- Retour -



Le Musée Virtuel Jaune
présente
les coquillages marins de l'ambre

au public lors du 38 ième salon
Minéraux et Fossiles à Autun.









Les coquillages (sous entendu marins)
existent dans l'ambre...



    19/05/2019, les inclusions marines (les ammonites) existent dans l'ambre.

    C'est "amusant" comment la science progresse (rires)...

    Pour premier rapport aux choses, la science le plus souvent réfute, dénigre, médit, incrimine puis... contrainte,... ... elle se confronte à ses erreurs. Mais, dans ce cas sans faire alors la moindre excuse, le "mea-culpa" scientifique n'existe pas... Ah quelle rigolade. Voyons la chose en exemple avec les coquillages marins. Si vous êtes un spécialiste des inclusions de l'ambe (je parle ici d'Eric G.), si vous découvrez après 40 ans de prospections attentives de VRAIS ORGANISMES MARINS piégés dans l'ambre, (cette résine déclarée hydrophobe, issue des arbres, un piège aérien alors raconté continental), les donneurs d'ordres, les garants du savoir "incontestable et vérifié" vous dénigreront... Ils se moqueront... Souvenons-nous des propos : "Oui, mais non... Monsieur, soyons sérieux 10 secondes. Vos découvertes d'inclusions marines dans l'ambre ne sont qu'un canular de potache..."
En 1980, Eric G. se confronte à la pensée dogmatique de la communauté scientifique qui réfute catégoriquement l'invention des organismes marins dans l'ambre. Dix huit ans plus tard, en octobre 1998, même constat bloqué au Premier Congrès Mondial des Inclusions de l'Ambre en Espagne où l'hypothèse marine est rejetée catégoriquement. La présentation d'un alevin dans l'ambre (nouvelle découverte réalisée par Eric G.) cimente le dossier jeté aux oubliettes... Les inclusions marines de l'ambre ne peuvent pas exister... BON... Ainsi existe la science. La pensée dogmatique est bloquée pendant tout ce temps. Les inclusions marines de l'ambre n'existent pas, CAR, elles ne peuvent pas exister... C'est comme cela, c'est tout et il n'y a rien à ajouter... PUIS, n'y tenant plus, Eric G. publie le premier cnidaire (un organisme marin benthique) piégé dans l'ambre balte dans sa monographie sur l'ambre en juin 2002 au nez des détracteurs qui se moquent encore de plus belle... Car l'inclusion est médiatisée à Fossilium 2000 (un célèbre salon d'Exposition - Vente) où le fossile gagne le concours international du fossile le plus rare présenté au public... Les scientifiques enragent que l'on donne audiences et crédits à ce fossile qu'ils réfutent depuis si longtemps. Pour évoquer le blocage du dogme scientifique, Eric G. intitule son paragraphe : "LES INCLUSIONS IMPOSSIBLES" dans son livre : "Ambre Miel de Fortune et Mémoire de Vie" (juin 2002) et présente le premier cnidaire marin au monde conservé dans l'ambre balte.

    Le temps faisant son œuvre, les inclusions marines (impossibles) apparaissent et se font de plus en plus nombreuses... Le constat d'observation s'oppose de plus en plus au dogme qui s'effrite...
Les inclusions marines certifiées impossibles se multiplient... Bigre de bon sang, la science se trompe... Il va bien falloir donner une explication à ces inclusions problématiques de plus en plus nombreuses... Pour expliquer l'impensable, le créatif du groupe des sceptiques évoquera l'éructation d'un dinosaure marin qui éternue dans l'eau de mer pour envoyer alors un cnidaire marin contre la résine d'un arbre... Pour un autre, sans humour, c'est un coup de vent, ou une flatulence même... Et pourquoi pas un tsunami ??? Le scénario (évoqué 2019) est toujours le même ! Le gros coup de vent improbable arrache, pourquoi pas, le fond de la mer pour le projeter contre le tronc des arbres... Pour expliquer l'arrivée improbable des organismes marins benthiques dans la résine des arbres, les scienti-détracteurs de la première heure imaginent des choses absurdes pour expliquer le piégeage... Les inclusions marines de l'ambre existent dans l'ambre depuis toujours. Et, Eric G. identifie dès 1980 les premières espèces puis publie ses découvertes en 1998, 2000 et 2002... Pour faire de l'audience et donner écho aux scientifiques (avides de scoops), les journalistes (qui eux-aussi sont des constructeurs de vérités dérisoire) racontent en mai 2019 : "jamais-vu, un fossile de mollusque conservé dans l'ambre"... Heu... Jamais vu, façon de parler... Le 20 mai 2019, Céline Deluzarche (journaliste, Diplômée de l'Institut Français de Presse en 2004, qui alimente la rubrique Science sur le site L'Internaute) raconte (sans donner les références de la publication, disponible ici en PDF) la découverte d'une ammonite dans l'ambre birman, avec l'hypothèse d'un tsunami pour relater le piégeage improbable dans la résine...
"Il est extrêmement rare de trouver des animaux marins dans l'ambre ", confirme Bo Wang, coauteur de l'étude publiée en juin dans la revue PNAS. Bon, tout va bien. Sur le fond, la science progresse !!! En 1980, on dit NON c'est impossible. En 2019 on raconte "c'est extrêmement rare de trouver des animaux marins dans l'ambre". L'ammonite retrouvée dans le morceau d'ambre birman (daté de 99 M.A.) ne mesure que 12 mm... Le tsunami ne devait être qu'une petite vaguelette... Tout cela pour dire que les animaux marins (les animaux résolument marins) peuvent exister dans l'ambre sans que cela ne soit des blagues de potaches... Il faut quand même 50 ans (soit le renouvellement d'une génération) pour que les mentalités progressent...
OUI LES INCLUSIONS MARINES EXISTENT DANS L'AMBRE. Les coquillages marins existent dans l'ambre et heureux celui qui observe l'ambre ! Suivez ici l'exposition d'Autun ces 6 et 7 juillet 2019. On vous présente des pièces rares !






Le Musée Virtuel Jaune ouvre ses vitrines...
Le Musée Virtuel Jaune présente ses découvertes
rares en exclusivité au public lors d'une exposition...





























Les coquillages marins existent dans l'ambre  !

Pendant l'exposition-vente à AUTUN, quelques informations
exclusives sont donées sur ces références rares
présentées ci-dessous. Ce sont des inclusions
fossiles des ambres baltes, birmans
et également africains...



UNIQUE superbe et TRES RARE !





On vous explique les ambres marins...

Les coquillages marins (ces objets plutôt pesants et donc inertes comparés aux insectes volants qui peuvent se déplacer parfois sur de grandes distances) peuvent être considérés en quelque sorte comme les biomarqueurs témoins du fonctionnement dynamique de l'écosystème côtier. En suivant ces traces animales (assez inattendues dans la résine fossilisée des arbres), on peut suivre les transgressions marines et déduire les transformations du paysage et lire dans une certaine mesure les évolutions du climat paléontologique.

Les coquillages marins conservés dans l'ambre ne sont pas un artefact improbable, tellement problématique, qu'ils doivent être rejetés... Les coquillages marins n'ont pas été apportés au piège collant des résines par des coups de vent, des rafales (répétées ou occasionnelles) comme le raconte la théorie allemande publiée dans le modèle de la forêt d'ambre. Pour comprendre l'ambre, pour appréhender le message général de mémoire des inclusions, il faut regarder la pierre de façon générale. Il faut lire la réalité des inclusions (sans rien réfuter)... Il faut exploiter les traces, analyser les inventaires globaux et raisonner ensuite à des déductions. Or les allemands, suivis des français ont quand même fait l'inverse dès le début. Ils ont modélisé une théorie, ils ont anticipé et prémédité un concept pour raconter au plus simple la forêt d'ambre... Et les inclusions problématiques, (les inclusions "contre exemples" qui gênaient le modèle unique) ont été réfutées et "rejetées". Dans la pratique, il faut faire l'inverse... Un model (qui se veut juste) doit raconter la réalité et donc prendre en compte précisément les inclusions problématique. Que vaut un modèle explicatif si celui ci n'intègre pas les références gênantes ? Le modèle doit se construire à partir des observations et non pas l'inverse. Refuser le piège marin car l'ambre n'existe et ne peut exister qu'en forêt est un écueil de méthode.

Tenir les coquillages marins de l'ambre pour suivre les transgressions marines paléontologiques (consécutives aux évolutions du climat) et invalider en même temps les modèles références publiés dans les ouvrages de science est du plus grand intérêt... Ces petites pierres jaunes en racontent bien plus qu'il n'y parait... Plus on scrute l'ambre plus on découvre l'inattendu (ce qui n'est pas prémédité par le model). Et, avec l'ambre, la leçon de chose dépasse de beaucoup ce que nous racontent les donneurs de leçons. La vérité du monde est là accessible à chacun... L'ambre rapporte beaucoup plus que tout autre support... La dimension marine des ambres est une exploration nouvelle toute récente... Les théories doivent être corrigées et c'est bien l'intérêt de cet axe si intéressant de lecture... L'ambre est la matière multidisciplinaire la plus "indomptable". Cette matière fait la leçon constamment à l'observateur et lui rapporte ses merveilles qui dépassent constamment le cadre des théories préméditées... L'ambre permet de raconter tout (ou presque) dans toutes les directions... L'ambre qu'il soit d'ici ou d'ailleurs, récent ou très ancien, (terrestre ou marin), est un grand livre ouvert sur la réalité des choses.
Voilà ce qui me fait tenir l'ambre en très haute estime...




Ci-dessous, référence exclusive, les coquillages marins
existent
dans l'ambre de l'Océan indien...









On vous raconte les ambres marins (suite)...

L'ambre est un "paléo-universel" !!! Un témoin "paléo-universel".
L'ambre à inclusions est sur tous les continents : Afrique, Europe, Amérique, Asie et Océanie. L'ambre est disséminé partout à toutes les époques, sur tous les continents. Et il existe aussi jusqu'aux fonds des mers ! PARTOUT, et, tout le temps,... depuis toujours...

Les coquillages sont des bioindicateurs du biotope marin... Mais que nous apprennent (précisément) les coquillages marins conservés dans l'ambre ?



Les coquillages marins de l'ambre sont des "bio-marqueurs" (des signaux sanitaires) bien bavards qui racontent précisément la santé paléontologique du paysage côtier.

Dans un environnement paysager forcément ouvert où les variables sont nombreuses où les évolutions sont également multiples (surtout si l'on considère les durées infiniment longues que représentent les époques géologiques), l'identification et la quantification de quelques éléments cibles "invariables" aux exigences et besoins plus ou moins fixes est particulièrement intéressant car ils permettent alors de déterminer le caractère particulier du site à une époque précise et de quantifier les contributions respectives de chaque élément présents dans le décors.

Dit autrement, les éléments biomarqueurs d'un paysage permettent de caractériser un site. Les biomarqueurs racontent l'état sanitaire du paysage en précisant même le niveau (la coalescence) des relations qui relie les différentes espèces qui cohabitent ensembles. Plus les espèces sont fixes, (spécifiques avec des besoins immuables), meilleure sera la lecture du paysage...

Pour décrire un environnement marin et côtier, rien ne vaut les invertébrés benthiques qui racontent précisément la topographie du site, le climat, le niveau des courants, la qualité de l'eau, etc. La mesure d'abondance naturelle d'un marqueur dans les inventaires d'inclusions de l'ambre offre de bonnes informations écologiques et précise le niveau des métabolismes en action dans le paysage...

Si vous trouvez des graines dans un sédiment fossile, vous pouvez en déduire la présence des plantes, des arbres plus grands et, de là, la biodiversité végétale antique organisée selon des étages différents... Les coquillages sont à la mer ce que les graines sont à la forêt...

De par leur abondance régulière dans le registre des fossiles, leur capacité de filtration de l'eau, les bivalves (surtout) forment le groupe depuis longtemps utilisés comme indicateurs à court et long terme des conditions environnementales dans les eaux douces et côtières (Miller et al., 1966; Burns et Smith, 1981). Leurs exigences écologiques et physiologiques connues, leur abondance, leur large distribution géographique, leur sédentarité permettent de déduire les perturbations (contaminations / évolutions d'un site) en fonctions de tolérances où finalement les réponses physiologiques aux stress peuvent être facilement mesurées. En étudiant la croissance des coquilles conservées en inclusions dans l'ambre, on peut lire le niveau de stress environnemental survenu dans l'unité du paysage...







Les coquillages marins de l'ambre sont des "bio-marqueurs" (suite)...

En filtrant l'eau marine, les bivalves fixent et concentrent dans leur corps des éléments minéraux et des oligo-éléments présents dans le milieu benthique... C'est ce caractère de filtration-concentration qui est sans doute à l'origine de certaines fluorescences très étranges des espèces piégées vivantes transformées en fossiles... Les mollusques marins, lorsqu'ils ont été piégés vivants par le suint végétal (les résines surtout africaines) offrent des fluorescences jaunes très marquées. Sans doute par la concentration du potassium, phosphore, magnésium, fer, zinc, cuivre, manganèse, sélénium, etc... éléments conservés seulement dans certaines gemmes.

Sans faire de long développement, il faut distinguer "bio-marqueur", "bio-indicateur" et "espèce sentinelle"...
Ces trois notions sont souvent confondues car, évidemment, elles sont liées et combinées dans le vivant et alors amalgamées (mal différenciées) dans les rapports donnés par certains naturalistes.

Pour faire simple :

1) Un "bio-marqueur " est un élément (chimique ou organique) plus ou moins visible qui caractérise un individu. Le dit individu est observé le plus souvent vivant dans sa population. Le bio-marqueur est alors un paramètre, un signal unitaire, (ce qui veut dire : un signal sur un seul individu) qui peut être biochimique, cellulaire, physiologique ou même comportemental. Le signal est quantifié, mesuré dans l'organisme (de l'individu). La présence ou le défaut du signal rapporté à sa fréquence naturelle constaté dans l'espèce considérée permet de déduire des notions biologiques comme le degré de stress enduré (pollution de l'eau, de l'air ou autre). Le bio-marqueur est donc une trace sur le sujet qui marque et imprègne l'individu vivant qui évolue dans son milieu. Donnons un exemple. Celui qui marche pieds nu dans le sable aura la peau burinée. Si le sable est particulièrement coupant, il aura alors des gerçures... Si le sable est bleu, l'individu aura d'autant plus les pieds bleus (imprégnés par les éléments du sol concentrés alors dans l'épiderme buriné des orteils). "Pied bleu-peau épaisse" est donc un caractère qui varie d'un individu à l'autre selon le déplacement des sujets...

2) L'espèce sentinelle, c'est autre chose. C'est le repérage simple d'une présence vivante (animale ou végétale) qui renseigne alors sur l'unité du paysage... Puisque telle espèce vivante existe dans cette unité du paysage, on peut en déduire ceci et cela... Ce n'est pas spécialement la variation ici qui est recherchée mais d'avantage la présence (ou pas) de l'espèce et le rapport qu'elle entretient avec d'autres séries synchrones. L'espèce sentinelle est un témoignage avéré du caractère particulier du biotope (humide, désertique, montagnard, marins)... Un exemple : Il y a ici des nénuphars d'eau... Nous sommes alors dans un biotope humide.

3) Le bio-indicateur est une notion cette fois transversale. C'est une sorte de drapeau générique planté dans le paysage par dessus les individus et les espèces, drapeau qui raconte une notion générale. Plus le drapeau est ostentatoire, plus le caractère indiqué est représenté sur le site. Prenons deux cas... Plus il y a de pollens de plusieurs types distribués dans un site, plus forte est la probabilité d'avoir une forte biodiversité de fleurs et donc en amont des espèces pollinisatrices (inféodées aux fleurs)... Si tous les animaux sont dépigmentés, alors on se trouve certainement dans une grotte (sans lumière), etc. Pollen et pigment sont donc des "drapeaux" qui indiquent des choses sur le caractère spécifique des lieux. L'indicateur transversal ici n'est pas corrélé à un individu donné et n'est pas non plus lié à une espèce... C'est bien une notion générale par dessus les espèces qui signe une particularité au site...

Tout cela pour dire que les coquillages marins devenus des inclusions fossiles de l'ambre peuvent être étudiés selon ces trois notions proches (différentes et complémentaires).

En tenant la biologie des mollusques et les spécificités des bivalves filtreurs retrouvés dans l'ambre on peut avoir alors une lecture sur l'étendue bathymétrique du plateau sédimentaire où s'accumulent les dépôts de résines... La lecture hyper précise dépasse de beaucoup l'approximation théorique... Voyons la chose...
En effet, outre l'examen des coquillages, la forme des ambres permet aussi et surtout de déduire de précieuses informations. La taphonomie, (qui exploite l'allure générale, la forme des éléments unitaires et leurs conditions d'arrivées) permet de préciser le type de dépôt... Ecrasés par les sable alentours (dépôt de colluvions en pentes), roulés par les flots et alors devenus parfaitement sphériques par les courants incessants des marées, tombés à plat sur des boues séchées au soleil...
La FORME, la CONFORMATION des ambres raconte rigoureusement et très précisément le type du dépôt.
Cuvette d'eau stagnante chauffée au soleil dans les dunes ouvertes su l'océan avec une évaporation cyclique et renouvelée, delta de rivière sur l'estran, ligne d'un front côtier érodé avec des chutes fluviatiles qui comblent une lagune, dépôts calmes et triés par la gravimétries des particules dans les mangroves ensablées lentement, dépôts concentrés selon les courants des marées dans des chenaux anastomosés (ce type de chenal où la vitesse de l'eau est faible), bref, tous les dépôts ont des caractères dynamiques qui modèlent la forme et le volume des ambres... Les sécrétions végétales souples, plastiques, mémorisent les forces d'érosion en action... Et les coquillages (portion amorphes attrapées au hasard) complètent le tableau et racontent le caractère bathymétrique du plateau...

L'un dans l'autre on peut lire le biotope marin au mètre près...
L'ambre restitue une vue précise des biotopes antiques et même les variations spatiales les plus fines selon chaque unité du paysage...
Par exemple les ambres qui contiennent les éclats de nacre sont ceux déposés en cuvette d'eaux stagnantes, chauffées au soleil... Et les éclats de nacre, (restes d'huitres désagrégées, sans doute) ont été concentrés par le vent...
La taille des inclusions calibrées, la forme des ambres et la biologie des espèces marines permettent de tenir des tableaux à plusieurs entrées où, au final, la lecture déductive est d'une précision absolue...
Les ambres marins et le cortège des coquillages incrustés est une exploration infiniment intéressante car d'une précision incroyable...



La filtration / concentration des oligo-éléments par les mollusques marins...






Les coquillages marins existent dans l'ambre...

Les coquillages marins existent en inclusions de l'ambre essentiellement dans le matériel birman (98 M.A.) et africain (72 M.A.).
Remarque importante : l'ambre africain mentionné ici dans nos travaux, est inconnu de la science. Originaire de l'Afrique de l'Ouest (le site est gardé secret pour éviter le pillage), l'ambre a été découvert le 3 décembre 2018 puis publié immédiatement par note équipe en article dans la revue "Dinosaures Fossiles et Préhistoire" en mars 2019.

--- 1) Les crustacés Myodocopa existent dans l'ambre birman et africain. Scoop, gloire et célébrité ! La science officielle rapporte avec honneurs et fierté nationale empreinte d'autosatisfaction joyeuse, une inclusion soi-disant unique au monde d'un Myodocopa dans l'ambre birman. La référence, le fossile commenté par les scientifiques chinois n'est surtout pas unique... Loin s'en faut... En fait, c'est ici encore la course en tête à celui qui affirme découvrir le fossile "unique" et les rédacteurs ignorent (volontairement) les références concurrentes. Le cas des coquillages marins est identique à celui des serpents trouvés dans l'ambre... Ceci précisé, les coquillages marins existent bien, par centaines, dans le matériel birman. Les journaux birmans rapportent d'ailleurs tout un bestiaire marin identifié dans ces ambres disponibles à l'achat sur les marchés locaux... Les scientifiques chinois ne font d'ailleurs pas la prospection mais achètent le matériel à inclusions directement chez des bijoutiers (qui méconnaissent les contenus des ambres intéressants)... Les scientifiques chinois achètent donc les ambres birmans à des particuliers avec l'incertitude pour ne pas dire la perte de toutes les notions stratigraphiques liées aux dépôts. Les études publiées sont alors problématiques, mais ce n'est qu'un détail ignoré pour le discours de propagande qui valorise le sujet présenté. Ceci dit, la science qui joue la propagande, qui recherche l'audience médiatique (en ignorant la concurrence) rapporte que c'est elle qui réalise les découvertes exclusives qui sont pourtant révélées par des amateurs éclairés. Bref... Ainsi va la science et pour en revenir aux études des fossiles marins, les crustacés Myodocopa rapportés par l'ambre birman sont petits à minuscules (0,5 à 2 mm), avec des carapaces bien calcifiées. L'animal paléontologique, le crustacé existe depuis l'Ordovicien (485 M.A.) et constitue donc une archive marine ainsi bien documentée.

--- 2) Concernant les bivalves, ces indicateurs sanitaires des milieux marins, les petites moules très nombreuses parfois incrustées, associées aux bois flottés et les gastéropodes Patellidae sont des références particulièrement intéressantes dans les ambres africains. Les coquillages marins africains (benthique et filtreurs) ne sont pas à prendre en considération dans un cadre marginal, (comme c'est la cas pour l'étude birmane), car ici, réellement, le lieu primaire de sédimentations des résines est le fond marin... Le dossier des ambres marins africains est sur notre table... Et au musée virtuel nous priorisons ce sujet exclusifs... Les bivalves, en filtrant l'eau de mer, ont concentré des éléments minéraux qui apparaissent alors accumulés dans les gemmes rendant des fluorescences étonnantes aux UV... Voilà un axe d'étude intéressant qui pourrait bien faire le sujet d'une thèse exclusive de fin d'étude... L'ambre jaune africain, un ambre fossile silicifié à inclusions, rapporte des espèces marines étonnantes (certaines extrêmophiles comme les rotifères. Dans l'ambre africain, (le dossier est présenté ici), TOUT absolument tout est totalement exclusif. Pour de multiples raisons le dossier des ambres marins est donc priorisé, depuis sa découverte, dans les locaux (virtuels) du musée virtuel... Affaire donc à suivre...



Les coquillages marins existent dans l'ambre... Il sont
(finalement) si nombreux que l'on peut les collectionner...









































 

Le dossier des coquillages fossiles de l'ambre est EXCLUSIF.

Conceptions, redactions, idées originales, découvertes,
infographies, présentations web : Eric GEIRNAERT.



Pour l'exposition d'Autun, quelques pièces rares (muséales) sont présentées...
Et certaines sont même proposées à l'échange, voir ci-dessous...









Plusieurs dizaines de pièces muséales
sont proposées à l'échange...
Jacques MANGIN dans son atelier

Ambre - Exposition / Vente à AUTUN : LES COQUILLAGES







Les coquillages marins existent dans l'ambre  !
Ci-dessous, l'une des pièces
proposées à l'échange...



















L'exposition vente à Autun, la presse en parle...




- Retour -