offert un peu plus que son temps pour informer les "vraies autorités compétentes"... Bref, le dossier de l'apparition des fourmis, c'est un peut comme celui TRES médiatique de l'origine de l'homme. Et, je savais où se nichait, où se cachait le sarcophage ambré de "Lucy", la fourmi progénote...
Le temps vaut pour récompense, et la date de publication, 2002, vaut pour preuve. "La vérité ne s'invente pas -à l'Academy of Sciences of the United States of America USA-, elle s'observe"… (Citation de Jean Henri Fabre). Le dossier du progénote des fourmis est très polémique...

      Ouvrez donc les yeux, regardez les gisements d'ambre, arrêtez les descriptions morphologiques pointilleuses, (assez inutiles ?) où l'on compte jusqu'aux poils des duvets des arthropodes, et, admettez que des pièces fabuleuses restent en dehors de toute étude globale...

      Le flair et l'intuition valent autant que la loupe binoculaire "grossissement 500" ! Ce n'est pas le grossissement de la lentille qui ouvre la focale de l'exactitude, c'est sans doute l'acuité globale, la perception intégrale du fossile dans son ensemble, qui guide et corrige l'interprétation mainte fois posée et révisée sur la paillasse du laboratoire...

      Avec cette perception globale (lecture transversale et horizontale), vous devinerez, sans doute, vous aussi, où chercher, et évidemment quoi chercher... Et, a côté des les plus vielles fourmis, ... vous verrez aussi que des comportements (voir ci-dessous) intéressants sont conservés dans les pierres d'ambre. Alors, oui, inutiles de couper vos échantillons pour vos descriptions morphologiques (où il faut compter les poils). Travaillez donc le fossile autrement... Tous les musées, ou presque, présentent ces insectes, anciens, doyens dans leur phylum (descriptions parfaites, presque tristes, en noir en blanc). Mais, que diable présentez nous une exposition paléo-entomo-éthologique; "entomo-ethnologique". Présentez-nous de vrais fossiles qui retranscrivent des comportements et des scènes presque humaines (de belles images pour intéresser le public)... De tels fossiles existent et, certains font mine de l'ignorer ? Pourquoi ?



L'un des fils directeurs les plus intéressants pour avoir une perception originale -(transversale et
horizontale) des inclusions de l'ambre par gisement et par époque est de
suivre les comportements fossiles racontés par les acteurs.










L'ambre restitue des inclusions fossiles qui rapportent des comportements.

Ci-dessous, une guêpe Scolebythidae de l'ambre birman, 100 M.A. (proche des guêpes
de feu Chrysididae), tient dans ses mandibules des portions de bois...
Pour quel usage ? Construire un nid ? Simple "nourriture" ?
L'enquête est ouverte...












Revenons aux fourmis... Outre les comportements, l'une des plus
extraordinaires richesses de Mémoire des ambres
français est donc de nous restituer :
la fourmi la plus vieille
du monde !





 

Gerontoformica cretacica
 


      Voici la plus vieille fourmi du monde : Gerontoformica cretacica n. gen., n. sp.

      Dans un ambre de Charente-Maritime de Archingeay-les-Nouillers, daté du Crétacé inférieur, 98 M.A., on a découvert cette inclusion... GERONTO, ou Gerôn, signifiant vieillard, cette fourmi est, à ce jour, la plus ancienne
appréciation connue sur terre... Bien que les caractères du spécimen soient ceux des fourmis modernes, le fossile ne peut être rattaché à aucune sous-famille actuelle.
(Confer la revue espagnole : Revista Geologica Acta, Barcelona, 11/mars/2004)

      Contexte : voici la première fourmi (chronologiquement extraite, mars 2004, Espagne Barcelone) d'un groupe de plusieurs spécimens examinés. Le groupe des Gérontoformica semblerait former l'affiliation, à ce jour, la plus ancienne connue au monde. Gerontoformica cretacica n. gen., n. sp. constitue étrangement un ensemble ancestral aux structures anatomiques assez modernes, contredisant alors moult hypothèses (donc fausses !!!) chez les myrmécologues surtout amétricains. Pour certains les fourmis ancestrales devaient apparaître logiquement archaïques, ce qui n'est pas le cas. Le fossile Gerontoformica a été identifié dans le gîte ambrifère d'Archingeay-les-N.ouillers (Charente-Maritime). Le gîte fossilifère est originaire du Crétacé inférieur, 98 M.A. (gîtes connu aussi pour plusieurs autres affleurements synchrones). Concernant le nom du fossile : GERONTO, ou Gerôn, signifiant "vieillard", cette mention fossile est à ce jour la plus ancienne appréciation avérée de fourmi connue sur terre... Depuis 2004 les affleurements crétacés sont examinés par niveaux (recoupements avec d'autres strates fossilifères contemporaines de cette époque, dans plusieurs pays dont l'Espagne) et, ainsi, d'autres découvertes semblent confirmer les dernières descriptions du type 2004. Les fourmis anciennes semblent "morphologiquement" assez contemporaines... DONC la théorie des morphologies "chétives" - perfectibles EST FAUSSE !!! Bien que les caractères du premier spécimen français soient ceux des fourmis modernes, le fossile ne peut être rattaché à aucune sous-famille actuelle. Le spécimen discuté dès 2004 est presque complet. La fourmi est aptère. Les antennes sont formées de 12 articles, et, le scape, (premier segment de l'antenne) mesure 1 mm. Les mandibules de la fourmi sont singulièrement longues, 0,6 mm et très incurvées. Le spécimen, certainement une ouvrière, n'a pas d'ocelles frontaux, ce qui semble être le cas également des autres spécimens, récemment découverts, associés à une "pilosité" étrange...


Le progénote des fourmis...


Ci-dessus, vue d'artiste et rêve de myrmécologues : le "progénote" des fourmis...
C'est à dire la toute première fourmi, la fourmi la plus ancienne du Monde !!!






Le sujet de la fourmi progénote Gérontoformica est présenté dans
l'exposition temporaire pédagogique et culturelle, intitulée
"Les termites et les fourmis - deux sociétés - deux mondes"
du 12 février 2008 au 31 août 2008. Iconographie pour le programme
multimédia et pour le site internet du Palais de la Découverte...



La fourmi gerontoformica est désormais une ancêtre accompagnée puisqu'il
existe 12 espèces et une vingtaine de spécimens dans l'ambre pour autant
que la science n'oublie pas de commenter les références oubliées
(ou passés sous silence) comme celles qui accompagnent
la célèbre queue emplumée de dinosaure...




















Les scientifiques ont appliqué un nom "débile" (aux fourmis supposées débiles)... MAIS NON, FAUX ces fourmis au
crétacé SONT HYPER MEGA performantes !!! Appeler ces fourmis "gerontoformica" c'est risible...
Pourquoi ne pas inventer le genre "débilou"... ou même le genre "babache" ??? Je crois
qu'il faut lire les inclusions de l'ambre sans dénigrer (mépriser) les espèces...
Le respect du vivant passe aussi (peut-être) par le nom
que l'on donne aux choses !!!










AUTRE POINT : La plus extraordinaire richesse de Mémoire des ambres
est SURTOUT SURTOUT SURTOUT SURTOUT de rapporter à l'observateur
attentif des comportements antiques significatifs !!!


A la lecture des nombreuses inclusions fossiles de l'ambre, (lorsque les échantillons ne sont pas coupés), il est loisible de suivre les apparitions temporelles et spatiales des structures sociales des fourmis. Les premiers modèles observés (sur les fossiles crétacés) se caractérisent par de fortes capacités de régulations dans des actes essentiels, et, de fait, ces modèles déjà surprenants de complexité, ont pu assurer la réussite écologique au groupe animal maintenant le vaste représenté sur terre. L'ambre nous donne les descriptions et les phases d'évolutions des sociétés myrmécéennes à l'origine de la réussite ubiquiste du groupe. Pourquoi les fourmis ont réussi ?
La réponse est là, devant nous, dans la pierre d'ambre...
Pas celle montée en lame mince, évidemment...

Et, cher lecteur, le sujet de comportements antiques
piégés dans l'ambre est développé
dans le cd-rom Les fourmis.


 




Fourmi de la Baltique 50 M.A.

Cette fourmi fossile de la Baltique est âgée de 50 M.A.
Cliquez sur la fourmi pour voir l'insecte dans son écrin de résine.

L'ambre, le fossile qui contient les "empreintes" invisibles à certains...



      Les belles coquilles blanches, les larges empreintes de feuilles et de fougères sur les pierres, les nombreux débris d'ossements ne sont pas les seules traces des mondes du passé. Non, les êtres, même les plus délicats, comme les minuscules insectes, ont laissé leurs fidèles et fragiles images au sein des assises du globe.


      Il n'est pas jusqu'aux plus petits animalcules dont on ne rencontre les subtiles représentant dans l'ambre... Des milliards d'animalcules sont figés pour l'éternité (en parfait état de conservation!) dans les pierres d'ambres. De fait, devant le degré extraordinaire de conservation des spécimens de l'ambre, les attentions portées aux inclusions fossiles ont souvent compté les seules anatomies, ... omettant une merveille extraordinaire


      Le "savant-observateur", depuis que l'homme a pour la première fois soulevé l'épiderme terrestre pour y trouver la pierre d'ambre, n'a eu de cesse de décrire les morphologies frêles des dépouilles animales... Certes,...


      Etant entendu que l'ambre est à l'origine une sécrétion botanique fluide, (qui coule…), comment pouvait-il supposer que les positions des insectes puissent encore rester cohérentes ? On racontait alors volontiers :
"La fluidité de la sécrétion dénature trop les positions des moustiques qui roulent effectivement le long du tronc comme autant de dépouilles infortunées".


      OUI MAIS la Nature se charge du démenti, et bien que rares, l'observateur attentif, spécialiste de l'éthologie des insectes peut parfois découvrir des inclusions alors inhabituelles et superbes...


      L'image ci-dessous est une scène de vie intime des fourmis, une scène difficile à interpréter... Mais, pour qui observe et analyse le comportement des fourmis, il semble que le décor puisse permettre une supposer une attitude superbe et plutôt rare !





Une scène de vie des fourmis...
plutôt rare !

(Cliquez sur l'image pour observer la diapositive des insectes).

      Difficile, pour certains, de donner une interprétation intéressante de ce fossile. Le comportement (s'il existe) n'aurait-il pas été altéré (et/ou faussé) par le jeu des forces que la résine aurait exercé sur les insectes ?... Réponse : NON ! Ce fossile est UNIQUE ! SUPERBE ! Magnifique... Mais, l'objet n'est ici pas la description simple des morphologies, et, si de tels fossiles existent, sans doute, depuis longtemps, ... certains n'ont peut être pas examiné assez atentivement les inclusions. Le "beau fossile intéressant", pour la publication, n'est peut-être pas le "gros" insecte médiatique... (Parfois un faux ?) Ce fossile présenté ici (Eric G. 2002) est unique au monde. Le sujet, jamais observé, n'a même jamais été évoqué dans aucun manuel de paléo-entomologie... Deux ans de travail ont été nécessaires pour trouver enfin le second spécimen, qui, plus manifeste, prouverait le comportement observé !!! Pour l'heure l'image utilisée en diapo (voir en bas de page), présentée aux spécialistes, laissait les myrmécologues septiques... "Oui, si vous le dites". Alors, forcément, il fallait trouver cet autre fossile !!!







      Alors poursuivons l'observation dans le lot d'ambre. Un lot d'ambre insectifère montrant une telle scène est à examiner avec la plus grande attention ! D'autres découvertes sont toujours possibles…

      En effet, qui dit qu'une autre pièce ne racontera pas très distinctement la communication qu'ont ces deux insectes, révélant alors une attitude unique chez les fourmis ? La description morphologique n'est pas tout. Non, parfois il faut "lire" le comportement collectif et synchrone des fourmis, (d'où l'inutilité de découper les ambres en lame mince en isolant trop rapidement les insectes mal intéerprétés).

      Le nombre élevé d'échantillons d'un lot, par le simple jeu statistique des piégeages, devrait offrir une autre scène sans transformation des positions par le jeu des coulées de résine.

      Nombreux sont les professionnels de l'ambre (au moins les commerçants), qui considérant strictement la taille des fossiles, n'évaluent pas l'enjeu d'une telle découverte.

 

Pour avoir l'explication du comportement observé dans le fossile, cliquez sur la fourmi, ci dessous.
(Note : La solution est publiée à la page 118 de l'ouvrage Ambre Miel de Fortune et Mémoire de Vie).

Suite de la présentation




L'inclusion est visible ci-dessous...
Cliquez sur la fourmi pour voir l'insecte en détail dans la résine.



 
La fourmi piégée dans ce petit ambre, (ci dessus), avec le détail ci dessous, est également le spécimen
animé, (qui bouge la tête) qui est représenté en début de page...
L'insecte, piégé dans l'ambre, est âgé de 50 Millions d'années !


 
Fourmi de la Baltique 50 M.A.

Cliquez sur la fourmi pour voir l'insecte presque "vivant".

Une bonne pratique de la photographie permet d'éviter le montage systématiques des ambres en lame mince.
Même pour les ambres les plus vieux et/ou les plus scoriacés, le débitage des ambres en lame minces est
un confort de travail. Malheuresement, en découpant le fossile, il apparaît parfois que
l'on a perdu, sans le savoir, ... des renseignements précieux associé à l'inclusion...








Si, si, ... certaines fourmis fossiles conservent
des positions cohérentes !


 


Ce n'est sans doute pas le jeu de forces des coulées de la résine fluide qui ouvre
les mandibules de cette tête... Alors, la pièce d'ambre montrerait un combat ?!
La fourmi a été décapité ?! Oui, c'est cela, je vois que vous comprenez enfin...
Décapité par qui ? Ah, désolé, si l'ambre est encore monté en lame
mince, on ne le saura jamais.



Le combat d'une Dolichoderinae !



Les fourmis sont les animaux qui portent l'art de la guerre à sa plus haute expression. Ci dessus, une ouvrière Dolichoderinae balte âgée de 40 millions d'années tuée lors d'un combat; ses mandibules sont restées ouvertes !








Les fourmis de l'ambre...



Nécessitant plus de huit ans de travail, le cd-rom
 Les fourmis est le premier travail jamais publié sur
le genèse du groupe le plus vaste représenté sur Terre...

Et plus de 150 fossiles montrent des comportements uniques.




L'histoire des fourmis par
la mémoire de l'ambre

Cette dipositive, une image insignifiante ? Heu, NON !
Un scoop mondial ! Mais il est difficile de convaincre un aveugle.

(Cliquez sur l'image pour observer le détail des insectes).



Ambre - paléo entomologie
cd incontournable :
Le cd-rom les FOURMIS





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